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Hollywood veut faire de Francazal le plus grand studio d'Europe

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Hollywood veut faire de Francazal le plus grand studio d'Europe Empty Hollywood veut faire de Francazal le plus grand studio d'Europe

Message  Admin Mar 7 Juin - 12:53




Le site militaire de Francazal abandonné par l'armée pourrait être transformé en studios de cinéma par l'une des plus grosses majors américaines.

Une major américaine a transmis un dossier au préfet de région et de Haute-Garonne dans lequel elle fait officiellement une offre de reprise de la base militaire de Francazal pour en faire l'un des plus grands studios de cinéma d'Europe.

C'est un coup de théâtre inattendu comme on les aime à Hollywood. Dans un courrier daté du 11 mai dernier, Me Jacques Lavergne, avocat à Toulouse, informe Henri-Michel Comet, préfet de région et de Haute-Garonne, du projet qu'échafaude son client sur la base aérienne de Francazal. Son client ? L'une des plus grosses majors américaines qui, très officiellement, propose au représentant de l'État de reconvertir le site militaire abandonné par l'armée en studios de cinéma.

Familier des productions Disney et Marvel notamment, ce grand nom du cinéma hollywoodien tenu secret par ses représentants en France, propose, ni plus ni moins, d'installer dans l'agglomération de Toulouse l'un des plus grands studios de cinéma d'Europe. « Il s'agit, avertissent Me Jacques Lavergne et Bruno Granja, mandataire de la société américaine en France, d'une affaire très sérieuse ».

Ce dernier, 36 ans, architecte à Cugnaux et passionné de cinéma, est à l'origine du projet qui pourrait bouleverser l'avenir de la base militaire, vouée initialement à se transformer en plateforme privée de services aéronautiques. « J'ai toujours été surpris par la ressemblance architecturale de Francazal avec les studios Warner Bros à Los Angeles. Lorsque j'ai appris que l'armée quittait les lieux, ça a été un déclic ». Bruno Granja a exploité alors ses entrées dans le milieu cinématographique américain, mais c'est surtout grâce à son culot et sa détermination qu'un studio a finalement mordu à l'hameçon. « Les convaincre n'a pas été très difficile », se souvient celui qui est devenu aujourd'hui le mandataire de la major en France. « Des hangars immenses où installer des plateaux, des locaux d'hébergement et de restauration, une piste d'atterrissage où peuvent se poser les stars en toute discrétion et décoller des hélicoptères pour des prises de vue aériennes dans les Pyrénées par exemple… Il suffit de 80 millions d'euros pour remettre les lieux en état, un investissement dérisoire comparé aux dépenses colossales englouties par la construction ex nihilo de studios de cinéma.

Dès le mois de mars, les Américains ont fait des propositions : ils s'engagent à fournir du travail aux studios de Francazal dont la gestion sera confiée à une société d'exploitation française pour laquelle des investisseurs se sont déjà manifestés. Mais le temps presse », avertit Bruno Granja. La major veut tourner ses premiers films à Toulouse début 2013.


Le plus grand studio d'Europe
Les studios de Londres vieillissent, ceux de Cinecitta en Italie agonisent tandis qu'à Alicante, la Ciudad de la luz, trop exiguë, étouffe sous la demande à laquelle les nouveaux studios de Budapest ne peuvent pas répondre. Bref, il reste, selon l'industrie cinématographique américaine, un potentiel d'activité à exploiter en Europe de l'ouest dont pourrait se saisir Francazal. « Il s'agirait, en terme de surface, de l'un des plus grands studios d'Europe et peut-être du monde », souligne Bruno Granja, en précisant que ce n'est pas, là, le seul atout de l'ancienne base aérienne. « La géographie de la France, située à mi-chemin entre les Etats-Unis et l'Asie pourrait également peser dans la balance lorsque les cinémas japonais, coréen ou thaïlandais auront à choisir leurs studios ».

