INTERNATIONAL SCHOOL COLOMIERS
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INTERNATIONAL SCHOOL COLOMIERS
La Deutsche Schule Toulouse (DST) et l'International School of Toulouse (IST) ont inauguré leur site commun appelé Eurocampus, situé à la sortie de Colomiers sur la route de Pibrac. Ce site comprend le jardin d'enfants et l'école primaire de l'école allemande de Toulouse ainsi que les écoles primaires et secondaires de l'International School of Toulouse.
Jusque-là, l'Ecole élémentaire et le jardin d'enfants allemands étaient « hébergés » dans les locaux de l'école Paul Bert, tandis que l'enseignement secondaire avait intégré le Lycée Victor Hugo en 1984. 340 élèves suivent actuellement un cursus germanique, avec la possibilité de passer tous les diplômes allemands jusqu'à l'Abitur, équivalent du bac.
L'International School of Toulouse a été fondée en 1999 sur le futur site d'Eurocampus. Elle concerne aujourd'hui 320 élèves de 4 à 18 ans de vingt nationalités différentes. Système éducatif britannique et possibilité de passer l'International Baccalaurate, diplôme mondialement reconnu.
A l'occasion de l'inauguration, les chefs des deux établissements, Mme Ulrike Kunert et M. Lesly Albiston ont reçu des hôtes de marque dont Tom Enders, Président et CEO d'Airbus et Mme Françoise Imbert, député de région. Ils ont remercié leurs sponsors et les autorités locales et régionales, précisant leur reconnaissance envers la mairie de Colomiers qui encourage, par sa politique d'ouverture aux autres cultures, l'éducation internationale.
Dans les divers discours en français, anglais et allemand, ils ont insisté sur les bénéfices de la mixité culturelle et la chance de pouvoir construire l'Europe de demain. Mme Kunert a insisté sur son désir de coopération avec les écoles françaises. M. Albiston, faisant allusion à l'adéquation des lieux, a cité Winston Churchill : "Nous modelons des bâtiments qui, à leur tour, nous modèlent ».
Source : La Dépêche du Midi
Jusque-là, l'Ecole élémentaire et le jardin d'enfants allemands étaient « hébergés » dans les locaux de l'école Paul Bert, tandis que l'enseignement secondaire avait intégré le Lycée Victor Hugo en 1984. 340 élèves suivent actuellement un cursus germanique, avec la possibilité de passer tous les diplômes allemands jusqu'à l'Abitur, équivalent du bac.
L'International School of Toulouse a été fondée en 1999 sur le futur site d'Eurocampus. Elle concerne aujourd'hui 320 élèves de 4 à 18 ans de vingt nationalités différentes. Système éducatif britannique et possibilité de passer l'International Baccalaurate, diplôme mondialement reconnu.
A l'occasion de l'inauguration, les chefs des deux établissements, Mme Ulrike Kunert et M. Lesly Albiston ont reçu des hôtes de marque dont Tom Enders, Président et CEO d'Airbus et Mme Françoise Imbert, député de région. Ils ont remercié leurs sponsors et les autorités locales et régionales, précisant leur reconnaissance envers la mairie de Colomiers qui encourage, par sa politique d'ouverture aux autres cultures, l'éducation internationale.
Dans les divers discours en français, anglais et allemand, ils ont insisté sur les bénéfices de la mixité culturelle et la chance de pouvoir construire l'Europe de demain. Mme Kunert a insisté sur son désir de coopération avec les écoles françaises. M. Albiston, faisant allusion à l'adéquation des lieux, a cité Winston Churchill : "Nous modelons des bâtiments qui, à leur tour, nous modèlent ».
Source : La Dépêche du Midi
Re: INTERNATIONAL SCHOOL COLOMIERS
Les enfants valides ont couru pour les enfants malades
Le «sports day» a permis aux élèves de l'International school d'aider l'association «Un maillot pour la vie».
Épuisés par une journée complète de sports (le sports day), les élèves de l'International school arborent tous un immense sourire. Au terme de ces épreuves par équipes concoctées par Lionel Pérez et Lucile Serres, ils ont pratiqué tous les sports possibles dans l'établissement.
