RADARS TOULOUSAINS
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RADARS TOULOUSAINS
Trois nouveaux radars aux feux rouges sont mis en service dans les jours qui viennent, ce qui amène à dix le nombre de radar à Toulouse.
Depuis hier soir, un radar a été mis en service à l'intersection du boulevard Eisenhover et la route de Seysses. C'est le troisième de cet ordre à ce carrefour.
Suivront par la suite dès ce soir, un radar au feu rouge de l'intersection entre la route de Narbonne et le chemin de la Pelude. Et enfin, dans la nuit de lundi à mardi, les autorités mettront en service un dixième radar au croisement de la route d'Albi et l'avenue d'Atlanta.
Ces radars aux feux rouges ne sont pas signalés par un panneau. Soyez donc vigileant.
Rappelons que l'infraction entraîne le retrait de 4 points sur le permis de conduire et à une amende de 4ème classe : forfaitaire de 135€, minorée à 90€ si le paiement intervient dans les 15 jours et majorée à 375€ si le paiement a lieu après 45 jours.
Les emplacements des radars aux feux rouges à Toulouse :
- Croisement entre la route de Narbonne et le chemin Pelude
- Croisement entre la route d'Albi et l'avenue d'Atlanta
- Croisement entre le Boulevard Eisenhower et la route de Seysses
- Croisement entre l'avenue d'Elche et le Boulevard de Suisse
- Croisement entre l'avenue de Fronton et la rue Paul Verlaine
- Croisement entre la route Saint-Simon et le chemin Abadie
- Croisement entre l'avenue Jean-Chaubet et la rue de l'Ayga
- Croisement entre la boulevard Riquet et l'avenue Jean Jaurès
- Croisement entre la rue des Arcs Saint Cyprien et de la rue Gazagne
- Croisement entre la Route de Seysses et le Boulevard Eisenhower
- Croisement entre la route d'Albi et l'avenue d'Atlanta
- Croisement entre le Boulevard Eisenhower et la route de Seysses
- Croisement entre l'avenue d'Elche et le Boulevard de Suisse
- Croisement entre l'avenue de Fronton et la rue Paul Verlaine
- Croisement entre la route Saint-Simon et le chemin Abadie
- Croisement entre l'avenue Jean-Chaubet et la rue de l'Ayga
- Croisement entre la boulevard Riquet et l'avenue Jean Jaurès
- Croisement entre la rue des Arcs Saint Cyprien et de la rue Gazagne
- Croisement entre la Route de Seysses et le Boulevard Eisenhower
Fonctionnement des radars aux feux rouges :
Lorsque le feu est rouge, le radar flashe deux fois en éloignement la plaque arrière de tout véhicule franchissant cette ligne d'effet des feux : une première fois au moment du franchissement, puis une seconde fois lorsque le véhicule est engagé dans le carrefour mettant en évidence l’intention coupable du contrevenant.
Les clichés sont envoyés automatiquement au central de Rennes comme pour les radars fixes et le titulaire de la carte grise sera avisé par courrier au domicile dans un court délai.
Re: RADARS TOULOUSAINS
Voici l'emplacement des 12 radars feux en service à partir de ce soir. Des dispositifs efficaces, dont l'emplacement est choisi en fonction de critères précis.
Ce soir, passé les douze coups de minuit, un nouveau radar grille feux sera mis en service, au carrefour de la route d'Albi et de l'avenue d'Atlanta. Une impitoyable machine qui vient ainsi rejoindre ses 11 consœurs dans la sécurisation des carrefours toulousains les plus dangereux.
Vendredi, deux nouveaux radars sont devenus actifs : au croisement de la route de Narbonne avec le chemin de la Pélude et à l'intersection de la Route de Seysses avec le boulevard Eiseinhover. Ce dernier devient le 3e radar grille feux installé à quelques mois d'intervalle sur le même carrefour, considéré comme l'un des plus dangereux de l'agglomération Toulousaine. Les deux premiers ont, depuis leur installation, crépité 2 188 fois entre janvier et février - un chiffre d'autant plus impressionnant si on le rapporte à 8 140 - le nombre total d'infractions constatées sur la même période pour l'ensemble des radars feux rouges de l'agglomération.
8 140 crépitements sur deux mois, ça représente tout de même 32 560 points retirés sur le permis des contrevenants ! À chaque photo, correspondent en effet 4 points retirés et une amende de 4e catégorie - rappelons à cet égard que griller un feu orange au lieu d'un feu rouge n'arrange rien.
Des emplacements rigoureusement choisis
« Ce qu'on regarde en premier, c'est l'accidentologie : on a une base de données précise qui nous permet de localiser les points les plus dangereux du réseau routier », explique Marilyne Combes, coordinatrice sécurité routière. « Après, viennent les caractéristiques propres au lieu, où on définit quels sont les besoins en matière de sécurisation » : c'est là où interviennent des techniciens qui dressent un rapport préconisant ou non l'installation d'un radar fixe à cet emplacement. « Évidemment, le coût lié à l'installation est déterminant lorsqu'il s'agit de trancher entre deux emplacements aux caractéristiques similaires », conclut-elle.
Ce soir, passé les douze coups de minuit, un nouveau radar grille feux sera mis en service, au carrefour de la route d'Albi et de l'avenue d'Atlanta. Une impitoyable machine qui vient ainsi rejoindre ses 11 consœurs dans la sécurisation des carrefours toulousains les plus dangereux.
Vendredi, deux nouveaux radars sont devenus actifs : au croisement de la route de Narbonne avec le chemin de la Pélude et à l'intersection de la Route de Seysses avec le boulevard Eiseinhover. Ce dernier devient le 3e radar grille feux installé à quelques mois d'intervalle sur le même carrefour, considéré comme l'un des plus dangereux de l'agglomération Toulousaine. Les deux premiers ont, depuis leur installation, crépité 2 188 fois entre janvier et février - un chiffre d'autant plus impressionnant si on le rapporte à 8 140 - le nombre total d'infractions constatées sur la même période pour l'ensemble des radars feux rouges de l'agglomération.
8 140 crépitements sur deux mois, ça représente tout de même 32 560 points retirés sur le permis des contrevenants ! À chaque photo, correspondent en effet 4 points retirés et une amende de 4e catégorie - rappelons à cet égard que griller un feu orange au lieu d'un feu rouge n'arrange rien.
Des emplacements rigoureusement choisis
« Ce qu'on regarde en premier, c'est l'accidentologie : on a une base de données précise qui nous permet de localiser les points les plus dangereux du réseau routier », explique Marilyne Combes, coordinatrice sécurité routière. « Après, viennent les caractéristiques propres au lieu, où on définit quels sont les besoins en matière de sécurisation » : c'est là où interviennent des techniciens qui dressent un rapport préconisant ou non l'installation d'un radar fixe à cet emplacement. « Évidemment, le coût lié à l'installation est déterminant lorsqu'il s'agit de trancher entre deux emplacements aux caractéristiques similaires », conclut-elle.
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