LYCEE PROFESSIONNEL EUGENE MONTEL

Un partenariat établi avec Thales Cryogénie

"Il faut aller à l'intérieur des entreprises pour y découvrir les métiers" déclare M. Debenais, rerprésentant de l'UIMM.

Voilà le but du partenariat signé entre le Lycée des Métiers et Thales Cryogénie. Il permettra à 12 élèves de 3ème découverte de passer 5 journée et demi dans l'entreprise blagnacaise.

Son PDG, Jean Claude Bourdaudhui, complète l'idée : " Il est important de faire découvrir aux élèves la production industrielle française".

Les élèves travailleront sur un produit de haute technologie destiné à l'armée, les jumelles à infrarouge. En classe de technologie, avec leur professeur, Mme Vavassori, ils élaboreront un dossier sur le refroidissement des éléments composant ces jumelles.

Parallèlement, en classe de français, les élèves prépareront une présentation de l'entreprise incluant son foncitonnement et sa production.

Leur dossier devra être bouclé le 20 mai. Ce jour là, ils le présenteront à Labège sous forme de diaporama, devant un jury averti.

Ils seront en concurrence avec une quizaine de lycées, et espèrent remporter tout simplement le premier prix...

Jordan représentant sa classe s'adresse à L. Bourdaudhui : " Les élèves de 3ème DP vous remercient pour la confiance que vous leur témoignez en signant le contrat avec votre entreprise. Nous ferons en sorte d'honorer cette marque de confiance."

Et maintenant au travail, et rendez-vous le 20 mai

Source : La Dépêche du Midi

Si la formation des jeunes est l'objectif principal du lycée des métiers, la vie en société peut aussi faire l'objet d'un apprentissage car elle implique des règles à respecter. Le lycée Eugène Montel s'y emploie tout au long de l'année.

Homophobie
Ainsi, lors des journées pédagogiques différenciées, l'association Contact est venue parler de l'homophobie, Tisséo de la civilité dans les transports publics, et les infirmières de l'établissement ont engagé une réflexion sur la vie sociale et affective. La prévention routière a aussi été à l'ordre jour. Toujours dans cette optique, l'association toulousaine « Droit de Cité » est intervenue de manière originale. Elle a planté deux rings « virtuels » bordés de plots dans la cour de l'établissement. Sur l'un d'eux Siriki, boxeur expérimenté, attendait les volontaires pour un combat « amical ». Aux élèves qui observaient autour des rings, Carole Garnier, CPE, a lancé un défi « C'est le moment d'y aller, là, devant tout le monde». Parmi les plus courageux, Adeline, 17 ans. Forte d'une année de cours de boxe anglaise, celle-ci a commenté son combat avec Siriki : « Je voulais m'amuser, me dépenser ».

CANALISER L'AGRESSIVITESur l'autre ring, des gants de boxe géants étaient mis à disposition pour « s'amuser ». Ludovic et Richard, en 2ème année de Réalisation d'Ouvrages de Chaudronnerie et Structures Métalliques les ont testés : « Ils pèsent un bon kilo chacun » soufflent-ils épuisés après quelques minutes d'affrontement.

Cette initiative appelée « Médiation ring mobile » est un outil d'éducation puisqu'il faut respecter les règles du jeu, son adversaire, l'arbitrage, l'espace et le temps impartis. Elle sert aussi à canaliser l'agressivité. Aux éducateurs d'expliquer ensuite que la violence pure ne résout rien et de donner des idées pour l'éviter.

Source : La Dépêche du Midi

Finie l'éventualité d'un bac professionnel après l'étape du BEP. Au lycée Montel, les élèves qui entrent cette année en chaudronnerie, maintenance des équipements industriels, systèmes électroniques numériques et électrotechniques passeront leur bac dans 3 ans.