Le matin était réservé aux sports co : rugby, foot, hand, basket et hockey. L'après-midi était consacrée aux sports individuels : badminton, course de haies, poids, hauteur et cross en relais. Le plus formidable dans cette journée d'intégration où les équipes étaient composées d'un élève de chaque niveau de classe, c'est qu'ils ont tous gagné.
Parce que l'important était de participer au bénéfice d'une extraordinaire association bien connue en Haute -Garonne : « Un maillot pour la vie ».
Stéphanie Fracassini, déléguée sport et animation, et Laure Pérez, bénévole, étaient présentes sur le stade en synthétique pour expliquer comment l'argent récolté est employé à adoucir la vie d'enfants malades et hospitalisés.
Berdos et Leforestier en renfort
Les deux belles savaient reçu deux renforts de choix. Le matin, Guillaume Berdos, pilier de l'US Colomiers, est venu prodiguer encouragements et efforts, appréciant particulièrement les joutes rugbystiques. Pour remettre les médailles, c'est un champion du monde de ski nautique (catégorie figures), Nicolas Leforestier qui a apporté son concours. Nicolas habite à Cugnaux et s'entraîne près de Muret. Élèves, professeurs, parents réunis au sein de l'association « Friends », ont ainsi démontré toute leur pugnacité tout au long de ce « jour sportif le plus long ».
Pour collecter des fonds pour « Un maillot pour la vie », il a été trouvé une formule originale : pour chaque but marqué, chaque performance de choix, chaque panier réussi, les équipes marquaient des points. Et le sponsor de chaque équipe était tenu de récompenser la performance. Inutile de dire que les fameux sponsors n'étaient autres que les parents des élèves qui n'ont pas rechigné à mettre la main à la poche à chaque exploit de leurs rejetons.
Au bout du compte, l'équipe du Japon a été la meilleure devant le Honduras et le Luxembourg. Le proviseur Leslie Albiston a dit aux élèves et aux profs toute sa fierté de voir l'International School associée à « Un maillot pour la vie ». Emmanuel Renou, le prof de français, a félicité le jeune James qui s'est donné à fond.
Dans le hall de l'établissement, est accroché le maillot d'un grand sportif, Martin Johnson, ex-capitaine de l'équipe d'Angleterre. Dédicacé à « Un maillot pour la vie ». Comme lui, comme de nombreux champions qui acceptent toujours de grand cœur de soutenir l'association, les élèves de l'International school qui ont réalisé leur bonheur d'être en bonne santé, n'oublieront jamais les enfants malades.
Le «sports day» a permis aux élèves de l'International school d'aider l'association «Un maillot pour la vie».
Épuisés par une journée complète de sports (le sports day), les élèves de l'International school arborent tous un immense sourire. Au terme de ces épreuves par équipes concoctées par Lionel Pérez et Lucile Serres, ils ont pratiqué tous les sports possibles dans l'établissement.
Le matin était réservé aux sports co : rugby, foot, hand, basket et hockey. L'après-midi était consacrée aux sports individuels : badminton, course de haies, poids, hauteur et cross en relais. Le plus formidable dans cette journée d'intégration où les équipes étaient composées d'un élève de chaque niveau de classe, c'est qu'ils ont tous gagné.
Parce que l'important était de participer au bénéfice d'une extraordinaire association bien connue en Haute -Garonne : « Un maillot pour la vie ».
Stéphanie Fracassini, déléguée sport et animation, et Laure Pérez, bénévole, étaient présentes sur le stade en synthétique pour expliquer comment l'argent récolté est employé à adoucir la vie d'enfants malades et hospitalisés.
Berdos et Leforestier en renfort
Les deux belles savaient reçu deux renforts de choix. Le matin, Guillaume Berdos, pilier de l'US Colomiers, est venu prodiguer encouragements et efforts, appréciant particulièrement les joutes rugbystiques. Pour remettre les médailles, c'est un champion du monde de ski nautique (catégorie figures), Nicolas Leforestier qui a apporté son concours. Nicolas habite à Cugnaux et s'entraîne près de Muret. Élèves, professeurs, parents réunis au sein de l'association « Friends », ont ainsi démontré toute leur pugnacité tout au long de ce « jour sportif le plus long ».
