Des Défribillateurs en libre-service
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Des Défribillateurs en libre-service
Des défibrillateurs automatiques externes (DAE) feront dans les prochaines semaines leur apparition dans le mobilier urbain toulousain.
Après un accident cardio-vasculaire, chaque minute compte. La mairie de Toulouse en est bien consciente, qui a annoncé, hier matin, sa volonté de mettre des défibrillateurs à la disposition du grand public, directement dans la rue.
Ces appareils viendront renforcer l'offre déjà existante dans un certain nombre d'établissements recevant du public (ERP). L'appel d'offres (juin 2009) a été remporté par une société niçoise, Defibril, pour un montant total de 325 000 € sur 5 ans.
Ces défibrillateurs seront entièrement automatiques, conformément aux recommandations du Conseil Français en Réanimation Cardiopulmonaire (CFRC) ils sont capables d'analyser l'état du patient, ne délivrant ainsi de décharge électrique que si cela est nécessaire, et adapteront leur intensité au cas par cas.
Nul besoin d'avoir suivi quelconque formation pour pouvoir l'utiliser : il suffit de suivre scrupuleusement les instructions affichées à côté de l'appareil. Ne pas intervenir, c'est réduire à néant les chances de survie de la victime d'arrêt cardiaque. Et il faut faire vite : chaque minute, c'est 10 % de chances de survie en moins, avec l'apparition possible de séquelles « irréversibles » au-delà de 7 minutes sans réanimation.
Faire connaître les gestes de premier secours reste essentiel afin d'augmenter l'efficacité de ces appareils : des formations gratuites et ouvertes à tous existent déjà depuis longtemps auprès de la Croix-Rouge.
Désormais, on trouve aussi des kits d'autoformation ; certains sont même en vente sur internet. Ils se présentent sous la forme d'un mannequin généralement accompagné d'un DVD et d'un défibrillateur factice et coûtent en moyenne 30€.
À Toulouse, GrDF financera une cinquantaine de ces kits ainsi que des formations d'une durée d'une heure chacune pour le personnel de la mairie sur la base du volontariat.
Partout, ils sauvent des vies
D'autres expériences de mise à la disposition de défibrillateurs à destination du grand public existent depuis un certain temps autour de Toulouse.
Le mois dernier, Colomiers s'est doté de 40 appareils installés dans des lieux publics ; Blagnac s'est doté de 26 appareils en 2009. Tournefeuille vient d'en faire installer une dizaine qui s'ajoute aux 3 appareils déjà en place. La ville de Pibrac propose aussi des formations hebdomadaires dispensées par la Croix-Rouge.
Après un accident cardio-vasculaire, chaque minute compte. La mairie de Toulouse en est bien consciente, qui a annoncé, hier matin, sa volonté de mettre des défibrillateurs à la disposition du grand public, directement dans la rue.
Ces appareils viendront renforcer l'offre déjà existante dans un certain nombre d'établissements recevant du public (ERP). L'appel d'offres (juin 2009) a été remporté par une société niçoise, Defibril, pour un montant total de 325 000 € sur 5 ans.
Ces défibrillateurs seront entièrement automatiques, conformément aux recommandations du Conseil Français en Réanimation Cardiopulmonaire (CFRC) ils sont capables d'analyser l'état du patient, ne délivrant ainsi de décharge électrique que si cela est nécessaire, et adapteront leur intensité au cas par cas.
Nul besoin d'avoir suivi quelconque formation pour pouvoir l'utiliser : il suffit de suivre scrupuleusement les instructions affichées à côté de l'appareil. Ne pas intervenir, c'est réduire à néant les chances de survie de la victime d'arrêt cardiaque. Et il faut faire vite : chaque minute, c'est 10 % de chances de survie en moins, avec l'apparition possible de séquelles « irréversibles » au-delà de 7 minutes sans réanimation.
Faire connaître les gestes de premier secours reste essentiel afin d'augmenter l'efficacité de ces appareils : des formations gratuites et ouvertes à tous existent déjà depuis longtemps auprès de la Croix-Rouge.
Désormais, on trouve aussi des kits d'autoformation ; certains sont même en vente sur internet. Ils se présentent sous la forme d'un mannequin généralement accompagné d'un DVD et d'un défibrillateur factice et coûtent en moyenne 30€.
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