Un cycle raccourci
Lors de la réunion de rentrée, les parents des élèves de seconde professionnelle sont venus très nombreux visiter l'établissement. Une visite qui a commencé au self où Brigitte Plet, proviseur, a fait l'éloge de la qualité des repas servis. Mais la nouveauté résidait dans l'apprentissage : « il va falloir faire en 3 ans ce qu'on faisait avant en 4. »

Julien Magna, en seconde chaudronnerie, n'était pas conscient que sa formation était passée de 4 à 3 ans mais il s'y lance en toute confiance, suite au stage découverte qu'il avait fait en classe de 3e, et aux professions aéronautiques de ses grand-père et père. Il vient de Castelginest et a une demi-heure de trajet. Il peut être considéré comme privilégié par rapport à ceux qui viennent de Jolimont. Vivement le tramway qui réduira les temps de transport, et l'idée d'extension de l'internat du lycée !

Une journée des énergies renouvelables« Ici, c'est une école comme une autre », et la rigueur sera de mise. Rigueur dans l'enseignement bien sûr, mais aussi dans le fonctionnement : ponctualité et règles liées à l'absentéisme.

Rigueur face au manquement de civilité que Madame Plet a illustré avec humour tout en les déplorant fortement « les dérapages » en étant polis.

Secondée par sa nouvelle adjointe, Claudine Gravetti, et l'équipe pédagogique, Madame Plet nous donne rendez-vous le 23 novembre pour une journée des énergies renouvelables.

Le lycée des métiers Eugène-Montel de Colomiers est un lycée qui a de la gueule. C'est son proviseur, Brigitte Plet qui le dit, non sans fierté après que neuf des élèves ont présenté à Martin Malvy, président de la Région, les neuf actions de l'agenda 21 de l'établissement.

Ici, on a construit une éolienne, un candélabre solaire, aménagé un jardin. En clair, les élèves et le personnel dans la foulée de ce qu'a réalisé la municipalité, ont bâti un véritable programme écocitoyen, devenant comme le rappelaient leurs tee-shirts, des acteurs du développement durable.

De quoi ravir Martin Malvy venu inaugurer les travaux de l'atelier général : une toiture avec 95 m2 de panneaux photovoltaïques et quatre façades isolées par l'extérieur pour un total de 2,6 M€.

Le président a pu, au cours de sa visite, parler avec tous les professionnels partenaires du lycée et vérifier combien ces formations dans le solaire ou le photovoltaïque ont de l'avenir.

À Colomiers, on prépare déjà un diplôme… qui n'existe pas encore.

Près de 200 élèves des classes de terminales du lycée Eugène Montel, dont une seule fille, ont écouté le professeur Henri Joyeux, cancérologue et chirurgien à Montpellier parler de « santé, amour et sexualité ». Il tient des conférences de ce type « partout en France et en Navarre » tous les jeudis depuis 1982. Il a l'habitude de s'adresser aux jeunes, et sait qu'ils ont besoin d'informations. Il enchaîne les histoires, expériences professionnelles ou personnelles dont la moralité apparaît chaque fois comme une évidence.

Et passe de la tragédie à l'humour « Je m'appelle Joyeux et je suis éperdument optimiste ».

En une demi-heure, il parle de tout ce qui tourne autour du cœur et du corps pour conclure : « On aime d'abord avec son cœur ».

Puis vient le moment attendu des questions : anonymes. Elles sont écrites par chacun sur une feuille blanche.

« Quelle est l'influence de la drogue sur la sexualité, peut-on attraper le Sida sans avoir de rapport sexuel, pourquoi arrive-t-il que les préservatifs se déchirent, comment être sûr que ma copine m'aime ? ». Les questions en franc-parler attendent des réponses en franc-parler. Ca tombe bien, c'est tout l'art du Professeur Joyeux.

Voilà 10 ans que le lycée Montel propose la possibilité d'ajouter une dimension maritime à la filière Électrotechnique (ELEEC), et depuis cette année aussi à la filière Maintenance des Équipements Industriels (MEI).

Dans le cadre du partenariat qui lie le Ministère de Éducation Nationale et la Marine Nationale, c'est en Seconde Professionnelle que les jeunes peuvent adjoindre la Marine à leur formation professionnelle. Ils sont alors suivis individuellement par un marin du bureau de recrutement tout au long des 3 ans d'études qui les mènent au bac pro. Ils effectuent des stages pratiques et professionnels à bord des bateaux ou au Centre d'Instruction Navale de Saint Mandrier, Var.