Pour collecter des fonds pour « Un maillot pour la vie », il a été trouvé une formule originale : pour chaque but marqué, chaque performance de choix, chaque panier réussi, les équipes marquaient des points. Et le sponsor de chaque équipe était tenu de récompenser la performance. Inutile de dire que les fameux sponsors n'étaient autres que les parents des élèves qui n'ont pas rechigné à mettre la main à la poche à chaque exploit de leurs rejetons.
Au bout du compte, l'équipe du Japon a été la meilleure devant le Honduras et le Luxembourg. Le proviseur Leslie Albiston a dit aux élèves et aux profs toute sa fierté de voir l'International School associée à « Un maillot pour la vie ». Emmanuel Renou, le prof de français, a félicité le jeune James qui s'est donné à fond.
Dans le hall de l'établissement, est accroché le maillot d'un grand sportif, Martin Johnson, ex-capitaine de l'équipe d'Angleterre. Dédicacé à « Un maillot pour la vie ». Comme lui, comme de nombreux champions qui acceptent toujours de grand cœur de soutenir l'association, les élèves de l'International school qui ont réalisé leur bonheur d'être en bonne santé, n'oublieront jamais les enfants malades.
Re: INTERNATIONAL SCHOOL COLOMIERS
Comme chaque année en cette période, l'IST présente une pièce de théâtre aux parents et amis des élèves. Cette fois, c'est une adaptation libre d'« Alice au pays des merveilles ». Trente-quatre élèves de 11 à 14 ans ont joué, chanté et dansé sur scène.
Les costumes ont été dessinés et confectionnés par une équipe d'enseignants, d'élèves et de parents. On reconnaît le chapelier fou, la chenille, le roi et la reine de cœur, à l'aise dans leur costume comme si c'était le leur.
Ce sont des élèves de 15 à 17 ans qui assurent le son, les lumières et projections, et l'arrière scène. Ils préparent un IGCSE en art dramatique (équivalent au brevet) ou un bac avec théâtre en option forte, et leur travail est évalué.
Les chorégraphies, le décor et les maquillages sont aussi made in IST. Au total, plus de 100 personnes ont participé à la création de cette œuvre musicale accompagnée par un orchestre d'élèves de la Deutsche Schule Toulouse. Une collaboration qui reflète la philosophie d'Eurocampus (IST + DST) et l'esprit international de l'IST.
En effet, les jeunes acteurs sont originaires de différents pays et dans la pièce, certains personnages parlent français ou espagnol, langue qui n'est pas toujours leur langue maternelle. Mais loin de chercher la performance, George Fearnehough, professeur de théâtre à l'IST, demande à une élève « est-ce que tu t'es amusée en jouant ce rôle ? ». La réponse est oui, et voilà l'essentiel.
Les costumes ont été dessinés et confectionnés par une équipe d'enseignants, d'élèves et de parents. On reconnaît le chapelier fou, la chenille, le roi et la reine de cœur, à l'aise dans leur costume comme si c'était le leur.
Ce sont des élèves de 15 à 17 ans qui assurent le son, les lumières et projections, et l'arrière scène. Ils préparent un IGCSE en art dramatique (équivalent au brevet) ou un bac avec théâtre en option forte, et leur travail est évalué.
Les chorégraphies, le décor et les maquillages sont aussi made in IST. Au total, plus de 100 personnes ont participé à la création de cette œuvre musicale accompagnée par un orchestre d'élèves de la Deutsche Schule Toulouse. Une collaboration qui reflète la philosophie d'Eurocampus (IST + DST) et l'esprit international de l'IST.
