Tournefeuille....Municipalité
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Tournefeuille....Municipalité
Un point a priori sans relief, à l'ordre du jour du dernier conseil municipal :
« Revente de la propriété bâtie Bonal à la société HLM Patrimoine Languedocienne ».
Une nouvelle cession d'un pavillon acquis par la mairie puis revendu à une société HLM, qui fait bondir l'Aduct*, qui revendique une cinquantaine d'adhérents à Tournefeuille.
Pour l'association, la municipalité cherche à acquérir progressivement les neuf pavillons de cet ensemble situé à l'entrée de la ville, côté Toulouse, pour y construire ensuite un immeuble. Et l'Aduct de donner d'autres exemples d'emplacements où la mairie souhaite densifier l'habitat : un ensemble de l'avenue de Gascogne (le projet de la mairie y a été abandonné depuis peu), l'avenue du Marquisat, des terrains situés entre la rue Gaston-Doumergue et l'avenue Vincent-Auriol, sur le chemin de Ramelet-Moundi ou encore route de Tarbes, à proximité de Plaisance-du-Touch. « Dès qu'un terrain dépasse les 1 000 m2, pour la mairie, il doit y avoir un immeuble dessus », alerte l'Aduct.
La mairie se défend formellement de vouloir bétonner Tournefeuille. Mais ne nie pas, par exemple, le projet d'ensemble immobilier à l'entrée nord de Tournefeuille, près du Mc Donald's. « Pour des problèmes de sécurité et de nuisances sonores, ces pavillons deviennent obsolètes », justifie Bernard Bensoussan, 3e adjoint au maire en charge de l'urbanisme. La mairie souhaite densifier certains ensembles, sans pour autant faire perdre son âme au « village » Tournefeuille.
Pierre Buchmann
Que dénoncez-vous exactement ?
La mairie préempte (rachète) nos biens dès qu'elle en a l'occasion, lors de mutations par exemple. Sa politique d'aménagement est très opaque, ses réunions publiques sur le PLU sont incompréhensibles. Les gens sont perdus. Tout le monde est concerné, car le risque de se retrouver avec un immeuble dans son jardin ou dans celui de son voisin est patent.
Pourquoi êtes-vous si farouchement opposés à la construction d'habitat collectif ?
Parce que nous voulons défendre le patrimoine de notre ville. Et avec tous les programmes qui se préparent, nous craignons le pire. Dire que la commune perd des habitants par foyer, c'est faux. La mairie se sert de ce prétexte pour justifier sa soif de bétonnisation.
N'avez-vous pas peur de passer pour les « anciens » Tournefeuillais qui ne veulent pas de « nouveaux » ?
Non. Ce que nous voulons, c'est que tout le monde puisse vivre en harmonie, et surtout que la mairie consulte vraiment la population sur ces questions.
Que répondez-vous aux inquiétudes de l'Aduct ?
Cette association se méprend sur nos intentions. Les orientations d'aménagement à l'échelle de l'agglomération donnent à Tournefeuille des responsabilités : en première couronne, nous bénéficions et allons encore bénéficier, avec la Voie du Canal Saint-Martory et le bus en site propre Toulouse-Tournefeuille-Plaisance, de moyens de transports performants. Il s'agit donc de densifier légèrement et de manière concertée dans un rayon de 500 m autour de ces axes.
Vous démentez donc vouloir « bétonner Tournefeuille ».
Évidemment ! Les Tournefeuillais voient bien ce que l'on fait : après préemption d'un terrain de 5 000 m2 avec une maison et une personne à l'intérieur rue G.-Doumergue, nous avons construit un petit immeuble avec des commerces, qui amène de la vie et ne dénature pas l'esprit « village » de Tournefeuille.
Mais l'Aduct se plaint de n'être pas consultée.
Jusqu'à preuve du contraire, nous avons réuni les Tournefeuillais à deux reprises lors de réunions publiques sur le PLU. Cette association peut s'y exprimer, comme l'ensemble de nos administrés.
*Association de défense d'un urbanisme concerté et respectueux du cadre de vie des Tournefeuillais
Président de l'Aduct*Bernard Bensoussan
3e adjoint au maire en charge de l'urbanisme
« Revente de la propriété bâtie Bonal à la société HLM Patrimoine Languedocienne ».