Des jeunes motivés
C'est le cas de Jonathan qui a intégré le lycée Montel dans le but d'entrer dans la Marine. Il va passer son bac électrotechnique en juin. En fonction de ses résultats, il pourra être engagé comme « matelot de la Flotte » dès septembre 2010 pour un contrat de 4 ans. Son emploi sera adapté à sa formation. Si ses résultats au bac sont très bons, il pourra entrer à l'École des sous-officiers avec un contrat de 10 ans.

Cédric, quant à lui, a eu le déclic lors d'une conférence donnée au lycée. Ce qui lui plaît dans la Marine : l'esprit d'équipe et la rigueur. « Ce sont souvent des élèves motivés » confirme le Lieutenant de vaisseau Karine Trastour.

Pour symboliser le partenariat du lycée Eugène Montel avec la Marine Nationale, une ancre de 850 kg a été posée devant l'entrée de l'établissement.Invité pour son inauguration par la proviseur, Brigitte Plet, l'inspecteur d'académie Jean-Louis Baglan a rappelé que « jeter l'ancre » signifie « se stabiliser ». Tout un symbole pour les jeunes qui prennent cette voie.

Le lycée Eugène-Montel se mobilise pour Payman

Pour soutenir une famille de Kurdes syriens menacée d'expulsion, une pétition a réuni 1100 signatures dans quatre établissements.

Sur le coup de midi, il y avait, posées sur une petite table, à l'entrée du lycée Eugène-Montel, quelques boissons et une tarte au saumon. Malgré la pluie fine qui tombait, l'instant aurait pu être convivial. Mais il s'agissait bien 'autre chose que d'une rencontre profs-élèves. Tous étaient là, mobilisés, pour soutenir Payman K., jeune kurde syrien dont la famille est menacée d'expulsion d'un jour à l'autre.

Un bon élève
Payman, 17 ans, le cheveu court et le regard noir, s'exprime dans un excellent français. « C'est un garçon très agréable, un bon élève qui s'est parfaitement intégré dans l'établissement, en classe e de CAP électricité », affirme Carole Garnier, conseillère principale d'éducation. Payman vit avec sa famille dans un centre d'aide aux demandeurs d'asile. S'il est en France, c'est que son père, qui a fait de la prison, a fui un régime particulièrement dur avec les Kurdes. Mais les parents et les cinq enfants, arrivés fin 2006 dans notre pays, n'ont pas obtenu le droit d'asile, synonyme pour eux d'une nouvelle vie.

Sous le coup d'une OQTF (Obligation de quitter le territoire français), ils ont interjeté appel et attendent désormais la décision du préfet de Haute - Garonne. « Le père, qui était commerçant, a même une promesse d'embauche. Mais il lui faudrait des papiers. C'est l'éternelle histoire du serpent qui se mord la queue », explique Carole Garnier.

Un comité de soutien
Alors que faire ? Un comité de soutien à la famille s'est constitué, à l'initiative des élèves et des enseignants des établissements sfréquentés par Payman, Chahinez, Mohamed, Ahmed et Chirine. Le Réseau éducation sans frontières 31, La Ligue des droits de l'homme représentée, hier, par François Dumas, le Cercle laïque de Colomiers, avec à sa tête A. Carretier, le groupe majoritaire du conseil municipal, ont décidé de ne pas baisser les bras. La pétition qui a circulé au lycée Montel, au collège George-Sand, au collège Bellefontaine et à l'école primaire Bastide à Toulouse a déjà recueilli plus de mille cent signatures. « Dans le cadre de notre semaine d'action nationale, Nous manifesterons, demain, à 17 h 30, devant la préfecture, pour soutenir toutes les familles menacées d'expulsion », annonce RESF 31.

Hier, en mordant dans la tarte au saumon, Payman a pu voir qu'il n'est pas tout seul. Et qu'ils sont nombreux, ceux qui se lèvent pour dénoncer l'arbitraire pour lui permettre tout simplement de rester vivre en France et de continuer à aller au lycée.

