Les Entreprises sur notre commune
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Les Entreprises sur notre commune
Laroche Industries, partenaire des acteurs majeurs de l'aéronautique
La société s'est spécialisée dans l'ingénierie d'équipement de production aéronautique et le montage de chaînes d'assemblage.
Dans ses locaux de l'avenue Guynemer, les équipes de Laroche Industries, des ingénieurs d'études aux monteurs, apportent leur-savoir faire aux plus grands donneurs d'ordre de l'aéronautique. Depuis 2000, date de sa création, Laroche Industries s'est vue confier des prestations globales pour la conception, la réalisation et le montage de chaînes d'assemblage, dont elle assure également la maintenance. On lui doit, par exemple, l'étude et la réalisation des accès sur voilure de la chaîne d'assemblage de l'A380, un bâti d'assemblage pour Aircelle au Havre, ou encore des activités de maintenance en condition opérationnelle de chaînes sur le site d'Airbus Méaulte.
« Les besoins de nos clients sont en flux continu », souligne Olivier de Redon, directeur commercial. « Il faut savoir réagir rapidement à une demande ».
Pour réaliser ces prestations, Laroche industries met en œuvre des équipes constituées autour de trois pôles. Intervient en premier lieu un bureau d'études composé d'une vingtaine de collaborateurs, ingénieurs, techniciens, dessinateurs. Ce sont ensuite les équipes techniques et méthodes qui assurent le lancement des réalisations et le suivi des chantiers. Enfin, un service montage et intégration de 10 collaborateurs gère la mise au point des outillages, les contrôles et les réglages, sous la surveillance d'inspecteurs qualité.
Des personnels qualifiés
Certifiée EN 9100, la société assure également la formation de ses personnels aux divers procédés applicables et la qualification de tous ses opérateurs aux normes définies par Airbus.
« Sur notre marché, on ne trouve pas forcément des gens formés, explique Olivier de Redon. C'est pourquoi nous recrutons pour certains métiers de jeunes collaborateurs. Nous les choisissons « futés » et prenons ensuite en charge une formation théorique et pratique de 6 mois ».
En 2008, l'activité s'est principalement développée dans les domaines de l'aérostructure et de la maintenance. Mais la société affiche sa volonté de continuer à croître dans le domaine de la conception et la production d'outillage, son cœur de métier.
« Le début de l'année 2009 sera sans doute difficile, les annonces de ralentissement d'activités par les compagnies aériennes ne sont pas rassurantes. Toutefois, nous espérons ensuite une accélération et maintenons nos prévisions de croissance » conclut le directeur commercial, qui a recruté en 2008 une dizaine de collaborateurs.
Fiche technique
Chiffre d'affaires 2007 : 8,2 millions €
Effectif : 80 salariés
26 avenue guynemer
31770 Colomiers
Site internet : www.laroche-groupe.fr
La société s'est spécialisée dans l'ingénierie d'équipement de production aéronautique et le montage de chaînes d'assemblage.
Dans ses locaux de l'avenue Guynemer, les équipes de Laroche Industries, des ingénieurs d'études aux monteurs, apportent leur-savoir faire aux plus grands donneurs d'ordre de l'aéronautique. Depuis 2000, date de sa création, Laroche Industries s'est vue confier des prestations globales pour la conception, la réalisation et le montage de chaînes d'assemblage, dont elle assure également la maintenance. On lui doit, par exemple, l'étude et la réalisation des accès sur voilure de la chaîne d'assemblage de l'A380, un bâti d'assemblage pour Aircelle au Havre, ou encore des activités de maintenance en condition opérationnelle de chaînes sur le site d'Airbus Méaulte.
« Les besoins de nos clients sont en flux continu », souligne Olivier de Redon, directeur commercial. « Il faut savoir réagir rapidement à une demande ».
Pour réaliser ces prestations, Laroche industries met en œuvre des équipes constituées autour de trois pôles. Intervient en premier lieu un bureau d'études composé d'une vingtaine de collaborateurs, ingénieurs, techniciens, dessinateurs. Ce sont ensuite les équipes techniques et méthodes qui assurent le lancement des réalisations et le suivi des chantiers. Enfin, un service montage et intégration de 10 collaborateurs gère la mise au point des outillages, les contrôles et les réglages, sous la surveillance d'inspecteurs qualité.
