L'echo des écoles......
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L'echo des écoles......
Après 36 ans de vie commune avec l'école primaire Paul Bert, l'école Allemande a déménagé sur le site Eurocampus, derrière l'International School of Toulouse (IST).
Le nouvel établissement, spacieux et lumineux, accueille l'école Maternelle au rez-de-chaussée et les écoles élémentaires allemande et anglaise de l'IST au premier étage. Il répond aux besoins d'espace nécessaire.
Nicolas, jeune allemand en classe de français commente simplement : « J'aime cette école parce qu'elle est très grande ».
Certains espaces sont communs aux deux écoles, comme la bibliothèque trilingue qui plaît tant à Marven, 9 ans, alors que son copain Chuin Yu apprécie la cantine. Ces espaces, ainsi que la cour de récréation, permettent le mélange des langues au quotidien. « Les enfants ont déjà réclamé plus de temps pour jouer ensemble » remarque Gisela Heinzel, directrice de l'école élémentaire Allemande. Signe que la langue n'est pas une barrière. Mais la France n'est pas en reste : pour recevoir « en priorité l'école Paul Bert » ou d'autres petits français, la salle de coopération a les capacités requises.
« Nous regrettons cette séparation physique de l'école Paul Bert, mais nous la compenserons par une coopération à laquelle nos différents partenaires sont en train de réfléchir avec nous » insiste Ulrike Kunert, directrice de l'Ecole Allemande dans un français parfait, langue officielle de l'Eurocampus qui pendra la crémaillère le 29 mai après-midi.
Le nouvel établissement, spacieux et lumineux, accueille l'école Maternelle au rez-de-chaussée et les écoles élémentaires allemande et anglaise de l'IST au premier étage. Il répond aux besoins d'espace nécessaire.
Nicolas, jeune allemand en classe de français commente simplement : « J'aime cette école parce qu'elle est très grande ».
Certains espaces sont communs aux deux écoles, comme la bibliothèque trilingue qui plaît tant à Marven, 9 ans, alors que son copain Chuin Yu apprécie la cantine. Ces espaces, ainsi que la cour de récréation, permettent le mélange des langues au quotidien. « Les enfants ont déjà réclamé plus de temps pour jouer ensemble » remarque Gisela Heinzel, directrice de l'école élémentaire Allemande. Signe que la langue n'est pas une barrière. Mais la France n'est pas en reste : pour recevoir « en priorité l'école Paul Bert » ou d'autres petits français, la salle de coopération a les capacités requises.
« Nous regrettons cette séparation physique de l'école Paul Bert, mais nous la compenserons par une coopération à laquelle nos différents partenaires sont en train de réfléchir avec nous » insiste Ulrike Kunert, directrice de l'Ecole Allemande dans un français parfait, langue officielle de l'Eurocampus qui pendra la crémaillère le 29 mai après-midi.
Re: L'echo des écoles......
Un carnaval très gourmand à la MATERNELLE HELENE BOUCHER
« Friandises », le thème du carnaval cette année, a été inspiré par le spectacle de marionnettes de Mercedes Pujol « Hansel et Gretel ».
Alors, le jour convenu, l'école s'est remplie de réglisse boys, fraises Tagada, Miss Smarties, petits pâtissiers, bonbons géants et confiseries ambulantes. Comme dans le conte inspirateur, il y avait aussi des bûcherons et des sorcières. Un garçonnet incarnait même la maison en pain d'épice : le toit et les murs faits d'éponges et de sucreries.
Ce matin-là, les parents ont déposé leurs enfants costumés. En voyant les déguisements des copains, des réticents se laissent costumer. Goûter festif et préparation pour le défilé dans l'école élémentaire et la crèche voisines. Pour un effet plus percutant, on s'équipe de tambourins, grelots et maracas. Des masques ont été fabriqués en classe. Certains sont en carton peint, d'autres en pâte sablée chocolatée. Les enfants les emporteront à la maison et peut-être fredonneront-ils la chanson apprise pour l'occasion « Un petit biscuit qui croque c'est mieux qu'un bonbon qui colle ».