Dans le cadre du club Unesco de l’établissement, les élèves de troisième Découverte professionnelle du lycée Eugène Montel de Colomiers ont décidé d’effectuer une collecte de jouets en faveur des enfants défavorisés du Secours populaire.

Après quelques jours, la réussite est totale et des centaines de jouets s’amoncèlent bientôt au lycée.

Manque la hotte du Père Noël !!!(...)


Les élèves décident donc de réinvestir une technique apprise dans le cadre de la découverte professionnelle : la fabrication d’objets et de meubles en carton. Des présentoirs avaient, en effet été fabriqués, sur demande de la ville de Colomiers pour exposer lors de la manifestation «Journée sans voiture ».

En utilisant des matériaux de récupération, les élèves réalisent donc une magnifique hotte en carton, réalisation qui entre pleinement dans le cadre de l’Agenda 21.

Félicités par le proviseur, Brigitte Plet et par leurs professeurs, Marie-Thérèse Vassori et Nicoles Comminges, les élèves ont remis la hotte et ses jouets aux bénévoles de l‘association.
Les deux cents jouets collectés ont été redistribués lors du marché de Noël du Secours populaire.

C’est un bel exemple de générosité, de solidarité mais aussi d’ingéniosité que ces élèves de Troisième Découverte professionnelle nous ont offert en ce début d’année

Le lycée professionnel Eugène Montel ouvrait ses portes au public samedi.

Près de 400 personnes ont ainsi pu découvrir une large palette de formations proposées dans ce lycée aux locaux rénovés et machines dernier cri.

Le lycée forme aux métiers de l'électrotechnique, de la chaudronnerie industrielle, de la maintenance, de l'électrotechnique ainsi que des systèmes électroniques numériques. Dans la région, ce premier lycée des énergies renouvelables propose aux titulaires du bac professionnel électrotechnique de suivre une formation post-bac d'un an dans cette spécialité.

Pour attirer chaque année de nouveaux élèves, le lycée tente de se démarquer. Depuis trois ans, un partenariat avec la marine nationale permet ainsi aux élèves de suivre des stages et de bénéficier de nouvelles opportunités d'embauche.

Mais nulle inquiétude à avoir pour parents et enfants étant donné que les besoins sont importants dans les métiers manuels. Dans les couloirs, une agréable ambiance de travail se dégage entre les membres de l'équipe pédagogique.

D'autre part, comme le souligne la proviseur Brigitte Plet, « les marqueurs démontrent que le lycée est bon et reconnu ».

Plus d'informations au 05 61 30 97 40 ou sur le site internet de l'établissement.

Le lycée Montel a depuis la rentrée de septembre une nouvelle proviseure. Nicole Girard succède à Brigitte Plet, mutée au lycée professionnel Hélène Boucher à Toulouse.

Originaire de Paris, arrivée à Toulouse en 1984, Nicole Girard a d'abord enseigné l'économie, la gestion et la bureautique avant d'occuper des postes d'encadrement. Depuis onze ans, elle a ainsi pu travailler dans des lycées généraux comme professionnels. « Je suis très heureuse de ma nouvelle affectation. Le lycée Montel jouit d'une très bonne réputation » a souligné cette ancienne proviseure adjointe du lycée Charles de Gaulle à Muret.

« Poursuivre le travail »
« Je poursuivrai le travail déjà réalisé pour développer l'image de l'établissement. J'ai la chance de travailler avec une équipe très stable et très professionnelle. Je sais que je peux compter sur eux » ajoute-t-elle. Parmi les nombreuses disciplines enseignées, Nicole Girard découvre la chaudronnerie. « C'est une discipline pleine de ressources et porteuse d'emplois qu'il faut continuer à valoriser.

Parmi ses objectifs, la nouvelle proviseure participera à l'élévation du niveau de qualification grâce au Bac professionnel en trois ans, ainsi que la mise en place de passerelles pour permettre aux élèves d'évoluer. Un BTS est d'ores et déjà inscrit pour la rentrée 2 012 dans la carte des formations menée par le rectorat et le conseil régional.