De son côté, Me Jacques Lavergne insiste, lui, sur « l'impatience de la major hollywoodienne. Pour tout dire, précise l'avocat toulousain, mes clients souhaiteraient que les travaux d'études et de réalisation démarrent immédiatement. La deuxième phase serait réalisée en 2012 et toucherait à la réhabilitation de la base et son adaptation en studio, travaux chiffrés à 80 millions d'euros. Enfin, en ce qui concerne l'exploitation du site qui constituerait la troisième et dernière phase, la société américaine se projette à l'horizon très court de 2013. Aujourd'hui, avertit Me Lavergne, nos clients attendent une réponse. Ils sont dans une logique de croissance. S'ils ne se développent pas à Toulouse, ils partiront à Singapour qui leur tend les bras ».

Un potentiel de 6 000 emplois
Dans la note de synthèse qu'ils ont adressée à la préfecture de région, Me Jacques Lavergne et l'architecte Bruno Granja insistent sur l' impact économique, social et touristique de la reconversion cinématographique de la base militaire de Francazal.

« A terme, indiquent l'avocat et le mandataire français des studios américains, l'opération peut produire 6 000 emplois directs et indirects ». Ils ajoutent, à titre d'exemple, que « l'implantation du dernier studio du groupe sur le continent américain a créé 13 000 embauches ». Il s'agit, considèrent par ailleurs MM. Lavergne et Granja, d'un projet réellement social. « La majorité des emplois nécessaires à la bonne marche d'un studio est issue des métiers de l'artisanat : peinture, menuiserie, coiffure, couture, cordonnerie, ferronnerie, etc., qui peuvent s'adresser à des populations en difficulté ou non-diplômées ». Enfin, rappellent-ils sur la base d'informations fournies par l'industrie cinématographique, « 1 $ investi dans une production génère 2,5$ de retombées pour l'économie locale ».

Jacques Lavergne et Bruno Granja attirent également l'attention des services de l'Etat sur la bonne affaire touristique que Toulouse et sa région peuvent réaliser grâce à la reconversion artistique de Francazal. « Un studio de cinéma suscite naturellement l'intérêt du public. Comme cela existe ailleurs, une partie du site sera ouverte aux visiteurs, suivant une scénographie à établir mais qui s'articule généralement autour de boutiques de souvenirs, salles de cinéma, espaces de restauration et de loisirs. Plus globalement, c'est aussi tout le patrimoine naturel de Midi-Pyrénées qui doit profiter d'une formidable promotion. Les Pyrénées, les littoraux, nos villages, notre nature sauvage offrent de superbes décors qui ont déjà séduit les Américains ».

Ils notent enfin que l'implantation de studios à Francazal doit s'accompagner de la création d'une école de cinéma et de l'installation de la base européenne du Cirque du Soleil génératrices, elles aussi, de nombreux emplois.

Les services de l'Etat ont fixé un rendez-vous
Ce n'est, a priori, qu'une question de jours. Interrogée par « La Dépêche du Midi », la préfecture confirme avoir accusé réception du dossier transmis par les studios de cinéma américains, via leur avocat toulousain, Me Jacques Lavergne.

« La reconversion de l'ancienne base militaire de Francazal est une opération d'importance à laquelle collaborent les émanations régionales et départementales des services de l'État en Haute-Garonne et Midi-Pyrénées », souligne un représentant du préfet, en rappelant que ce patrimoine abandonné par l'armée de l'air en mars 2010 est la propriété de l'État. C'est également à lui, en partenariat avec les collectivités locales, qu'il appartient de faire le tri parmi les entreprises candidates à une implantation sur l'immense site qui s'étend sur plusieurs communes de l'agglomération toulousaine.

Récemment, le dossier déposé par l'entreprise Atlantic air industries a été accepté, confirmation de la vocation de plateforme de services aéronautique promise à la base militaire désaffectée. « Or, précise Me Lavergne, il paraît difficile qu'il puisse s'établir sur le site une coexistence entre l'industrie cinématographique et une autre activité, à l'exception, bien sûr, de l'exploitation de l'aéroport qui constitue un atout supplémentaire pour les studios ».