« Friandises », le thème du carnaval cette année, a été inspiré par le spectacle de marionnettes de Mercedes Pujol « Hansel et Gretel ».
Alors, le jour convenu, l'école s'est remplie de réglisse boys, fraises Tagada, Miss Smarties, petits pâtissiers, bonbons géants et confiseries ambulantes. Comme dans le conte inspirateur, il y avait aussi des bûcherons et des sorcières. Un garçonnet incarnait même la maison en pain d'épice : le toit et les murs faits d'éponges et de sucreries.
Ce matin-là, les parents ont déposé leurs enfants costumés. En voyant les déguisements des copains, des réticents se laissent costumer. Goûter festif et préparation pour le défilé dans l'école élémentaire et la crèche voisines. Pour un effet plus percutant, on s'équipe de tambourins, grelots et maracas. Des masques ont été fabriqués en classe. Certains sont en carton peint, d'autres en pâte sablée chocolatée. Les enfants les emporteront à la maison et peut-être fredonneront-ils la chanson apprise pour l'occasion « Un petit biscuit qui croque c'est mieux qu'un bonbon qui colle ».
Re: L'echo des écoles......
Le premier cross associant des collèges (L.Blum et V.Hugo) et des écoles primaires (H.Boucher, A.Savary, J.Ferry) s'est déroulé au Perget.
Dossard épinglé sur le ventre, les 800 concurrents attendent le départ de la première course en s'échauffant. Ils sont une centaine par course, garçons et filles séparés.
Les 8 courses sont encadrées et balisées. Elles conduisent les concurrents autour du lac jusqu'à la forêt et dans la zone dégagée. La distance à parcourir s'échelonne de 1300 à 3 400 m selon l'âge et le sexe. Ainsi, en 4ème et 3ème il y a 3400m à courir pour les garçons et 3000m pour les filles. Une épreuve qui ne doit pas poser de problème, les élèves ayant effectué de cycles d'endurance en EPS
Résultats individuels
CM2 Filles : ! 1 Savignac_Bottelin Lea, Ecole Alain Savary
CM2 Garçons : 1 Legros Thomas, Jules Ferry
6EME Filles : 1 Ouandjli Kenza, Victor Hugo
6EME Garçons : 1 Suarez Anthony, Léon Blum
5EME Filles : 1 Chapel Celine, Léon Blum
5EME Garçons : 1 Lemmou Malik, Léon Blum
4EME Filles : Guillen Charlene, Léon Blum
4EME Garçons : Moqran Ilyes, Léon Blum
3EME Filles : Terrail Claire, Léon Blum
3EME Garçons : 1 Guyon Bastien, Léon Blum
Dossard épinglé sur le ventre, les 800 concurrents attendent le départ de la première course en s'échauffant. Ils sont une centaine par course, garçons et filles séparés.
Les 8 courses sont encadrées et balisées. Elles conduisent les concurrents autour du lac jusqu'à la forêt et dans la zone dégagée. La distance à parcourir s'échelonne de 1300 à 3 400 m selon l'âge et le sexe. Ainsi, en 4ème et 3ème il y a 3400m à courir pour les garçons et 3000m pour les filles. Une épreuve qui ne doit pas poser de problème, les élèves ayant effectué de cycles d'endurance en EPS
Résultats individuels
CM2 Filles : ! 1 Savignac_Bottelin Lea, Ecole Alain Savary
CM2 Garçons : 1 Legros Thomas, Jules Ferry
6EME Filles : 1 Ouandjli Kenza, Victor Hugo
6EME Garçons : 1 Suarez Anthony, Léon Blum
5EME Filles : 1 Chapel Celine, Léon Blum
5EME Garçons : 1 Lemmou Malik, Léon Blum
4EME Filles : Guillen Charlene, Léon Blum
4EME Garçons : Moqran Ilyes, Léon Blum
3EME Filles : Terrail Claire, Léon Blum
3EME Garçons : 1 Guyon Bastien, Léon Blum
Re: L'echo des écoles......
