Ils sont de....Plaisance du TOuch

« Les Enfants de la Garonne » de Christian Moretto et Véronique Labre-Moretto pour les photographies, est un roman original empreint de poésie, une déclaration d'amour entre deux enfants, mais aussi avec la nature.

Quelques mots pour situer le roman et pourquoi ce thème des premiers émois ?

Le roman se situe en mai 1964, à l'époque, un mur séparait l'école des filles de celle des garçons. C'est une vraie rencontre entre deux êtres, entre l'Homme et la nature, dans le regard de l'autre. Les premiers émois participent à la construction du futur adulte, sont spontanés, frais, souffle de vie. L'amour entre les êtres, sa ville, son fleuve représente cet amour pluriel et vrai.

Les descriptions, l'ambiance font-elles appel à vos souvenirs ou à votre imagination ?

Elles font appel à mes souvenirs et à mon imagination, collant le plus possible à l'atmosphère de l'époque. C'est le regard de l'enfant que j'étais, de l'adulte que je suis devenu, sans être nostalgique, mais respectueux des valeurs transmises par mes parents : l'amour de l'autre, de la nature, de son environnement qui a bien plus de valeur que les cotations boursières.

Pourquoi les photographies ont leur place dans ce roman ?

Les photos sont là pour accompagner le récit et l'illustrer. Elles donnent du relief à l'histoire. Les photos de Toulouse et de Verfeil accompagnent l'action qui se passe dans ces lieux. Verfeil est le village où ont vécu les petites filles modèles que lit Marie dans le roman.

A quel public s'adresse ce roman ?

Il s'adresse à la fois aux enfants, à partir de 9 ans, qui découvriront l'ambiance des années soixante (je suis prêt à intervenir dans les écoles à la demande des enseignants) et aux adultes qui étaient à l'école élémentaire à cette époque. Ils pourront y retrouver les odeurs de ce temps-là.

La photographe : Véronique fait du théâtre et est engagée dans une association humanitaire pour aider les villages d'Oushagram en Inde.

L'auteur : Christian, 57 ans, tombé dans le chaudron de l'écologie à 19 ans, produit et anime une émission « Traversée » tous les jeudis entre 17 heures et 18 heures sur Radio Occitanie.

Mercredi 29 juin entre 17 h et 19 h à librairie Lire aux éclats, Christian Moretto dédicace son premier roman « Les enfants de la Garonne » éditions Majarogi.

Guillaume Alcaïna, 22 ans, et Vincent Gaudion, 23 ans, s'engagent dans le 4L trophy. Ils sont étudiants en master management des industries du tourisme et de l'hôtellerie du Cetia (Centre d'études et du tourisme, de l'hôtellerie et des industries de l'alimentation) de l'université de Toulouse 2 le Mirail. Ce raid étudiant, humanitaire et sportif, les entraînera sur les pistes marocaines, à travers montagnes, oueds et dunes, jusqu'à Marrakech en février prochain.

Le projet, débuté en mai, permet à ces deux futurs cadres, de mettre en pratique les enseignements reçus et de développer le travail d'équipe, la capacité d'écoute, d'analyse et la prise de décisions. Créer une association, préparer la plaquette du projet, chercher la 4L, trouver les sponsors, à ce jour c'est fait ! Guillaume explique : « C'est la première fois que des étudiants du Cetia font ce raid. Grâce à nos sponsors, Cetia, EMP étanchéité, Garona villa, le restaurant le Pois gourmand, Burlodge, entre autres, nous avons la totalité du financement. La 4L, un 4X4 Simpar, a été révisée par les techniciens de Renault Tournefeuille ». Didier Freyche et Dominique Elias, responsables du garage, ont déjà soutenu des défis tels que celui-ci. « La voiture n'était pas prête à affronter le sable », dit Didier Freyche. Et Dominique Elias de poursuivre : « cela fait plaisir de travailler sur ce genre de véhicule et nous leur donnerons des conseils de base pour pouvoir la réparer si besoin ».

Prochaines étapes à franchir avant le départ, pour les deux aventuriers : peindre la voiture, installer de quoi écouter de la musique, aménager le coffre pour transporter les fournitures scolaires, sportives et médicales qui seront distribuées à l'arrivée, placer les autocollants, réalisés par l'entreprise « Alias Print », sur les portières, le capot et organiser une soirée pour remercier les sponsors. « Grand merci, aussi, au réseau des papas qui nous a bien aidés », ajoute Vincent.

Pour voir sur les réseaux sociaux l'aventure de Guillaume et Vincent, un photographe reporteur, Yorik Canet, a créé un site qu'il tiendra à jour pendant le raid, si les moyens techniques le permettent !