Malgré ces exigences, la préfecture a assuré, hier, que ce dossier de nature à contrarier l'avenir aéronautique de Francazal « sera examiné avec l'attention que nous devons naturellement lui manifester. Nous en pèserons les avantages et les inconvénients, les forces et les faiblesses, comme nous l'avons toujours fait depuis que nous travaillons à la reconversion de la base », conclut un collaborateur du préfet.

interview
"Bien sûr, je rêve d'un happy end"

Le projet de reprise de la base militaire de Francazal par un studio de cinéma américain est-il sérieux ?
Philippe Guérin, maire de Cugnaux. Arrow Absolument. J'accompagne ce projet depuis son origine, lorsque l'architecte Bruno Granja me l'a présenté et sollicité mon soutien. C'était au mois de septembre dernier. Depuis, des choses concrètes se sont passées, qui témoignent du haut intérêt manifesté par ce puissant studio américain à l'égard de la base de Francazal.

A quoi pensez-vous en particulier ?

Arrow Avec Bruno Granja, nous avons rencontré le président du studio auquel nous avons présenté le site, son potentiel. En ma qualité de président du Comité régional du tourisme, j'ai également insisté sur la richesse du patrimoine naturel de Midi-Pyrénées qui offre de superbes décors à l'industrie cinématographique. Ils ont, par exemple, adoré les Pyrénées. Bref, à l'issue de notre entretien, le studio a renouvelé son offre de reprendre la base via une société d'exploitation française.

Vous soutenez donc ce projet qui va à l'encontre de la reconversion de Francazal en plateforme aéronautique ?

Arrow Quel élu, aujourd'hui, ne donnerait pas sa chance à un projet susceptible de créer plus de 5000 emplois ? L'agglomération toulousaine dont on critique parfois le modèle économique mono-industriel tient-là, me semble-t-il, une formidable occasion de se diversifier. Les groupes privés qui, d'ores-et-déjà, se disent prêts à investir, ont compris l'intérêt de cette opération.

Or à ce jour, la major américaine est toujours dans l'attente d'une réponse à son offre ?

Arrow Je rappelle que la base aérienne reste une propriété de l'État. Je sais que le préfet a été officiellement saisi du dossier mi-mai. C'est à lui, désormais, qu'il appartient de décider de la suite que l'on donnera à cette affaire.


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Message  Admin Mar 5 Juil - 16:22

Le patron de la major hollywoodienne Raleigh, intéressé par l'ouverture de studios à Francazal, sera sur l'ex-base militaire de Cugnaux le 29 juillet prochain d'après la préfecture.

Les services de l'Etat ont reçu en milieu de semaine dernière l'architecte Bruno Granja, à l'initiative du projet, pour faire le point sur ce dossier. Ils lui ont confirmé que les studios pourraient répondre l'an prochain à l'appel à projets concernant les 45 hectares de Francazal, libres aujourd'hui de toute activité aéronautique.

La création d'Hollywood-sur-Garonne suscite toujours l'engouement de la population. Une pétition demandant l'autorisation d'implantation a ainsi reçu 727 signatures.


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Message  Admin Mer 31 Aoû - 10:19

Sur l’ancienne base de Francazal, le projet de studios de cinéma se précise. L'Américain Raleigh Studios doit présenter en novembre un dossier pour l'exploitation des 45 ha mis en concession en 2013.


L’appel à candidature ne sera lancé qu’en janvier 2012 pour une mise en concession en 2013 mais une réunion à la préfecture de Région a permis de faire le point sur le dossier. « Nous avons réaffirmé à Bruno Granja, l’architecte à l’origine du projet, et à Jacques Lavergne, représentant des studios Raleigh, que nous n’étions pas opposés à un projet de cette envergure et de ce type-là », explique Françoise Souliman, secrétaire générale de la préfecture de Haute-Garonne.

En revanche, elle souhaite avoir des certitudes sur la solidité du dossier américain. « Nous voulons un vrai projet, une vraie manifestation de volonté de la part des Américains et un montage financier. Même si le projet peut se révéler intéressant, ce n’est pas ce qui a été présenté la première fois. Nous les avons prévenus de ne pas communiquer n’importe comment en annonçant des centaines d’emplois. Il faut être clair, ils n’apportent pas d’argent, ils apportent un savoir-faire. Ils nous ont promis un projet ficelé pour mi-novembre. Et normalement, les Américains doivent venir voir le site début septembre. On examinera le dossier parmi les autres projets que l’on aura. »

Le cahier des charges n’ayant pas été établi, les studios Raleigh sont pour l’instant les seuls à s’être positionnés, « mais on sait que ça intéresse beaucoup de monde », affirme Françoise Souliman. Alors que beaucoup pensaient que la société américaine souhaitait l’ensemble du site, la préfecture a assuré qu’ils ne voulaient qu’un ou deux hangars en plus du terrain mis en concession, ce qui n’est pas possible, la plupart étant loués ou en mauvais état.