Des personnels qualifiés
Certifiée EN 9100, la société assure également la formation de ses personnels aux divers procédés applicables et la qualification de tous ses opérateurs aux normes définies par Airbus.
« Sur notre marché, on ne trouve pas forcément des gens formés, explique Olivier de Redon. C'est pourquoi nous recrutons pour certains métiers de jeunes collaborateurs. Nous les choisissons « futés » et prenons ensuite en charge une formation théorique et pratique de 6 mois ».
En 2008, l'activité s'est principalement développée dans les domaines de l'aérostructure et de la maintenance. Mais la société affiche sa volonté de continuer à croître dans le domaine de la conception et la production d'outillage, son cœur de métier.
« Le début de l'année 2009 sera sans doute difficile, les annonces de ralentissement d'activités par les compagnies aériennes ne sont pas rassurantes. Toutefois, nous espérons ensuite une accélération et maintenons nos prévisions de croissance » conclut le directeur commercial, qui a recruté en 2008 une dizaine de collaborateurs.
Fiche technique
Chiffre d'affaires 2007 : 8,2 millions €
Effectif : 80 salariés
26 avenue guynemer
31770 Colomiers
Site internet : www.laroche-groupe.fr
Re: Les Entreprises sur notre commune
Colomiers. Midi-Pyrénées Industrie : A vos marques... Prêts ? Nettoyez !
Fabricant assembleur de produits d'entretien, Midi-Pyrénées Industrie s'adresse aux professionnels
.Fabricant assembleur de produits d'entretien, Midi-Pyrénées Industrie s'adresse aux professionnels
Depuis 30 ans, la société MPI a fait son chemin. Dans un secteur où la concurrence est rude, l'entreprise familiale implantée 23 route de la Salvetat à Colomiers, met en avant les atouts d'une petite structure : des produits à façon pour des clients qu'elle connaît et qu'elle écoute, de la souplesse et de la réactivité.
« Aujourd'hui, notre rayonnement commercial s'étend de Bordeaux à Monaco » annonce Valérie Tixier, qui a repris il y a 3 ans les rênes de la société fondée par ses parents au début des années 80.
Assistée de Renaud Vial, chimiste et responsable qualité, Valérie Tixier gère une équipe de 19 personnes, dont une quinzaine de commerciaux répartis sur toute la zone commerciale.
Certifiée ISO 9001, la société s'enorgueillit d'un large porte feuille de clients, des collectivités locales à l'armée, en passant par les industriels ou la SNCF. Aujourd'hui, elle entend multiplier les produits aussi respectueux de l'environnement que possible, dans un cadre réglementaire de plus en plus contraignant. « L'avenir est aux produits hautement biodégradables et c'est vers ce type de produits que nous cherchons à nous développer et à nous démarquer » indique Renaud Vial.
DES PRODUITS SUR MESURE
Aérosols, détergents, phytosanitaires, la gamme comprend aujourd'hui plus de 200 références. « Nous livrons des quantités minimum de 30 litres, avec, pour chaque produit, une documentation technique comportant, outre la composition du produit, une notice d'utilisation détaillée. Et bien entendu, nous assurons un suivi technique.»
S'efforçant de répondre précisément aux besoins de ses clients, elle offre aussi un service réactif : tout produit commandé le matin est préparé dans la journée dans l'unité de production pour être expédié dès le lendemain.
« C'est notre réactivité qui nous rend compétitif et fait notre force », conclut Valérie Tixier, souriante et confiante.
Fiche technique
Chiffre d'affaires 2007 : 950 000€
Effectif : 19 salariés
Adresse : 23 route de la Salvetat à Colomiers.
Tel. 05 61 78 82 62
« Aujourd'hui, notre rayonnement commercial s'étend de Bordeaux à Monaco » annonce Valérie Tixier, qui a repris il y a 3 ans les rênes de la société fondée par ses parents au début des années 80.
Assistée de Renaud Vial, chimiste et responsable qualité, Valérie Tixier gère une équipe de 19 personnes, dont une quinzaine de commerciaux répartis sur toute la zone commerciale.