Aujourd'hui, les lycées diplômés d'un bac professionnel peuvent poursuivre une formation post-bac d'un an, en spécialisation « technicien énergies renouvelables » ou « photovoltaïque, éolienne ». De plus, le lycée est également partenaire depuis plusieurs années de la Marine, partenariat qui attire toujours plus de jeunes dans les filières électrotechniques, maintenance industrielle et systèmes électroniques.

« Le mardi 29 novembre, le lycée fêtera la Saint Eloi, patron des chaudronniers, dans le cadre de la semaine école-entreprise » conclut Nicole Girard, motivée pour relever de nouveaux défis dans cet établissement labellisé Lycée des Métiers.

Les élus de la Région Midi-Pyrénées remettront entre le 30 janvier et le 8 février, les derniers OrdiLib’ aux lycéens de la Haute-Garonne. Cette dernière distribution concerne les jeunes qui n'auraient pas pu se présenter aux distributions organisées à la fin du premier trimestre ou dont le dossier n'était pas complet à cette période.

Les OrdiLib' seront remis les lundi 30 janvier à 17h, au lycée Joseph Gallieni de Toulouse, mercredi 1er février, à 17h, aux lycéens du lycée Eugène Montel à Colomiers, mardi 7 février, à 17h, au lycée de Bagatelle à Saint-Gaudens et mercredi 8 février, à 17h également au lycée Jolimont à Toulouse.

Le principe de cette mesure sociale, proposée par Martin Malvy pour la première fois en France l’année dernière: contribuer à réduire la fracture numérique chez les jeunes et favoriser leur accès aux technologies de l’information et de la communication.

OrdiLib' est un dispositif social : la participation financière demandée aux familles est variable en fonction du quotient familial, allant de 30 € à 480 €.


La Région Midi-Pyrénées consacre 12 M€ sur 3 ans à cette mesure

Les cinq femmes d'Eugène Montel

De gauche à droite : Frédérique Franchi, Carole Garnier, Nicole Girard, Claudine Gavetti et Isabelle Garnier

Au lycée des métiers Eugène Montel de Colomiers, c'est tous les jours la journée de la femme. L'équipe de direction comprend six personnes, dont cinq postes sont occupés par des femmes, à l'exception du chef des travaux.

Nicole Girard est proviseur, Claudine Gavetti est proviseur adjoint, Carole Garnier et Frédérique Franchi sont conseillers principaux d'éducation, et Isabelle Garnier est gestionnaire agent comptable.

20 élèves filles
C'est une situation exceptionnelle dans un lycée professionnel, lycée des métiers exclusivement industriel préparant à des formations porteuses d'emploi qui vont du CAP au BTS, et où se font l'apprentissage de la chaudronnerie, de l'électrotechnique, de l'électronique, de la maintenance et des énergies renouvelables, scolarisant 530 élèves, dont 20 filles, soit 5 %, alors que l'équipe de direction est féminine à 85 %. Chez les élèves on retrouve l'une des filles de terminale électrotechnique qui siège au conseil académique de la vie lycéenne présidée par le recteur.

« Du fait du petit nombre, nous nous attachons particulièrement au bien être et à la réussite des jeunes filles de notre établissement », souligne madame le proviseur. « Nous organisons régulièrement des réunions où elles ont la possibilité d'exprimer leur vécu au quotidien ».

Aujourd'hui 8 mars, journée de la femme, elles participent à une rencontre avec des élues de la municipalité de Colomiers, à l'initiative de Claudine Mulazzi, adjointe à la communication. A cette occasion elles peuvent également découvrir une exposition sur le thème du planning familial et de la contraception. L'équipe des cinq femmes à la direction vit très bien dans ce lycée des métiers, entourées de 95 % d'élèves garçons : « Cet environnement très masculin ne gêne en rien le pilotage de l'ensemble des équipes, bien au contraire » constatent-elles. « Les cinq femmes d'Eugène » seront aussi, samedi 10 mars de 9 heures à 12 h 30, aux journées portes ouvertes du lycée des métiers Montel, tourné vers l'avenir et situé aux portes du parc aéronautique.

www.eugene-montel.entmip.fr