Le terrain concerné, estimé à 35 millions d’euros, occupe en réalité 45 ha sur les 273 ha de l’ancienne base. La question du droit de l’urbanisme doit en effet être prise en compte avec la révision du PLU de la ville de Cugnaux, afin de donner un statut juridique à ces terrains militaires, sans PLU applicable. Le patrimoine de l’armée n’étant soumis à aucun impôt local, il faut également mettre en place les procédures financières pour les collectivités locales. Pour établir le cahier des charges, Françoise Souliman souhaite organiser un comité de pilotage réunissant tous les partenaires début octobre.

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Message  Admin Sam 17 Sep - 10:37

Toulouse, future capitale mondiale du cinéma



Le projet de studios de cinéma sur le site de Francazal se dessine. Une délégation américaine des studios Raleigh vient de passer six jours à Toulouse. Cette visite faisait suite à la signature, cet été, d'un protocole d'accord entre Raleigh et la future société d'exploitation des studios de Francazal.

Après deux mois d'un silence perçu quelquefois comme un signal de mauvais augure, Bruno Granja, porteur du projet d'implantation de studios de cinéma sur la base de Francazal, sort de la réserve dans laquelle il s'était lui-même retranché.

« La semaine dernière, révèle-t-il à « La Dépêche du Midi », une délégation conduite par Michael Moore, le patron des studios Raleigh, a passé six jours à Toulouse. Les Américains sont repartis ravis de leur séjour qui leur a permis de découvrir la base aérienne bien entendu, mais également la ville et l'agglomération de Toulouse et quelques-uns des plus beaux sites naturels et patrimoniaux de la région. Cette visite faisait suite à la signature, cet été, d'un protocole d'accord entre Raleigh et la future société d'exploitation des studios de Francazal dont je suis le patron », a indiqué Bruno Granja.

Le projet de grande ampleur révélé par « La Dépêche du Midi » début juin 2011 est donc lancé. « L'été a été ponctué par de nombreuses rencontres avec Raleigh à Los Angeles et de séances de travail avec les élus et les services de l'Etat », souligne M. Granja. « Après une posture de prudence qui se conçoit lorsque se présente pareil projet, le préfet Comet, Martin Malvy, président du conseil régional, Pierre Cohen, maire de Toulouse et président du Grand Toulouse et Philippe Guérin, maire de Cugnaux, sont aujourd'hui des interlocuteurs attentifs à l'évolution du dossier ».

Un dossier dont on connaît désormais les grandes orientations. Raleigh qui souhaite pouvoir disposer en Europe de structures de nature à accompagner son développement, apporte son savoir-faire aux studios de Francazal dont la major sera cliente. « Il faut bien comprendre que la société d'exploitation du site de Francazal qui s'étendra sur 45 hectares sera française », explique Bruno Granja, qui s'emploie désormais à la constitution du tour de table des actionnaires et à la finalisation du cahier des charges qu'il présentera au propriétaire de la base - l'Etat - cet automne. Si le projet est validé sous une forme qu'il reste à déterminer (vente, bail emphytéotique, convention…), le patron de la société d'exploitation et ses partenaires américains souhaitent pouvoir démarrer l'opération dès que possible. « Courant 2012 », espère Bruno Granja. De source extérieure au dossier, le projet pourrait mobiliser 100 millions d'euros d'investissement environ, dédiés notamment à la construction de structures et la réhabilitation de bâti existant. A l'horizon 2013, Toulouse pourrait alors devenir l'une des capitales mondiales du cinéma.

Projet de studios de cinéma : «Les Américains ont adoré Toulouse»

Une délégation conduite par le patron des studios Raleigh a passé six jours dans la région.