Certifiée ISO 9001, la société s'enorgueillit d'un large porte feuille de clients, des collectivités locales à l'armée, en passant par les industriels ou la SNCF. Aujourd'hui, elle entend multiplier les produits aussi respectueux de l'environnement que possible, dans un cadre réglementaire de plus en plus contraignant. « L'avenir est aux produits hautement biodégradables et c'est vers ce type de produits que nous cherchons à nous développer et à nous démarquer » indique Renaud Vial.
DES PRODUITS SUR MESURE
Aérosols, détergents, phytosanitaires, la gamme comprend aujourd'hui plus de 200 références. « Nous livrons des quantités minimum de 30 litres, avec, pour chaque produit, une documentation technique comportant, outre la composition du produit, une notice d'utilisation détaillée. Et bien entendu, nous assurons un suivi technique.»
S'efforçant de répondre précisément aux besoins de ses clients, elle offre aussi un service réactif : tout produit commandé le matin est préparé dans la journée dans l'unité de production pour être expédié dès le lendemain.
« C'est notre réactivité qui nous rend compétitif et fait notre force », conclut Valérie Tixier, souriante et confiante.
Fiche technique
Chiffre d'affaires 2007 : 950 000€
Effectif : 19 salariés
Adresse : 23 route de la Salvetat à Colomiers.
Tel. 05 61 78 82 62
Source : La Dépêche du Midi
Re: Les Entreprises sur notre commune
Axible Technologies : «Que des éléments positifs»
La jeune société Axible Technologies vient de quitter la pépinière de Colomiers, qui l'hébergeait depuis avril 2007. Elle rejoint son partenaire technologique Goojet dans des locaux à Labège, qu'elle inaugurera demain.
De son passage en pépinière, Valérie Balavoine, fondatrice et dirigeante de l'entreprise, ne retient que des éléments positifs. « Nous avons été la première entreprise dans le bâtiment Socrate, dans la zone du Perget, à Colomiers. Notre dossier a très vite reçu un écho favorable. Deux mois après la création de notre entreprise, nous emménagions. ». Premier point fort de l'accueil en pépinière : le prix du mètre carré, très peu élevé au départ, qui évolue ensuite en fonction du chiffre d'affaires réalisé. Mais aussi la mise à disposition de services partagés : salles de réunion, pôles de réception des clients, accès quotidien à la presse... « Etre en pépinière permet d'être proche de l'environnement économique ; nous avons bénéficié du soutien de la CCIT, du Grand Toulouse, de la mairie de Colomiers. Stéphane Douce est arrivé en mars à la direction, il a insufflé une véritable dynamique de synergies entre les entreprises hébergées ». Preuve en est le projet de convergence entre la technologie de contrôle d'accès à distance, développée par Axible Technologies et celle de RFID initiée par Fréquentiel, l'une des 3 autres sociétés de la pépinière.
Aujourd'hui, la société en plein essor prévoit de s'adosser à un fonds d'investissement avant la fin de l'année, de continuer à embaucher ( 3 personnes actuellement) et d'assurer une croissance de + 50% de son chiffre d'affaires en 2009 (90000 € en 2008). Débuts prometteurs
Re: Les Entreprises sur notre commune
Pépinières d'entreprises...
Avec un parc immobilier de 18 000 m2 et 80 entreprises hébergées au sein de ses pépinières et hôtels d'entreprises, le Grand Toulouse soutient la prise d'initiative économique. La communauté d'agglomération s'appuie sur la SEMIDIAS, à qui elle en a confié la gestion. Depuis 2001, plus de 200 entreprises, qui représentent 800 emplois, ont pu bénéficier de ces services d'accompagnement à la création, avec le support de l'incubateur régional et de la Chambre de commerce et d'industrie. Trois pépinières dédiées à l'accueil d'entreprises innovantes, à Basso Cambo, Montaudran et au Perget (Colomiers) viennent d'obtenir la certification NF Service délivrée par l'AFNOR. Ce sont les quarantièmes pépinières certifiées sur les 350 en France. En 2009, deux nouveaux sites ouvriront, à Bordelongue et au Canceropôle. Et trois autres sites sont prévus. Hier, au salon de l'entreprise Midi-Pyrénées, la société NEXIO a reçu le trophée régional du concours « génération pépinières », récompensant les entreprises qui ont connu un développement remarquable. Hébergée à Basso Cambo, Nexio opère dans le domaine de la compatibilité électromagnétique.
