AVRIL 2012 A TOURNEFEUILLE

Découvrir le circuit de l'eau potable en petit train

De l'eau de rivière à l'eau du robinet, toutes les étapes du circuit de l'eau potable sont à découvrir le mercredi 4 avril au départ du parking du parc de loisir de la Ramée à Tournefeuille.

Accompagnés par un guide du domaine eau potable, les participants se rendront sur la prise d'eau du canal de St Martory à pied, puis rejoindront un petit train sur le parking pour aller jusqu'à l'usine d'eau potable de Tournefeuille. L'heure de visite de l'usine sera finalisée par un goûter de l'eau. Le train les conduira ensuite au château d'eau pour en visiter l'intérieur (pas d'emprunt d'échelle pour accéder à la cuve) puis retour au parking de la Ramée.

Gratuit accessible à tous, dès 8ans, sur inscription jusqu'au 30 mars au 05 81 91 78 00 ou sur regie.eau.potable@grandtoulouse.fr

Le mardi 3 avril matin de 9h à 12h une réunion d'information destinée aux professionnels sur les risques psycho-sociaux dans les organisations professionnelles est organisée à la maison de l'emploi et de la solidarité de Tournefeuille par Anne Laure Maldiney Jolain avec pour thème, « Promouvoir la qualité de vie au travail, concilier la performance de l'entreprise et le bien-être des salariés ».

Améliorer la qualité de vie au travail a des effets sur la motivation des salariés, le niveau de stress et plus globalement sur les risques psycho-sociaux. Ainsi le vécu au travail et le sens donné à la vie professionnelle jouent sur la notion d'engagement, y compris dans les phases de recherche d'emploi.

Contact: 0561060855

Jusqu'au 5 mai, Sophie Zina-O expose à la médiathèque une quarantaine de sculpture en papier, grès, porcelaine en inox ou en bronze.

Sous le titre «Les Passeurs du temps», cette exposition est en fait une histoire, un poème sculpté car Sophie est aussi conteuse.

Lors de l'inauguration, en kimono et visage blanc, elle a emmené le public dans un monde où l'éphémère, le fragile du papier se marie à l'éternité du bronze. «Les figures mûrissent lentement dans ma tête, explique-t-elle. Quand je crée, tout part d'un jet, je ne fais jamais de brouillon, je suis en perpétuelle évolution, en recherche, en réflexion, rien ne doit être figé et la feuille qui est ma matière s'habille sous mes doigts de vide, d'espace et de respiration dans une quête spirituelle. Je suis quelqu'un qui croit en ses rêves : j'ai du éditer les livres qui sont les piliers essentiels de ma création : « Bribes « en hommage à mon père,«Le Souffle qui parle d'amour et de création, «Maitre de musique , maitre de ballet» dédié à mes 4 enfants et le dernier « L'Echiquier » qui parle de l'autre...».

Pour la première fois, l'artiste présente une approche nouvelle de la peinture sous forme de kakemonos.