Quel était le but de cette visite ?

Arrow Bruno Granja : La découverte, en premier lieu, du site de Francazal sur lequel nous envisageons d'implanter les studios. Il importait également aux Américains de connaître notre région.

Quelles ont été leurs impressions ?


Arrow Je crois pouvoir dire qu'ils sont repartis ravis. Le site, avec ses 45 hectares, les a naturellement satisfaits, mais ils sont également tombés sous le charme de Toulouse et de Midi-Pyrénées. Le cadre de vie, l'énergie et la jeunesse et les joyaux patrimoniaux qu'ils ont observés dans la Ville rose ont été perçus comme des atouts au service de l'activité industrielle qu'ils souhaitent accompagner ici. Nous leur avons également présenté quelques-uns des plus sites naturels et architecturaux de Midi-Pyrénées pouvant constituer autant de superbes décors naturels tout proches des studios.

Ils ont également rencontré les élus locaux ?

Arrow Nous avons naturellement organisé des rendez-vous avec les services de l'Etat, Martin Malvy, président du conseil régional, Pierre Cohen, maire de Toulouse et président du Grand Toulouse, Philippe Guérin et Thierry Suaud, maires de Cugnaux et de Portet-sur-Garonne. Les représentants des studios Raleigh savent qu'ils peuvent compter sur le soutien de la puissance publique et politique locale. De la même façon, Michael Moore a clairement confirmé à ses différents interlocuteurs l'intérêt que ses studios témoignent à notre projet.

Quel rôle joueront les Américains dans ce dossier ?

Arrow Les studios Raleigh comptent parmi les plus puissants d'Amérique du nord. Il s'agit d'une entreprise qui gère pas moins de 230 000 m2 de studios en Californie, en Louisiane, en Géorgie, dans le Michigan et à Budapest en Hongrie. Ils nous apporteront donc leur expérience et leur savoir-faire, du travail certainement, mais également leur image de marque. Car ce qui nous importe, c'est de nous installer rapidement dans le paysage cinématographique français, européen, puis mondial. L'an dernier, plus d'un milliard a été investi dans la production cinématographique en France, quand par ailleurs, le pays est en déficit de studios».


Granja : «Je ne porte pas un projet bling-bling»

Bruno Granja le confesse. « Hollywood-sur-Garonne », cette appellation que l'on a donnée à mon projet, m'agace un peu. « Je comprends que la participation des studios Raleigh à cette belle aventure puisse renvoyer à l'imagerie bling-bling - paillettes, stars, champagne et grosses limousines - qui surgit spontanément à l'évocation de l'industrie cinématographique américaine, mais mon projet est avant tout une affaire économique et industrielle, avec des centaines d'emplois à la clé », précise le patron de la société d'exploitation des futurs studios de Francazal. Des emplois directs, dont la plupart peuvent revêtir un caractère social et contribuer à l'insertion d'hommes et de femmes jusque-là sans perspectives professionnelles. « Des studios de cinéma font appel à des compétences diverses, dans l'artisanat et les métiers manuels notamment. Dans la région, tout le monde ne peut pas obtenir un emploi dans l'aéronautique, la recherche, les technologies de pointe », déclare Bruno Granja, en ajoutant que « ce projet, c'est l'émergence, en Midi-Pyrénées, d'une nouvelle filière industrielle ».

Des emplois indirects également. En marge de l'activité cinématographique se grefferont d'autres projets. « Les Etats-Unis nous proposent un exemple dont nous pouvons nous inspirer, eux qui ont adossé à leurs studios des projets touristiques, hôteliers » qui irriguent également les régions où ils sont implantés. Enfin, conclut M. Granja, nous envisageons également de contribuer à l'enrichissement de l'offre de formation en Midi-Pyrénées en créant à proximité de nos studios une école du cinéma».

Source : DPM

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Message  Admin Jeu 9 Fév - 18:40

Une cinquantaine de personnes se sont réunies ce mardi devant la préfecture pour soutenir le projet de studios de cinéma sur l’ancienne base militaire de Francazal. Pendant ce temps se tenait une réunion du comité de pilotage sur l'avenir de ces 45 hectares très convoités. Deux procédures vont être lancées par l'État en mars, pour l'ex-zone de vie que vise Raleigh et pour la zone aéroportuaire.