Re: Les Entreprises sur notre commune
Agathe ze com vise les petites et moyennes entreprises
Anne Genevay se lance dans la communication de proximité et crée son emploi et son agence.
Anne Genevay est courageuse. Après 5 ans passés chez Monné Decroix, où elle a occupé un poste de chargée de communication, elle se retrouve en 2007 sur le marché du travail. « En cherchant un nouvel emploi, j'ai rencontré bon nombre d'entreprises qui se sont déclarées intéressées par mon profil, sans pour autant avoir de budget pour créer un poste de communication. Au fil de ces rencontres, je me suis aperçue que j'avais les compétences pour proposer des prestations adaptées à leurs besoins » analyse-t-elle. Diplômée de l'EFAP de Lyon, la jeune femme a travaillé durant plus de 15 ans tour à tour dans la communication, notamment dans les domaines sportif et immobilier, et dans le journalisme, pour Le Dauphiné Libéré. Elle s'est installée à Colomiers en 2000 et a su se constituer un réseau de contacts qui la soutiennent aujourd'hui.
« De nombreuses entreprises de taille modeste ont besoin de développer une communication adaptée, sans envisager de dépenses inconsidérées », constate la chef d'entreprise. « Je vais consacrer une grande partie de mon temps à identifier ces entreprises et à leur proposer mes services, pour la création de plaquettes, de logo, de dossiers de presse ou encore l'animation de sites internet ».
un travail avec les retraités
C'est la société de formation en langues étrangères Holà Hello qui l'a convaincue de se lancer. Pour cette structure, Anne Genevay a analysé une problématique, celle des heures creuses. Elle a alors organisé une participation au salon « Bien vivre et bien vieillir à Colomiers » pour sensibiliser les retraités, disponibles les après-midis, à l'apprentissage des langues.
Contact : www.agathezecom.fr
Source : La Dépêche du Midi
Les salariés Teisseire dans la précarité
Ils attendent les indemnités. Ils pourraient en savoir plus vendredi.
Les salariés de l'usine Teisseire de Colomiers, actuellement en redressement judiciaire, espèrent en savoir plus vendredi sur leur situation.
Ce jour-là en effet, le président du tribunal de commerce se verra remettre les données financières de l'entreprise. Il statuera donc pour une poursuite du redressement s'il y a des évolutions notables ou pour une liquidation judiciaire.
José Vieira, secrétaire du comité d'entreprise, revient sur les difficultés éprouvées depuis deux mois. « Tout s'est déclenché le 30 septembre. Les salariés devaient partir avec les indemnités légales et supra légales. Mais, juste avant, le repreneur s'est mis en redressement. De ce fait, le plan social n'était plus financé, regrette-t-il. Trois quarts des salariés licenciés sont donc partis sans indemnités. »
Teisseire est à son tour placé en redressement judiciaire. « Les personnes licenciées ont eu leurs indemnités légales par le fonds de garantie des salaires. »
Les salariés de l'usine Teisseire de Colomiers, actuellement en redressement judiciaire, espèrent en savoir plus vendredi sur leur situation.
Ce jour-là en effet, le président du tribunal de commerce se verra remettre les données financières de l'entreprise. Il statuera donc pour une poursuite du redressement s'il y a des évolutions notables ou pour une liquidation judiciaire.
José Vieira, secrétaire du comité d'entreprise, revient sur les difficultés éprouvées depuis deux mois. « Tout s'est déclenché le 30 septembre. Les salariés devaient partir avec les indemnités légales et supra légales. Mais, juste avant, le repreneur s'est mis en redressement. De ce fait, le plan social n'était plus financé, regrette-t-il. Trois quarts des salariés licenciés sont donc partis sans indemnités. »
Teisseire est à son tour placé en redressement judiciaire. « Les personnes licenciées ont eu leurs indemnités légales par le fonds de garantie des salaires. »
Salariés de la Camif : « Il n'y a pas que les clients qui sont floués ! »
Du jour au lendemain leur magasin situé au Perget a fermé ses portes. La triste histoire de trois licenciés économiques.