En effet, les jeunes acteurs sont originaires de différents pays et dans la pièce, certains personnages parlent français ou espagnol, langue qui n'est pas toujours leur langue maternelle. Mais loin de chercher la performance, George Fearnehough, professeur de théâtre à l'IST, demande à une élève « est-ce que tu t'es amusée en jouant ce rôle ? ». La réponse est oui, et voilà l'essentiel.
Re: INTERNATIONAL SCHOOL COLOMIERS
le calvaire d'un prof
Trois ans après son renvoi, la justice donne gain de cause à un professeur «remercié» du lycée international.
Dans son arrêt du15 janvier 2010, la Cour d'appel de Toulouse a condamné la Société Airbus Movbility pour licenciement injustifié de Richard John-Nerzic qui fut son professeur d'histoire jusqu'en décembre 2006.
L'annonce du jugement a mis un peu de baume au cœur à tous ceux,qui au sein du lycée International School , dénoncent depuis plusieurs années les pratiques de la direction.
Georges Labouysse, qui fut professeur de lettres raconte combien il avait été difficile d'imposer l'élection de délégués du personnel: «La directrice de l'époque refusait d'appliquer le droit français et il avait fallu que l'Inspection du travail intervienne. Mais cette dame, cousine de Margaret Thatcher n'avait jamais voulu nous recevoir et ne s'adressait à nous que par l'intermédiaire de son proviseur adjoint. La CFDT avait fini par s'installer , cédant ensuite la place à SRP-SUNDEP (Syndicat des personnels de l'enseignement et de la formation privés). Mais la directrice y avait perdu son poste et avait été remplacée par Leslie Albiston.
Quarante départs de profs en dix ans
Ce dernier a,selon le syndicat, poursuivi l'œuvre entreprise au point que circule sur Internet une photo de groupe sur laquelle plus de la moitié des visages de profs sont barrés d'une croix. Ils ont tous été remerciés pour diverses raisons.
Véronique Lhote, avocate au cabinet Sabatté, s'est occupée de trois cas. Celui de la secrétaire, Mme Boyce, «qui avait saisi la justice parce qu'elle s'estimait harcelée et qui avait été licenciée économique».
Celui de Mme Tanya Carlile, prof, «dont l'erreur avait été de transmettre involontairement une blague vidéo sur les ordinateurs des élèves de 4ème. Elle avait aussitôt réparé sa bévue et prévenu le proviseur. Le jour même, elle fut licienciée».
Enfin, Richard Jones-Nerzic dont le seul crime avait été, à la demande de l'intéressée, de diffuser la lettre de licenciement de sa collègue.
La direction l 'a accusé d'avoir volé cette lettre. Le charismatique professeur, qui avait initié un programme européen, le projet Comenius 2.1 Help Project dont le but était de former des enseignants au développement de leurs compétences informatiques et historiques, a été prié de prendre la porte le 23 décembre 2006.
Quatre procès gagnés
Alors, y -avait -il une «black list que Leslie Albiston aurait tenté de supprimer élément par élément ? Les syndicalistes, dont il ne reste plus qu'un représentant sur les six du début de l'école, étaient -ils spécialement visés ? Toujours est -il que depuis 2000 une quarantaine de professeurs ont quitté l'établissement, de gré ou de force. Et que les trois clients de Véronique Lhote ont tous trois gagné leurs procès, tout comme d'ailleurs, l'ancien proviseur adjoint.
Plus soulagés qu'heureux,les professeurs espèrent que l'International school alignera son fonctionnement sur le code français du travail. Richard Jones-Nerzic, lui, travaille désormais à Bruxelles.Et les 40 000euros de dommages et intérêts ne l'ont pas consolé. Contacté par nos soins à plusieurs reprises, le proviseur de l'établissement, M. Leslie Albiston a souhaité, hier soir, ne faire aucun commentaire sur cette affaire.
Condamnée pour licenciement
Richard Jones-Nerzic n'a pas oublié. Son épouse Florence non plus. « Nous étions profs tous les deux, nous venions d'acheter une maison près de Toulouse ; il a fallu partir, presque du jour au lendemain. Cela a été un véritable traumatisme pour notre fils de cinq ans. Et une vraie galère pour retrouver du travail », dit-elle.