Stop à la mono-industrie : c’est en résumé le propos de Bernard Gineste, président du Collectif Francazal. Selon lui, l’implantation sur le site de l’ancienne base militaire de la société Air Atlantique Industries, spécialisée dans la maintenance aéronautique, est « un fiasco » : « Moins de 100 emplois créés » d’après lui. Son collectif milite pour l’implantation des studios de cinéma américains Raleigh, « une alternative intéressante, une diversification de l’emploi, une chance pour les personnes moins qualifiées, notamment dans la construction de décors » affirme Bernard Gineste.

Venu soutenir le collectif, Régis Godec, élu Europe Écologie Les Verts à la mairie de Toulouse, estime quant à lui qu’un débat entre tous les élus concernés est nécessaire et que « toutes les informations doivent être posées publiquement ». Pour lui, des studios de cinéma oui, « mais pas si c’est un écran de fumée pour faire oublier les enjeux, notamment le maintien ou pas des pistes de l’aéroport ».

Avant de se rendre à la réunion du comité de pilotage, Thierry Suaud, le maire de Portet-sur-Garonne, ne s’est pas montré insensible au projet mais estime que sa commune, comme Cugnaux, doit profiter des retombées : « Il faut qu’il s’agisse d’un projet d’agglomération avec un développement économique partagé » selon lui.

A l'issue du comité de pilotage, la préfecture de Midi-Pyrénées a annoncé que « deux procédures allaient être engagées de manière concomitante : l’une pour la cession de l’ex zone de vie, sur 45 ha, l’autre pour la sélection de l’exploitant de la zone aéroportuaire. Le lancement de l’appel à la concurrence aura lieu fin mars. Une pré-sélection des candidats sera effectuée début juin. Ces derniers devront remettre leur offre vers la mi-octobre. Enfin, la sélection du concessionnaire interviendra fin 2012. »

La préfecture indique également que « l’aménagement de l’ex zone de vie a donné lieu à la présentation de plusieurs orientations dont celle de l’implantation des studios de cinéma. Les activités aéronautiques, quant à elle, seront concentrées sur la partie jouxtant l’aérodrome. Un schéma d’aménagement sera donc arrêté. Il devrait délimiter précisément les deux zones et garantir l’équilibre économique de la concession aéroportuaire et le développement harmonieux de l’ex zone de vie.

Depuis la reprise de l’aérodrome par SNC Lavallin, le 3 janvier 2011, plusieurs entreprises se sont s’installées sur le site, annonce également la préfecture, énumérant : « Atlantic Air Industries, ULM Technologies (vente de pièces pour ULM), Intersud (location de voitures), SIP (nettoyage d’avion), Aeropilot (formation), et AirPlus. D’autres sont en cours d’installation. Des entreprises industrielles ont également manifesté leur intérêt pour le site, les négociations seront menées avec le futur repreneur. »

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Message  Admin Lun 5 Mar - 23:41

Et… Action ! Un véritable tournage à la hollywoodienne est en cours jusqu'à demain dans l'ancienne base militaire de Francazal. Depuis jeudi, le tournage d'un clip musical entièrement scénarisé occupe une équipe de l'association Boom Records. Cette « future boîte de production » cugnalaise, pour le moment association labélisée, a vu le jour en novembre dernier. Son credo : produire des groupes francophones afin de « mettre en avant l'écriture française ».

Le groupe phare de ce label, les « Bad Pigeons », tourne donc son clip à Cugnaux, le premier d'une longue série. En effet, les « méchants volatiles » vont réaliser une quinzaine de clips, qui mis bout à bout prendront la forme d'un véritable long-métrage d'1 h 15 environ.


Sean, l'un des trois « Bad Pigeons » a coiffé sa casquette de réalisateur pour l'occasion et donne la recette de ce groupe de Rock : « l'écriture, la mise en scène et le jeu d'acteur s'inspirent des films de Tarantino. L'objectif est de proposer un show scénarisé ». En effet, lors de leur prochain concert, le 19 avril au Bikini, le groupe se produira avec comme fond le fameux clip.