Jacky Pellegeais, Delphin Bonato et Gilles Penisson, trois des dix-neuf licenciés et « floués » du site Camif de Colomiers. Photo DDM,
«Qui sont les plus floués. Est-ce que ce sont nos clients qui commencent à être remboursés ou nous ? » Delphin Bonato, 54 ans, Gilles Penisson, 51 ans et Jacky Pellegeais, 55 ans, anciens salariés de la Camif Colomiers sont amers. Licenciés économiques depuis le 19 novembre dernier, ils ont arrêté de travailler le 23 octobre. « Le mercredi, on est allés travailler normalement. Aucune rumeur de cessation ne filtrait. Le lendemain idem. On s'est mis au travail en arrivant à 10 heures et à 11 heures, on nous a dit que le magasin fermait le soir même. » La douche froide ! Delphin Bonato, vendeur, Gilles Penisson, cuisiniste et Jacky Pellegeais chargé de la maintenance et de la déco se souviennent qu'ils étaient « assommés ». L'annonce fatale leur est tombée dessus sans crier gare. Ils estiment avoir subi un lourd préjudice moral et financier. Puisque leur salaire de novembre ne leur a pas été versé. « En compensation on nous a versé de l'argent sur notre solde de congés d'hiver et d'été 2009, mais on attend toujours notre salaire. »
Le cœur gros
Revenant sur des reproches faits au personnel de la Camif sur des blogs, ils tiennent à rectifier quelques dérapages : « On n'a jamais forcé les gens à payer la totalité de la commande. On proposait toujours les meilleurs services, des facilités de paiement échelonné de 4 à 10 fois sans frais. Bien sûr chacun était libre de payer la totalité de ses achats ou pas. » Blessés par les propos tenus par certains de leurs clients, les anciens salariés de la Camif veulent faire savoir qu'ils sont des gens honnêtes.
La semaine dernière, trois des 19 salariés de la Camif Colomiers, sont revenus, le cœur gros sur leur lieu de travail. « Tout le matériel qu'on a laissé était là, intact. Nous pouvons témoigner qu'il n'y a pas de vente au personnel, comme ça a été dit ici et là ». (1)
Chaque jour qui passe depuis la fermeture brutale du site de Colomiers et des autres sites en France (2), ils sont tenaillés par un lancinant pincement au cœur, après tant d'années d'activités dans une entreprise aimée et une clientèle appréciée. « Les sociétaires c'était des amis, on avait des contacts privilégiés avec la plupart d'entre eux ». Jacky Pellegeais est très attaché à la Camif où il a travaillé sur le site de Labarthe pendant plus de 30 ans avant de se retrouver dans un magasin neuf à Colomiers, en mars dernier.
RECLASSEMENT
Aucun des trois n'est dupe de la « mauvaise gestion et des mauvaises stratégies de la part du conseil d'administration comme cette idée de lancer des magasins de luxe en Allemagne et à Paris, des ventes par correspondance au Portugal et en Tchécoslovaquie. Mais ça n'a pas marché ».
À l'approche des vœux de bonne année, ces trois-là se souhaitent de retrouver rapidement du travail et se rendent régulièrement une fois par semaine dans leur cabinet d e reclassement, où avec les autres salariés ils se serrent les coudes.
« On est dans une convention de reclassement personnalisé proposée par le liquidateur judiciaire, mais dans notre tranche d'âge, c'est plus difficile de retrouver du travail. Et s'installer à son compte par les temps qui courent, c'est risqué. Chacun d'entre nous monte son dossier et on n'abandonne pas l'idée d'aller en justice ».