Une nouvelle cession d'un pavillon acquis par la mairie puis revendu à une société HLM, qui fait bondir l'Aduct*, qui revendique une cinquantaine d'adhérents à Tournefeuille.
Pour l'association, la municipalité cherche à acquérir progressivement les neuf pavillons de cet ensemble situé à l'entrée de la ville, côté Toulouse, pour y construire ensuite un immeuble. Et l'Aduct de donner d'autres exemples d'emplacements où la mairie souhaite densifier l'habitat : un ensemble de l'avenue de Gascogne (le projet de la mairie y a été abandonné depuis peu), l'avenue du Marquisat, des terrains situés entre la rue Gaston-Doumergue et l'avenue Vincent-Auriol, sur le chemin de Ramelet-Moundi ou encore route de Tarbes, à proximité de Plaisance-du-Touch. « Dès qu'un terrain dépasse les 1 000 m2, pour la mairie, il doit y avoir un immeuble dessus », alerte l'Aduct.
La mairie se défend formellement de vouloir bétonner Tournefeuille. Mais ne nie pas, par exemple, le projet d'ensemble immobilier à l'entrée nord de Tournefeuille, près du Mc Donald's. « Pour des problèmes de sécurité et de nuisances sonores, ces pavillons deviennent obsolètes », justifie Bernard Bensoussan, 3e adjoint au maire en charge de l'urbanisme. La mairie souhaite densifier certains ensembles, sans pour autant faire perdre son âme au « village » Tournefeuille.
Pierre Buchmann
Que dénoncez-vous exactement ?
La mairie préempte (rachète) nos biens dès qu'elle en a l'occasion, lors de mutations par exemple. Sa politique d'aménagement est très opaque, ses réunions publiques sur le PLU sont incompréhensibles. Les gens sont perdus. Tout le monde est concerné, car le risque de se retrouver avec un immeuble dans son jardin ou dans celui de son voisin est patent.
Pourquoi êtes-vous si farouchement opposés à la construction d'habitat collectif ?
Parce que nous voulons défendre le patrimoine de notre ville. Et avec tous les programmes qui se préparent, nous craignons le pire. Dire que la commune perd des habitants par foyer, c'est faux. La mairie se sert de ce prétexte pour justifier sa soif de bétonnisation.
N'avez-vous pas peur de passer pour les « anciens » Tournefeuillais qui ne veulent pas de « nouveaux » ?
Non. Ce que nous voulons, c'est que tout le monde puisse vivre en harmonie, et surtout que la mairie consulte vraiment la population sur ces questions.
Que répondez-vous aux inquiétudes de l'Aduct ?
Cette association se méprend sur nos intentions. Les orientations d'aménagement à l'échelle de l'agglomération donnent à Tournefeuille des responsabilités : en première couronne, nous bénéficions et allons encore bénéficier, avec la Voie du Canal Saint-Martory et le bus en site propre Toulouse-Tournefeuille-Plaisance, de moyens de transports performants. Il s'agit donc de densifier légèrement et de manière concertée dans un rayon de 500 m autour de ces axes.
Vous démentez donc vouloir « bétonner Tournefeuille ».
Évidemment ! Les Tournefeuillais voient bien ce que l'on fait : après préemption d'un terrain de 5 000 m2 avec une maison et une personne à l'intérieur rue G.-Doumergue, nous avons construit un petit immeuble avec des commerces, qui amène de la vie et ne dénature pas l'esprit « village » de Tournefeuille.
Mais l'Aduct se plaint de n'être pas consultée.
Jusqu'à preuve du contraire, nous avons réuni les Tournefeuillais à deux reprises lors de réunions publiques sur le PLU. Cette association peut s'y exprimer, comme l'ensemble de nos administrés.
*Association de défense d'un urbanisme concerté et respectueux du cadre de vie des Tournefeuillais
Président de l'Aduct*Bernard Bensoussan
3e adjoint au maire en charge de l'urbanisme
Re: Tournefeuille....Municipalité
Ce soir à 18 heures à la mairie (entrée libre), le conseil municipal se réunit pour une séance qui promet d'être animée, puisque s'y tiendra le débat d'orientation budgétaire de 2011.