Le label a donc déposé un nouveau concept, le road album. C'est-à-dire un enchaînement de titres qui, à travers leur écriture et leur clip, raconte une histoire digne d'un film hollywoodien. Les rockeurs ont donc travaillé leurs personnages afin de ressembler au final à des acteurs.

Malgré des moyens très réduits, mais aidé par une importante équipe de bénévole et une dizaine de partenaires, le clip est d'un professionnalisme bluffant. Une scène a ainsi été tournée jeudi au volant d'une Mustang, parcourant les pistes de Francazal sous l'œil amusé des employés de l'aéroport civil.

Premier ou dernier tournage sur l'ancienne base militaire ? En attendant la réponse de l'État au projet américain de faire des 47 hectares de la base un véritable complexe cinématographique, les « Bad Pigeons » sont les premiers à prendre leur envol sur les pistes de Francazal.

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Message  Admin Dim 15 Avr - 11:03

Examiné hier en comité interministériel, le projet de création de studios à Francazal a été jugé crédible et a reçu le soutien du gouvernement. Il s'est engagé à déclencher une procédure simplifiée et accélérée pour la vente de la parcelle de l'ancienne base militaire convoitée par l'industrie cinématographique.

Un nouvel obstacle est levé. À l'issue du comité interministériel spécial qui s'est tenu ce jeudi matin à l'Elysée, Bruno Granja a obtenu le soutien officiel du gouvernement à son projet de reconversion d'une partie de la base de Francazal en plateforme industrielle dédiée à la production audiovisuelle.

Jean-Louis Chauzy qui accompagnait le jeune architecte de Cugnaux, souligne que ce n'est pas un, mais trois engagements forts pris au plus haut niveau de l'Etat en faveur des futurs studios de cinéma. « Ce que nous avons obtenu est sans équivoque : un accord pour délimiter une surface dédiée expressément à une activité culturelle sur la base militaire, un accord pour une procédure simplifiée et accélérée close au début décembre 2012, et enfin, une déclaration de soutien immédiate et explicite de l'Etat au projet », note le président du conseil économique, social et environnemental régional (CESER).

Concrètement, le gouvernement s'est dit prêt à ajuster son calendrier avec celui des studios américains Raleigh, dont la participation active a contribué à la crédibilisation de l'opération. La simplification de la procédure de vente d'une partie du foncier de l'ancienne base militaire adoptée hier à Paris, permet de supprimer le long processus d'appel à candidatures, et donc de gagner un an d'instruction administrative.

Convoqués par Christian Frémont, directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, les conseillers des ministères de la Défense, des Transports, de la Culture et des Finances, se sont prononcés après avoir examiné le dossier présenté par Bruno Granja et conclu à sa crédibilité. « Le potentiel du projet en terme d'emplois, de retombées touristiques et de notoriété non seulement pour Midi-Pyrénées mais également pour le pays, la promotion du patrimoine naturel régional et national ou encore l'occasion offerte à la région de diversifier sa mono-industrie aéronautique, ont à l'évidence pesé sur l'avis des conseillers ministériels », constate Bruno Granja. A ces éléments de contexte, le patron de la future société française d'exploitation des studios de cinéma de Francazal a ajouté des informations d'ordre financier qui restent frappées du sceau de la confidentialité. « Raleigh sera naturellement un acteur majeur du projet sur lequel se sont engagés plusieurs investisseurs », indique simplement M. Granja.

L'aménagement du site, une surface de 25 hectares qui fera de cette plateforme dédiée à l'industrie du cinéma l'une des plus vastes d'Europe, est estimé entre 80 et 100 millions d'euros. « Nous ne sollicitons pas un euro d'argent public », a répété hier Bruno Granja. « Toutefois, a-t-il ajouté, il serait normal qu'à un moment ou un autre, les collectivités locales prennent part à ce projet. Les dessertes routières, la formation aux métiers du cinéma, les projets artistiques, culturels et éducatifs qui pourront se greffer aux studios, sont des sujets dont il sera sans doute nécessaire de parler », suggère Bruno Granja.

