Une maison de village chargée d’âme devient L’Épicentre de Tournefeuille
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Une maison de village chargée d’âme devient L’Épicentre de Tournefeuille
Un concept de restaurant lancé par Emmanuel Castello à mi-chemin entre gastronomie et librairie, entre vintage et design, entre salon de thé et galerie branchée. Bref, l’endroit où ça se passe, un endroit où l’on mange bien aussi.
Bouquiner, déjeuner en terrasse, prendre un verre ou un café, voir une exposition, dîner au coin du feu, rencontrer une illustratrice de livres, écouter un petit concert de jazz le dimanche à midi ou déguster des vins naturels… Emmanuel Castello conçoit son restaurant L’Epicentre à Tournefeuille comme « un lieu de vie » où il fait bon manger, boire, musarder ou échanger.
Enfant du pays, petit-fils du dernier maréchal-ferrant du bourg, il vient de transformer l’ancienne épicerie du village aux allures de Toulousaine avec jardinet en restaurant d’un nouveau genre. On y sera accueilli comme dans une maison de famille avec son parquet d’antan, ses « meubles oubliés d’hier pour demain », ses vieilles chaises d’écoliers récupérées au Lycée Saint Sernin, ses fauteuils en cuir jaune des années 50 ou le vieux comptoir de l’épicerie.
Fraîcheur et rondeur féminine de la cuisine
On y mangera presque comme à la maison. Une touche raffinée en plus puisque, derrière les fourneaux, officiera Laurianne Mignot, une jeune femme de 20 ans formée à l’École hôtelière de Toulouse. Une manière de donner sa chance à un chef féminin, « encore trop rare dans ce milieu », déplore Emmanuel Castello. Marc Weri, ancien second chez Ledoyen, assure déjà les fonctions de consultant pour la création de la carte et l’aide au recrutement. Six personnes sont prévues en cuisine et en salle pour assurer une centaine de couverts par repas.
« Nous serons adeptes des circuits courts, de la viande en provenance des Pyrénées ou de l’Aveyron, des légumes de saison. Pas de tomates en hiver par exemple. Notre idée est de créer nos propres serres en bordure du Touch, gérées par une association. Il y aura des menus à 13 euros avec entrée/plat ou des formules tartines pour les plus pressés à 8 euros », livre le futur restaurateur.
Trop bobo ?
Pour cette toute nouvelle aventure, Emmanuel Castello s’est associé à l’homme d’affaires Evrard Benhamou, à la tête d’une entreprise de rénovation. Un investissement pour l’instant de 250.000 euros. Ancien commercial de la société toulousaine Index Multimedia, photographe de formation, Emmanuel Castello se lance à l’aube de la quarantaine dans un projet qui lui tient à coeur : « Envie de faire vivre un lieu de mon enfance, d’aller vers les autres aussi ». Beaucoup de beau, de bon et de bien. Un projet un peu trop bobo pavé de bonnes intentions ? « Non, juste du bon sens. Revenir à un certain art de vivre et le faire partager » , assure-t-il. Ouverture mi-juillet.
Bouquiner, déjeuner en terrasse, prendre un verre ou un café, voir une exposition, dîner au coin du feu, rencontrer une illustratrice de livres, écouter un petit concert de jazz le dimanche à midi ou déguster des vins naturels… Emmanuel Castello conçoit son restaurant L’Epicentre à Tournefeuille comme « un lieu de vie » où il fait bon manger, boire, musarder ou échanger.
Enfant du pays, petit-fils du dernier maréchal-ferrant du bourg, il vient de transformer l’ancienne épicerie du village aux allures de Toulousaine avec jardinet en restaurant d’un nouveau genre. On y sera accueilli comme dans une maison de famille avec son parquet d’antan, ses « meubles oubliés d’hier pour demain », ses vieilles chaises d’écoliers récupérées au Lycée Saint Sernin, ses fauteuils en cuir jaune des années 50 ou le vieux comptoir de l’épicerie.
Fraîcheur et rondeur féminine de la cuisine
On y mangera presque comme à la maison. Une touche raffinée en plus puisque, derrière les fourneaux, officiera Laurianne Mignot, une jeune femme de 20 ans formée à l’École hôtelière de Toulouse. Une manière de donner sa chance à un chef féminin, « encore trop rare dans ce milieu », déplore Emmanuel Castello. Marc Weri, ancien second chez Ledoyen, assure déjà les fonctions de consultant pour la création de la carte et l’aide au recrutement. Six personnes sont prévues en cuisine et en salle pour assurer une centaine de couverts par repas.
« Nous serons adeptes des circuits courts, de la viande en provenance des Pyrénées ou de l’Aveyron, des légumes de saison. Pas de tomates en hiver par exemple. Notre idée est de créer nos propres serres en bordure du Touch, gérées par une association. Il y aura des menus à 13 euros avec entrée/plat ou des formules tartines pour les plus pressés à 8 euros », livre le futur restaurateur.
Trop bobo ?
Pour cette toute nouvelle aventure, Emmanuel Castello s’est associé à l’homme d’affaires Evrard Benhamou, à la tête d’une entreprise de rénovation. Un investissement pour l’instant de 250.000 euros. Ancien commercial de la société toulousaine Index Multimedia, photographe de formation, Emmanuel Castello se lance à l’aube de la quarantaine dans un projet qui lui tient à coeur : « Envie de faire vivre un lieu de mon enfance, d’aller vers les autres aussi ». Beaucoup de beau, de bon et de bien. Un projet un peu trop bobo pavé de bonnes intentions ? « Non, juste du bon sens. Revenir à un certain art de vivre et le faire partager » , assure-t-il. Ouverture mi-juillet.
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