Ce débat, obligatoire, n'a aucun caractère décisionnel. Néanmoins, le conseil municipal doit délibérer et le maire, Claude Raynal, présentera les derniers chiffres préfigurant la santé économique de la ville.
Dix-huit autres points sont à l'ordre du jour du conseil municipal.
La commune donnera son avis sur le PLU (Plan local d'urbanisme) révisé. Des acquisitions seront soumises au vote : la succession Zuggari, l'acquisition des terrains Begni (coulée verte du Touch), ou encore l'acquisition Ournac. Des acquisitions d'espaces verts devront être votées sur les lotissements les coteaux du Touch, Jean de Florette et l'Orée du lac. D'importantes conventions de travaux sur la voirie de la ville seront soumises au vote, ainsi que la dénomination de nouvelles rues sur la ZAC des Quéfets. Une demande de subventions au conseil général sur l'extension de deux classes de l'école du Petit train sera soumise aux élus, tout comme l'augmentation de six places au sein du multi-accueil au Moulin à vent. Un nouveau règlement intérieur de la médiathèque sera proposé, ainsi que les conditions de la mise à disposition gratuite de locaux municipaux, pour les candidats aux élections cantonales des 20 et 27 mars prochains.
Ce débat, obligatoire, n'a aucun caractère décisionnel. Néanmoins, le conseil municipal doit délibérer et le maire, Claude Raynal, présentera les derniers chiffres préfigurant la santé économique de la ville.
Dix-huit autres points sont à l'ordre du jour du conseil municipal.
La commune donnera son avis sur le PLU (Plan local d'urbanisme) révisé. Des acquisitions seront soumises au vote : la succession Zuggari, l'acquisition des terrains Begni (coulée verte du Touch), ou encore l'acquisition Ournac. Des acquisitions d'espaces verts devront être votées sur les lotissements les coteaux du Touch, Jean de Florette et l'Orée du lac. D'importantes conventions de travaux sur la voirie de la ville seront soumises au vote, ainsi que la dénomination de nouvelles rues sur la ZAC des Quéfets. Une demande de subventions au conseil général sur l'extension de deux classes de l'école du Petit train sera soumise aux élus, tout comme l'augmentation de six places au sein du multi-accueil au Moulin à vent. Un nouveau règlement intérieur de la médiathèque sera proposé, ainsi que les conditions de la mise à disposition gratuite de locaux municipaux, pour les candidats aux élections cantonales des 20 et 27 mars prochains.
Re: Tournefeuille....Municipalité
CONSEIL MUNICIPAL
Une crèche, un relais d'assistantes maternelles, une maison de quartier et 35 appartements : tous ces éléments seront opérationnels au 4e trimestre 2013, sur l'îlot central de la zone de Quéfets, à Tournefeuille. La construction pourrait commencer au 1er semestre 2012. Cette opération sera l'une des dernières sur cette zone, qui comprend déjà 450 logements.
Les élus de Tournefeuille ont retenu quatre équipes d'architectes pour l'ensemble de 35 logements et maison de quartier. Ces derniers doivent remettre leurs propositions le 15 septembre prochain. La construction de la crèche et des logements se fera de manière simultanée, pour respecter une harmonie architecturale.
Un espace de 85 m de long et 50 m de large est également réservé sur cet îlot, pour la construction future d'un gymnase, à disposition des élèves du lycée Françoise, situé à 100 m de l'îlot. La date de construction de ce gymnase n'est pas encore connue.
Re: Tournefeuille....Municipalité
Le parc de la maison de retraite du Grand Marquisat sera transformé en parc public d'ici la fin de l'année 2012. Le conseil municipal de Tournefeuille, réuni ce lundi soir, a voté à l'unanimité l'achat de ce parc par la ville. Le parc de plus d'un hectare (10 900 m2 exactement) a été acheté 5 € le m2. Ce parc classé était jusqu'à présent utilisé uniquement par les résidents de la maison de retraite. À partir de la fin de l'année 2012, le grand public pourra y accéder. Il restera accessible aux résidents de la maison de retraite.