« Prof adulé des élèves, plébiscité par les parents, admiré de ses pairs, Richard Jones-Nerzic a sûrement eu le tort de se syndiquer. Et celui de défendre des collègues menacés.
« L'histoire de la lettre n'était qu'un prétexte pour se séparer d e moi. J'ai passé une vingtaine d'entretiens avant de retrouver un poste. Finalement, nous avons déménagé deux ans en Slovaquie avant que Richard puisse travailler à l'école européenne de Bruxelles ».
L'international School
L'International School a été créé en 2000. L'établissement privé reçoit, dans d'excellentes conditions matérielles, 310 élèves âgés de 4 à 18 ans. Son conseil d 'administration est désigné par Airbus qui finance l'école par le biais de sa filiale la SAS Airbus Mobility, société administratrice. Les cours y sont donnés en anglais. La plupart des élèves sont des enfants du personnel d'Airbus ou de ses filiales.
Re: INTERNATIONAL SCHOOL COLOMIERS
Dernièrement, Suzanne Self-Prédhumeau, directrice de la Deutsche Schule Toulouse sur l'Eurocampus de Colomiers, accueillait Walter Momper, ancien maire de Berlin.
Membre du parti social démocrate SPD, il est actuellement président de la chambre des députés (Abgeordnetenhaus) de Berlin et se passionne pour le développement économique de cette capitale « En tant que président du Parlement, j'ai de bonnes relations avec les villes partenaires, Moscou, Varsovie, Prague, Bruxelles..»
Les élèves, leurs familles, amis et professeurs, tous ont été impressionnés par cet homme simple et chaleureux, venu leur parler de la réunification de l'Allemagne. Il fut le premier maire de la capitale réunifiée, mandat qu'il occupa jusqu'en 1991.
Lors de cette soirée, Walter Momper a parlé longuement de ses expériences et souvenirs de ce 9 novembre 1989, marqué par la chute du mur de Berlin. Le lendemain, il retrouvait les élèves de troisième, seconde et première, ainsi que leurs professeurs de sciences politiques : « Je suis très heureux de venir vous raconter les choses fortes que j'ai vécues, vous parler de l'Europe dans cette région de Toulouse où je viens pour la première fois, et où la communauté allemande est très importante. Airbus est un bel exemple de coopération européenne et de succès sur les marchés mondiaux ».
Walter Momper a ensuite visité l'usine d'assemblage de l'A380, puis, à Toulouse, la basilique Saint-Sernin et le marché Victor-Hugo : « Toulouse est une très belle ville, les bâtiments en briques roses m'ont impressionné », dit-il.
La venue de Walter Momper s'est faite à l'initiative du consulat général d'Allemagne de Bordeaux. Ensuite il sera reçu à la mairie de Bordeaux et au Goethe-Institut, puis à Poitiers, avant de rentrer à Berlin.
Membre du parti social démocrate SPD, il est actuellement président de la chambre des députés (Abgeordnetenhaus) de Berlin et se passionne pour le développement économique de cette capitale « En tant que président du Parlement, j'ai de bonnes relations avec les villes partenaires, Moscou, Varsovie, Prague, Bruxelles..»
Les élèves, leurs familles, amis et professeurs, tous ont été impressionnés par cet homme simple et chaleureux, venu leur parler de la réunification de l'Allemagne. Il fut le premier maire de la capitale réunifiée, mandat qu'il occupa jusqu'en 1991.
Lors de cette soirée, Walter Momper a parlé longuement de ses expériences et souvenirs de ce 9 novembre 1989, marqué par la chute du mur de Berlin. Le lendemain, il retrouvait les élèves de troisième, seconde et première, ainsi que leurs professeurs de sciences politiques : « Je suis très heureux de venir vous raconter les choses fortes que j'ai vécues, vous parler de l'Europe dans cette région de Toulouse où je viens pour la première fois, et où la communauté allemande est très importante. Airbus est un bel exemple de coopération européenne et de succès sur les marchés mondiaux ».
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