Jacky Pellegeais, Delphin Bonato et Gilles Penisson, trois des dix-neuf licenciés et « floués » du site Camif de Colomiers. Photo DDM,
«Qui sont les plus floués. Est-ce que ce sont nos clients qui commencent à être remboursés ou nous ? » Delphin Bonato, 54 ans, Gilles Penisson, 51 ans et Jacky Pellegeais, 55 ans, anciens salariés de la Camif Colomiers sont amers. Licenciés économiques depuis le 19 novembre dernier, ils ont arrêté de travailler le 23 octobre. « Le mercredi, on est allés travailler normalement. Aucune rumeur de cessation ne filtrait. Le lendemain idem. On s'est mis au travail en arrivant à 10 heures et à 11 heures, on nous a dit que le magasin fermait le soir même. » La douche froide ! Delphin Bonato, vendeur, Gilles Penisson, cuisiniste et Jacky Pellegeais chargé de la maintenance et de la déco se souviennent qu'ils étaient « assommés ». L'annonce fatale leur est tombée dessus sans crier gare. Ils estiment avoir subi un lourd préjudice moral et financier. Puisque leur salaire de novembre ne leur a pas été versé. « En compensation on nous a versé de l'argent sur notre solde de congés d'hiver et d'été 2009, mais on attend toujours notre salaire. »
Le cœur gros
Revenant sur des reproches faits au personnel de la Camif sur des blogs, ils tiennent à rectifier quelques dérapages : « On n'a jamais forcé les gens à payer la totalité de la commande. On proposait toujours les meilleurs services, des facilités de paiement échelonné de 4 à 10 fois sans frais. Bien sûr chacun était libre de payer la totalité de ses achats ou pas. » Blessés par les propos tenus par certains de leurs clients, les anciens salariés de la Camif veulent faire savoir qu'ils sont des gens honnêtes.
La semaine dernière, trois des 19 salariés de la Camif Colomiers, sont revenus, le cœur gros sur leur lieu de travail. « Tout le matériel qu'on a laissé était là, intact. Nous pouvons témoigner qu'il n'y a pas de vente au personnel, comme ça a été dit ici et là ». (1)
Chaque jour qui passe depuis la fermeture brutale du site de Colomiers et des autres sites en France (2), ils sont tenaillés par un lancinant pincement au cœur, après tant d'années d'activités dans une entreprise aimée et une clientèle appréciée. « Les sociétaires c'était des amis, on avait des contacts privilégiés avec la plupart d'entre eux ». Jacky Pellegeais est très attaché à la Camif où il a travaillé sur le site de Labarthe pendant plus de 30 ans avant de se retrouver dans un magasin neuf à Colomiers, en mars dernier.
RECLASSEMENT
Aucun des trois n'est dupe de la « mauvaise gestion et des mauvaises stratégies de la part du conseil d'administration comme cette idée de lancer des magasins de luxe en Allemagne et à Paris, des ventes par correspondance au Portugal et en Tchécoslovaquie. Mais ça n'a pas marché ».
À l'approche des vœux de bonne année, ces trois-là se souhaitent de retrouver rapidement du travail et se rendent régulièrement une fois par semaine dans leur cabinet d e reclassement, où avec les autres salariés ils se serrent les coudes.
« On est dans une convention de reclassement personnalisé proposée par le liquidateur judiciaire, mais dans notre tranche d'âge, c'est plus difficile de retrouver du travail. Et s'installer à son compte par les temps qui courent, c'est risqué. Chacun d'entre nous monte son dossier et on n'abandonne pas l'idée d'aller en justice ».
Re: Les Entreprises sur notre commune
A350 : pose de la 1ère pierre de l'usine
C'est sur le site de l'usine actuelle Clément Ader qui assemble les longs courriers d'Airbus (A330 et A340) que sera posée le 15 janvier prochain la première pierre de la future usine de l'A350. Un temps, Airbus pensait utiliser l'usine Clément Ader pour assembler l'A350 mais la présence massive des matériaux composites dans le futur long courrier impose de nouveaux process et de nouveaux outillages. Le premier vol est prévu en 2012 alors que l'usine doit assembler 13 avions par mois.
Une société de Colomiers lance la serrure biométrique
Rentrer chez soi grâce à une empreinte digitale
Une société de Colomiers lance la serrure biométrique. Il suffit de poser le doigt sur un écran.
Philippe Bezers présente les types de serrures proposées par sa société. Photo DDM, F. CharmeuxDans quelque temps, utiliser sa clé pour rentrer chez soi fera presque partie du passé. La serrure biométrique sera passée par là !
Commercialisé dès le premier trimestre 2009 par la société BT Security Systems, ce nouveau procédé est en pleine expansion.