La mairie de Tournefeuille finalise le projet de réaménagement du parc. De nouveaux cheminements intérieurs sont prévus. Des arbres seront replantés. La végétation sera renforcée le long des habitations qui jouxtent le parc, pour favoriser la tranquillité des riverains. Une aire de jeux pour enfants sera aménagée, côté avenue Leclerc. Le parc aura des horaires d'ouverture précis et affichés pour le grand public.
Il bénéficiera à l'ensemble des habitants du quartier, et notamment aux enfants de l'école Mirabeau, située en face du parc.
Le parc sera accessible au grand public par deux entrées différentes : la première sera située sur l'avenue du Maréchal-Leclerc, près du passage piéton qui dessert le lotissement de la rue Louis-Pasteur. Actuellement, cette entrée n'est qu'un portail en métal, fermé par une chaîne. Elle sera réaménagée et équipée d'un portail automatique. La seconde entrée du parc sera située à l'opposé, du côté du lotissement, pour permettre aux habitants d'y accéder facilement.
La ville aménagera également la clôture entre la maison de retraite et le parc, et un accès pour personnes à mobilité réduite. La maison de retraite rénovera la grande terrasse donnant sur le parc. « Nous allons ouvrir un parc public de qualité, géré par la ville, à l'image des parcs de la Paderne et Paul-Camy », a expliqué le maire Claude Raynal. Le début des travaux d'aménagement est prévu pour septembre prochain.
La mairie de Tournefeuille finalise le projet de réaménagement du parc. De nouveaux cheminements intérieurs sont prévus. Des arbres seront replantés. La végétation sera renforcée le long des habitations qui jouxtent le parc, pour favoriser la tranquillité des riverains. Une aire de jeux pour enfants sera aménagée, côté avenue Leclerc. Le parc aura des horaires d'ouverture précis et affichés pour le grand public.
Il bénéficiera à l'ensemble des habitants du quartier, et notamment aux enfants de l'école Mirabeau, située en face du parc.
Le parc sera accessible au grand public par deux entrées différentes : la première sera située sur l'avenue du Maréchal-Leclerc, près du passage piéton qui dessert le lotissement de la rue Louis-Pasteur. Actuellement, cette entrée n'est qu'un portail en métal, fermé par une chaîne. Elle sera réaménagée et équipée d'un portail automatique. La seconde entrée du parc sera située à l'opposé, du côté du lotissement, pour permettre aux habitants d'y accéder facilement.
La ville aménagera également la clôture entre la maison de retraite et le parc, et un accès pour personnes à mobilité réduite. La maison de retraite rénovera la grande terrasse donnant sur le parc. « Nous allons ouvrir un parc public de qualité, géré par la ville, à l'image des parcs de la Paderne et Paul-Camy », a expliqué le maire Claude Raynal. Le début des travaux d'aménagement est prévu pour septembre prochain.
Re: Tournefeuille....Municipalité
Le futur îlot central de Quéfets. Au premier plan, la crèche, et au fond, les 37 logements, qui comprendront au rez-de-chaussée une maison de quartier
Le conseil municipal de Tournefeuille se réunit ce soir, à 18 heures, à la salle provisoire du conseil municipal située dans les locaux de l'ancienne crèche du Moulin câlin, impasse Max Baylac.
Outre le vote du budget de la commune, dont les orientations ont été présentées le 6 février au dernier conseil, figure à l'ordre du jour la construction de la crèche multi-accueil dans le quartier de Quéfets.
Maison de quartier
Cette crèche se situera sur l'îlot central, zone encore non construite, face au lycée Françoise. Cette construction permettra l'ouverture de 30 places en crèche supplémentaires, et de 25 places en halte garderie.
« Tout est prêt pour le lancement. Le projet du cabinet toulousain Projet 310 a été retenu, le permis de construire est déposé. Le conseil municipal doit délibérer sur une demande de subventions au conseil général », explique le maire Claude Raynal. La construction de la crèche débutera en septembre prochain, pour une ouverture de la structure en janvier 2014.
L'ouverture de la structure répond au développement du quartier de Quéfets : depuis la création de la ZAC en 2004, plus de 400 logements sont sortis de terre dans le quartier.