Exercice d'évacuation au collège Léon-Blum
« Sortir vite » : l'opération d'évacuation menée par le Conseil Général dans les collèges de Haute Garonne une fois par an, concerne les classes de 6ème.
À Colomiers, Victor-Hugo et Léon-Blum en ont déjà bénéficié. « Nos élèves prennent beaucoup les transports en commun. Il est important qu'ils sachent quitter un bus en cas d'incendie ou de pneu crevé » explique Carline Sorbello-Diouf, proviseur adjoint du collège Léon Blum. L'apprentissage débute par une vidéo sur les transports en communs et les consignes à observer en cas de problème. S'en suit une partie pratique menée par un pompier. Il donne les dernières instructions dans le bus stationné devant l'établissement.
Puis, « Au coup de klaxon de la conductrice, vous sortez ». Le personnel de la mairie chargé d'accompagner les enfants lors de déplacements pratique aussi l'exercice. L'évacuation est effectuée une deuxième fois, après un rappel que « Si les sacs restent dans le bus, ça n'est pas grave. Le matériel se remplace, la vie est irremplaçable ».
Une moralité qu'il est bon de rappeler.
Source : La Dépêche du Midi
Re: L'echo des écoles......
L'escalade à l'école Jean-Macé
L'escalade, bonne école pour apprendre à se dépasser.
L'escalade, bonne école pour apprendre à se dépasser.
«Le mardi je n'ai aucun absent». Les 23 élèves d'Anne-Sophie Llibre, enseignante des écoles à Jean-Macé sont tous partants chaque mardi pour participer projet bâti autour de l'escalade et de la «citoyenneté».
Ses élèves n'ont que 6-7 ans et certains comme Fabien , Axelle ou Abdelwahid sont à peine hauts comme trois pommes, mais le mur d'escalade, ils «kiffent grave».
(Presque) aucun n'oublie de glisser une paire de sandales souples dans son sac, chaque mardi , faisant un pas de plus vers leur autonomie. De pas en pas, à la fin du trimestre, ils seront tous en haut des plus hauts murs d'escalade d'Altissimo à Saint-Martin-du -Touch.
«Maîtresse, je suis arrivé tout en haut»
Anne-Sophie Llibre, enseignante en CP voit déjà au bout de deux mardis d'escalade «l'évolution au niveau de la prise de risque.» Ravie, elle entend «ses» petits lui dire tout fièrement : «Ca y est maîtresse, je suis arrivée tout en haut». Son projet construit en partenariat avec les moniteurs d'Altissiom vise à développer les compétences suivantes : le respect de l'autre, l'entraide, l'adaptation à une situation nouvelle, l'analyse des parcours (des voies) qui conviennent le mieux à chacun, la prise de conscience de ses limites.» Dès les premières heures, Axelle, petit gabarit de gymnaste roumaine s'est envolée avec légèreté et assurance vers les sommets. Maxence à la stature de futur pilier, est aux anges : «Aujourd'hui, j'ai fait mieux que la dernière fois». Anne-Sophie a entraîné dans son projet les 23 élèves de sa classe et leur a fait comprendre que «chacun évoluait à son rythme et que si tout le monde n'y arrivait pas d'emblée, à la fin du projet, tous y arriveront.»
rentrée prochaine
A travers leurs émotions et la prise de confiance en eux, l'équipe pédagogique a eu aussi à cœur de guider ces jeunes enfants dans l'inconnu qui les attend l'année prochaine avec la fermeture de l'école Jean-Macé. Eparpillés dans d'autres écoles, leur approche de l'escalade pourrait bien les aider à surmonter l'angoisse d'une rentrée dans une autre école. La décision de certains parents d'inscrire leur enfant dans le privé laisse désemparés les défenseurs de l'école publique.
Mais aujourd'hui, tout en haut du mur d'escalade, Fabien, Abdelwahid, Maxence, Axelle et leurs 19 copains goûtent au vertige de la vitoire sur eux-mêmes.
Source : La Dépêche du Midi
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