« Décriée par ses détracteurs lorsqu'elle est utilisée à des fins de surveillance des individus, la biométrie présente pourtant de nombreux avantages, remarque Philippe Bezard, conseiller clientèle dans la société basée à Colomiers. Finis le temps perdu à chercher ses clés et les appels en urgence au serrurier pour se dépanner, finie aussi la contrainte des clés à porter sur soi durant son footing. Désormais les serrures obéissent au doigt et à l'œil de leur propriétaire ».
au doigt et à l'œil
BT Security Systems propose une gamme de serrures biométriques par reconnaissance d'empreinte digitale adaptables à toutes les portes y compris par des non professionnels. Elle envisage de commercialiser des serrures basées sur la reconnaissance de l'iris de l'œil, une technologie très récente en pleine expansion.
« Ce système est déjà accessible aux professionnels depuis plusieurs années, reprend Philippe Bezers. La serrure biométrique se démocratise et devient désormais accessible aux particuliers. Près de 80 % des demandes proviennent de cette catégorie, notamment des personnes âgées, très concernées parla sécurité et la fiabilité. Aujourd'hui, pour 200 €, vous pouvez remplacer votre serrure traditionnelle ».
Une pose facile, accessible à tous. Et une programmation de près de 150 codes enregistrés dans cette serrure nouveau style. Après, il suffit à l'utilisateur, pour rentrer chez lui, de poser le doigt sur l'écran pour reconnaître l'empreinte. La porte s'ouvre ensuite automatiquement.
« J'utilise moi-même cette nouvelle serrure depuis six mois sans aucun problème», reprend Philippe Bezard. De toute façon, il y a toujours un jeu de clés en dépannage au cas où la technique jouerait des tours ».
La société comlumérine prévoit aussi de commercialiser un attaché-case biométrique, «idéal pour transporter des fonds en toute sécurité», selon le responsable. Après le passeport, la biométrie n'a décidément pas fini de nous étonner.
www.serrures-biometriques.com
Une société de Colomiers lance la serrure biométrique. Il suffit de poser le doigt sur un écran.
Philippe Bezers présente les types de serrures proposées par sa société. Photo DDM, F. CharmeuxDans quelque temps, utiliser sa clé pour rentrer chez soi fera presque partie du passé. La serrure biométrique sera passée par là !
Commercialisé dès le premier trimestre 2009 par la société BT Security Systems, ce nouveau procédé est en pleine expansion.
« Décriée par ses détracteurs lorsqu'elle est utilisée à des fins de surveillance des individus, la biométrie présente pourtant de nombreux avantages, remarque Philippe Bezard, conseiller clientèle dans la société basée à Colomiers. Finis le temps perdu à chercher ses clés et les appels en urgence au serrurier pour se dépanner, finie aussi la contrainte des clés à porter sur soi durant son footing. Désormais les serrures obéissent au doigt et à l'œil de leur propriétaire ».
au doigt et à l'œil
BT Security Systems propose une gamme de serrures biométriques par reconnaissance d'empreinte digitale adaptables à toutes les portes y compris par des non professionnels. Elle envisage de commercialiser des serrures basées sur la reconnaissance de l'iris de l'œil, une technologie très récente en pleine expansion.
« Ce système est déjà accessible aux professionnels depuis plusieurs années, reprend Philippe Bezers. La serrure biométrique se démocratise et devient désormais accessible aux particuliers. Près de 80 % des demandes proviennent de cette catégorie, notamment des personnes âgées, très concernées parla sécurité et la fiabilité. Aujourd'hui, pour 200 €, vous pouvez remplacer votre serrure traditionnelle ».
Une pose facile, accessible à tous. Et une programmation de près de 150 codes enregistrés dans cette serrure nouveau style. Après, il suffit à l'utilisateur, pour rentrer chez lui, de poser le doigt sur l'écran pour reconnaître l'empreinte. La porte s'ouvre ensuite automatiquement.
« J'utilise moi-même cette nouvelle serrure depuis six mois sans aucun problème», reprend Philippe Bezard. De toute façon, il y a toujours un jeu de clés en dépannage au cas où la technique jouerait des tours ».
La société comlumérine prévoit aussi de commercialiser un attaché-case biométrique, «idéal pour transporter des fonds en toute sécurité», selon le responsable. Après le passeport, la biométrie n'a décidément pas fini de nous étonner.
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