L'îlot central de Quéfets, d'une superficie de 13 000 m2, ne comprendra pas que la crèche. Un bâtiment construit par Saint-Agne Promotion comprendra trente-sept logements, mais aussi une maison de quartier de 400 m2, au rez-de-chaussée. Un espace de 5 000 m2 sera réservé pour la construction du gymnase du lycée, prévue pour 2015.
Un bistrot
Également à l'ordre du jour du conseil, ce soir, la gestion du futur bistrot de l'Escale. Cet espace situé au premier étage, et déjà visible du parvis de la Poste, permettra au public de l'Escale, mais aussi aux citoyens extérieurs, de se restaurer le midi et le soir. Le conseil municipal lance ce soir un appel d'offres pour déterminer qui sera le gestionnaire de ce bistrot.
Re: Tournefeuille....Municipalité
Lors du conseil municipal qui s'est déroulé mardi soir, les élus ont adopté à une grande majorité (quatre votes contre de l'opposition) le budget 2012 de la commune. Un budget marqué par la poursuite des investissements, et par la volonté de maîtriser les coûts de fonctionnement. Une nouvelle fois, les taux des impôts locaux restent inchangés.
Le budget du personnel augmente légèrement. Par rapport à 2011, la progression est de 2,7 %. C'est notamment dû au recrutement d'assistantes maternelles pour la crèche Moulin Câlin, pour la crèche familiale et d'un technicien pour l'Escale. Dix places de crèches supplémentaires ont été réservées à la crèche Couleur d'éveil de Colomiers, pour les familles tournefeuillaises.
Les taux d'imposition stables. Pour faire rentrer de l'argent dans les caisses, la ville lève trois impôts, dont les taux restent inchangés : taxe d'habitation (9,54 %), taxe sur le foncier bâti (22,36 %) et taxe sur le foncier non bâti (106,47 %). En revanche, les bases sur lesquelles sont appliqués ces taux augmentent : +1,8 %, taux décidé au niveau national par la Loi de Finances. Autres recettes de la ville : la dotation de l'État, en légère baisse, et celle du Grand Toulouse, qui augmente.
Les investissements prévus :Sur l'année 2012, les investissements s'élèveront à 6,35 millions d'euros. Parmi les grandes dépenses d'équipement engagées en 2012, on trouve la crèche de Quéfets (450 000 €), L'Escale, y compris le parvis et les équipements (3 ,1 M€), la place de la mairie : (110 000 €), le parc Mirabeau (120 000 €) et les acquisitions foncières (366 000 €).
Désendettement. La commune remboursera 1,715 M€ de capital de la dette, et empruntera 1,5 M€, soit un encours de dette en baisse de 215 000 € en 2012.
Le budget du personnel augmente légèrement. Par rapport à 2011, la progression est de 2,7 %. C'est notamment dû au recrutement d'assistantes maternelles pour la crèche Moulin Câlin, pour la crèche familiale et d'un technicien pour l'Escale. Dix places de crèches supplémentaires ont été réservées à la crèche Couleur d'éveil de Colomiers, pour les familles tournefeuillaises.
Les taux d'imposition stables. Pour faire rentrer de l'argent dans les caisses, la ville lève trois impôts, dont les taux restent inchangés : taxe d'habitation (9,54 %), taxe sur le foncier bâti (22,36 %) et taxe sur le foncier non bâti (106,47 %). En revanche, les bases sur lesquelles sont appliqués ces taux augmentent : +1,8 %, taux décidé au niveau national par la Loi de Finances. Autres recettes de la ville : la dotation de l'État, en légère baisse, et celle du Grand Toulouse, qui augmente.
Les investissements prévus :Sur l'année 2012, les investissements s'élèveront à 6,35 millions d'euros. Parmi les grandes dépenses d'équipement engagées en 2012, on trouve la crèche de Quéfets (450 000 €), L'Escale, y compris le parvis et les équipements (3 ,1 M€), la place de la mairie : (110 000 €), le parc Mirabeau (120 000 €) et les acquisitions foncières (366 000 €).
Désendettement. La commune remboursera 1,715 M€ de capital de la dette, et empruntera 1,5 M€, soit un encours de dette en baisse de 215 000 € en 2012.
