Ils retrouvent leur chat décapité dans le jardin
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Ils retrouvent leur chat décapité dans le jardin
Patricia Bartolo, la mère de famille, et Martine Rodriguez, membre d'une association de défense animale, sont consternées par ce qui est arrivé à Mimi.
Égorgé vif et à demi décapité, c'est ainsi qu'une famille columérine a retrouvé son chat en fin de semaine dernière, allée de Bourgogne. Ce spectacle terrifiant est venu conclure trois jours d'angoisse pour les Bartolo. « Mimi est sortie mardi soir comme d'habitude, relate Patricia, la mère de famille. Nous l'avons appelée mais elle n'est pas rentrée. »
Les heures passent, le couple et ses deux enfants n'ont toujours pas de nouvelles de leur chatte. « Jeudi, en rentrant, j'ai trouvé mes enfants en larmes, poursuit Patricia. En ouvrant la boîte aux lettres ils avaient retrouvé le collier de Mimi coupé au ciseau ou au cutter ou au couteau, je ne sais pas. Il n'y avait pas un mot. Je pense qu'on a voulu que ce soit eux qui le trouvent car ils ont l'habitude de prendre le courrier. »
Face à cette découverte, les parents craignent déjà le pire et demandent aux éboueurs de faire attention et de regarder si toutefois Mimi n'a pas été jetée dans une poubelle. En vain.
Jusqu'aux cervicales
Vendredi matin, Patrick, le père de famille fait le tour de son jardin. Et, à quelques mètres de la clôture qui donne sur la rue, il fait la macabre découverte. « Mimi avait été jetée avec force depuis la rue. Elle était égorgée et à moitié décapitée. Il n'y a qu'un psychopathe pour faire ça ! Les enfants sont traumatisés. On vit dans la terreur. »
Aussitôt, ils déposent plainte au commissariat et font autopsier l'animal par un vétérinaire expert. « La vétérinaire a été choquée, elle n'avait jamais vu une cruauté pareille. » En effet, l'animal n'avait pas été endormi ou empoisonné au préalable. Mimi a été égorgée vive. « Il fallait être très fort pour la maintenir en l'égorgeant jusqu'aux cervicales. Elle a dû crier fort. »
Appel a témoins
Martine Rodriguez est membre d'une association de protection animale. Le récit des Bartolo l'a secouée. « Je suis écœurée et scandalisée par cet acte monstrueux. Il faut faire condamner le responsable de cette ignominie. De tels actes sont passibles de deux ans de prison et 30 000 € d'amende. Je lance un appel à témoins. Quelqu'un a forcément vu ou entendu quelque chose. »
Plus question pour la famille Bartolo d'adopter un nouveau chat. Plus encore, ils envisagent de déménager rapidement. « J'ai peur pour mes enfants, peur qu'après Mimi cette personne inconnue s'en prenne à nous. »
Sadisme, vengeance, acte d'un dément... il est impossible pour l'heure de fournir une explication à l'acharnement subi par Mimi.
Pour tout témoignage : 06 64 72 04 27.
Égorgé vif et à demi décapité, c'est ainsi qu'une famille columérine a retrouvé son chat en fin de semaine dernière, allée de Bourgogne. Ce spectacle terrifiant est venu conclure trois jours d'angoisse pour les Bartolo. « Mimi est sortie mardi soir comme d'habitude, relate Patricia, la mère de famille. Nous l'avons appelée mais elle n'est pas rentrée. »
Les heures passent, le couple et ses deux enfants n'ont toujours pas de nouvelles de leur chatte. « Jeudi, en rentrant, j'ai trouvé mes enfants en larmes, poursuit Patricia. En ouvrant la boîte aux lettres ils avaient retrouvé le collier de Mimi coupé au ciseau ou au cutter ou au couteau, je ne sais pas. Il n'y avait pas un mot. Je pense qu'on a voulu que ce soit eux qui le trouvent car ils ont l'habitude de prendre le courrier. »
Face à cette découverte, les parents craignent déjà le pire et demandent aux éboueurs de faire attention et de regarder si toutefois Mimi n'a pas été jetée dans une poubelle. En vain.
Jusqu'aux cervicales
Vendredi matin, Patrick, le père de famille fait le tour de son jardin. Et, à quelques mètres de la clôture qui donne sur la rue, il fait la macabre découverte. « Mimi avait été jetée avec force depuis la rue. Elle était égorgée et à moitié décapitée. Il n'y a qu'un psychopathe pour faire ça ! Les enfants sont traumatisés. On vit dans la terreur. »
Aussitôt, ils déposent plainte au commissariat et font autopsier l'animal par un vétérinaire expert. « La vétérinaire a été choquée, elle n'avait jamais vu une cruauté pareille. » En effet, l'animal n'avait pas été endormi ou empoisonné au préalable. Mimi a été égorgée vive. « Il fallait être très fort pour la maintenir en l'égorgeant jusqu'aux cervicales. Elle a dû crier fort. »
Appel a témoins
Martine Rodriguez est membre d'une association de protection animale. Le récit des Bartolo l'a secouée. « Je suis écœurée et scandalisée par cet acte monstrueux. Il faut faire condamner le responsable de cette ignominie. De tels actes sont passibles de deux ans de prison et 30 000 € d'amende. Je lance un appel à témoins. Quelqu'un a forcément vu ou entendu quelque chose. »
Plus question pour la famille Bartolo d'adopter un nouveau chat. Plus encore, ils envisagent de déménager rapidement. « J'ai peur pour mes enfants, peur qu'après Mimi cette personne inconnue s'en prenne à nous. »
Sadisme, vengeance, acte d'un dément... il est impossible pour l'heure de fournir une explication à l'acharnement subi par Mimi.
Pour tout témoignage : 06 64 72 04 27.
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