Re: Tournefeuille....Municipalité
Qui sera candidat pour exploiter le futur « Bistrot » de l'Escale (ex-foyer Panouse) ? La ville cherche actuellement un restaurateur capable de faire vivre ce nouvel espace de restauration, associé à la nouvelle salle de spectacle. Le vote du cahier des charges que devra remplir le gérant a fait l'objet de discussions au sein du conseil municipal, ce lundi soir.
Patrick Aubin, qui fait désormais cavalier seul dans l'opposition, et Sylvie Tomasi-Rivière, pour le groupe qu'elle compose avec Patrick Beissel et Françoise Viatgé, sont intervenus pour demander des précisions au maire, qui leur a répondu très calmement.
La ville a décidé de proposer au futur gérant une formule très ouverte, afin de se laisser le temps (1 an) pour voir si l'exploitation du restaurant est rentable et viable. La ville fixe à 106 000 € HT maximum le chiffre d'affaires annuel, percevra un pourcentage (à définir) sur ce chiffre, et met à disposition une grande partir du mobilier du restaurant. Elle fixe notamment les jours et heures d'ouverture, le type de restauration (simple le midi, salon de thé en journée, « tapas » le soir), ou encore des ouvertures lors des festivals Marionnettissimo et Cuba Hoy (le Bistrot sera le cœur convivial de ces manifestations).
Patrick Aubin estime, pour sa part, que la ville « encadre » trop la future gérance. « Au lieu de mettre à disposition une grande partie du mobilier, il aurait fallu laisser libre l'exploitant de faire ce qu'il voulait. » Patrick Aubin a également critiqué la redevance sur le chiffre d'affaires que demandera la ville, qualifiée de « taxe ». Patrick Aubin a mis également en doute, à mots couverts, la probité de l'appel à candidatures. « Je serai très attentif au choix de l'exploitant », a-t-il conclu.
Au cours d'un échange beaucoup plus apaisé que lors du conseil municipal du 27 mars, Claude Raynal a réexpliqué la position de sa majorité.
« Nous voulons donner toutes les chances au futur exploitant de réussir, mais nous ne pouvons pas savoir comment le public va réagir ». Sylvie Tomasi-Rivière, pour sa part, s'est demandée si le montant de 106 000 € maximum de chiffre d'affaires n'était pas trop faible. « Y aura-t-il seulement des candidats avec un tel chiffre ? » Réponse dans les semaines qui viennent.
Patrick Aubin, qui fait désormais cavalier seul dans l'opposition, et Sylvie Tomasi-Rivière, pour le groupe qu'elle compose avec Patrick Beissel et Françoise Viatgé, sont intervenus pour demander des précisions au maire, qui leur a répondu très calmement.
La ville a décidé de proposer au futur gérant une formule très ouverte, afin de se laisser le temps (1 an) pour voir si l'exploitation du restaurant est rentable et viable. La ville fixe à 106 000 € HT maximum le chiffre d'affaires annuel, percevra un pourcentage (à définir) sur ce chiffre, et met à disposition une grande partir du mobilier du restaurant. Elle fixe notamment les jours et heures d'ouverture, le type de restauration (simple le midi, salon de thé en journée, « tapas » le soir), ou encore des ouvertures lors des festivals Marionnettissimo et Cuba Hoy (le Bistrot sera le cœur convivial de ces manifestations).
Patrick Aubin estime, pour sa part, que la ville « encadre » trop la future gérance. « Au lieu de mettre à disposition une grande partie du mobilier, il aurait fallu laisser libre l'exploitant de faire ce qu'il voulait. » Patrick Aubin a également critiqué la redevance sur le chiffre d'affaires que demandera la ville, qualifiée de « taxe ». Patrick Aubin a mis également en doute, à mots couverts, la probité de l'appel à candidatures. « Je serai très attentif au choix de l'exploitant », a-t-il conclu.
Au cours d'un échange beaucoup plus apaisé que lors du conseil municipal du 27 mars, Claude Raynal a réexpliqué la position de sa majorité.
« Nous voulons donner toutes les chances au futur exploitant de réussir, mais nous ne pouvons pas savoir comment le public va réagir ». Sylvie Tomasi-Rivière, pour sa part, s'est demandée si le montant de 106 000 € maximum de chiffre d'affaires n'était pas trop faible. « Y aura-t-il seulement des candidats avec un tel chiffre ? » Réponse dans les semaines qui viennent.
Re: Tournefeuille....Municipalité
Tournefeuille s'est engagé dans une démarche de développement en 2009, pilotée par Olivier Lambeaux, conseiller municipal délégué à l'Agenda 21, assisté par Romain Granier, chargé de mission pour l'énergie. Une action effectuée avec les conseils par l'AUAT (Agence d'urbanisme et d'aménagement du territoire).
« En juin 2011, la mairie de Tournefeuille a répondu à l'appel à reconnaissance des projets territoriaux de développement durable et Agenda 21 locaux lancés par le ministère de l'écologie», explique Romain Granier. «Ce projet est reconnu Agenda 21 Local France au titre de la stratégie nationale de développement durable. Le terme agenda, continue-t-il, est en fait un programme. Selon les principes du développement durable, il doit traiter les aspects économiques, sociaux, culturels et environnementaux. Nous avons donc envoyé un document de synthèse présentant notre programme d'action, celui-ci a été expertisé par un comité mandaté par le ministère, nous avons eu plusieurs entretiens avec ces différents experts et le 27 février nous avons appris que nous avions obtenu ce label ».
Romain Granier poursuit : « Cette reconnaissance est prononcée pour trois ans et doit être renouvelée à cette échéance. Un Agenda 21 doit constamment évoluer, s'améliorer, se perfectionner pour assurer son efficacité, d'où l'utilité d'une évaluation continue des actions mises en place. Cela nous conforte dans notre approche et sur les méthodes que nous avons employées, gestion différenciée, capteurs solaires, économie d'énergie dans les bâtiments communaux, l'éclairage public, les pistes cyclables l'aménagement des parcs, les actions de sensibilisation dans les écoles et les ALAE. C'est aussi une reconnaissance de la démarche participative et du travail accompli par les habitants, les élus, les services municipaux, les associations pour mener à bien cette action. Le forum organisé au parc de la Paderne a été une démonstration concrète de cette sensibilisation de toutes forces représentatives de la commune ». Et c'est aussi « un argument supplémentaire pour faire valoir la commune auprès des collectivités ou des institutions ».
« En juin 2011, la mairie de Tournefeuille a répondu à l'appel à reconnaissance des projets territoriaux de développement durable et Agenda 21 locaux lancés par le ministère de l'écologie», explique Romain Granier. «Ce projet est reconnu Agenda 21 Local France au titre de la stratégie nationale de développement durable. Le terme agenda, continue-t-il, est en fait un programme. Selon les principes du développement durable, il doit traiter les aspects économiques, sociaux, culturels et environnementaux. Nous avons donc envoyé un document de synthèse présentant notre programme d'action, celui-ci a été expertisé par un comité mandaté par le ministère, nous avons eu plusieurs entretiens avec ces différents experts et le 27 février nous avons appris que nous avions obtenu ce label ».
Romain Granier poursuit : « Cette reconnaissance est prononcée pour trois ans et doit être renouvelée à cette échéance. Un Agenda 21 doit constamment évoluer, s'améliorer, se perfectionner pour assurer son efficacité, d'où l'utilité d'une évaluation continue des actions mises en place. Cela nous conforte dans notre approche et sur les méthodes que nous avons employées, gestion différenciée, capteurs solaires, économie d'énergie dans les bâtiments communaux, l'éclairage public, les pistes cyclables l'aménagement des parcs, les actions de sensibilisation dans les écoles et les ALAE. C'est aussi une reconnaissance de la démarche participative et du travail accompli par les habitants, les élus, les services municipaux, les associations pour mener à bien cette action. Le forum organisé au parc de la Paderne a été une démonstration concrète de cette sensibilisation de toutes forces représentatives de la commune ». Et c'est aussi « un argument supplémentaire pour faire valoir la commune auprès des collectivités ou des institutions ».
http://www.mairie-tournefeuille.fr /à l'onglet Agenda 21.
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