Philippe Guérin, lui, est déjà prêt. Il fut le premier à y croire.« Ce projet, je le soutiens depuis le début », rappelle le maire de la commune où se situeront les studios, et qui s'apprête à vivre son rêve américain. « Évidemment, Cugnaux ne sera jamais Hollywood. Mais il est clair aussi que dans quelques mois, elle ne sera jamais plus comme avant… ».

On pourrait donner le premier tour de manivelle fin 2013


L'engagement pris ce jeudi matin par le gouvernement en faveur du projet de studios de cinéma à Francazal se traduira, sous quinzaine, par la publication d'un arrêté ministériel. Ce document confirmera les décisions arrêtées à Matignon, s'agissant en particulier de la procédure de mise en vente du foncier de Francazal convoité par Bruno Granja. Le texte officialisera la vocation expressément culturelle d'une zone de 25 hectares située sur l'ancienne base militaire, solution administrative parfaitement légale pour « faire le tri » parmi les candidats potentiels, et donc réserver d'une certaine manière la parcelle à l'acquéreur issu de l'industrie cinématographique.
Mai, juin, Bruno Granja se porte acquéreur

Dans la foulée de la publication de l'arrêté ministériel, la procédure accélérée de vente de ce terrain, propriété de l'État, sera lancée. Hier, Bruno Granja a évidemment confirmé que la société d'exploitation des studios de Francazal dont il est le patron depuis le début de l'année, proposera d'acquérir la parcelle. Elle pourrait être vendue pour environ 1 000 € l'hectare.


Sauf incident, les travaux devraient démarrer fin 2012, début 2013. Il s'agirait non seulement de reconvertir les anciens bâtiments domestiques de la base aérienne en locaux professionnels (administrations, production, post-production, etc.), mais également de construire des studios de toutes pièces, sachant que les immenses hangars où étaient stockés les appareils de l'armée de l'air conserveront leur vocation, dans le cadre du second volet de la reconversion de Francazal en plateforme dédiée à l'industrie aéronautique. Les deux filières cohabiteront sur l'immense site de près de 300 hectares. Une zone de tournage en plein air sera également aménagée. A proximité des studios, un espace ouvert au public (bars, hôtels, restaurants, salles de projection…) complétera l'offre commerciale du site.



Au bout d'un an de travaux, le premier tournage d'un film ou d'une série télévisée pourrait être réalisé dans les studios de Francazal. Sans les citer, Bruno Granja assure avoir été contacté par des productions audiovisuelles et tenir déjà ses premiers clients potentiels.

Ce projet a été examiné par les experts de Film France, structure soutenue par le Centre National du Cinéma, qui réunit le réseau des commissions du film et a pour mission de promouvoir les tournages et la post-production en France. Dans le rapport qu'ils ont remis aux services de l'État, ils évoquent « un projet magistral dans son ergonomie et sa compréhension des besoins des films et téléfilms qui confirme la totale crédibilité de l'opérateur…/…Une infrastructure one stop shop - on fait tout au même endroit - qui n'a jamais existé en France, et dont le caractère innovant est susceptible d'impulser des logiques nouvelles…/…Des capacités de tournage en studios et à ciel ouvert exceptionnelles… ». Autant d'atouts qui, placés sous le prestigieux label Raleigh, semblent d'ores et déjà avoir séduit la profession.


C'est le rêve américain qui s'accomplit aux portes de la Ville rose, une histoire comme on les aime à Hollywood. Bruno Granja, 36 ans, est à l'origine du projet qui va bouleverser l'avenir de la base militaire de Francazal et hisser Toulouse et son agglomération parmi les capitales européennes, et pourquoi pas mondiales, du 7e Art.

Comment ce jeune architecte de Cugnaux est-il parvenu à convaincre les studios Raleigh de s'intéresser à la base aérienne abandonnée par l'armée en mars 2010 ?

« J'ai toujours été surpris par la ressemblance architecturale de Francazal avec les studios Warner Bros à Los Angeles. Lorsque j'ai appris que l'armée quittait les lieux, ça a été un déclic », explique l'architecte passionné de cinéma. Bruno Granja a exploité alors ses modestes entrées dans le milieu cinématographique américain, mais c'est surtout grâce à son culot et sa détermination que les dirigeants de Raleigh ont finalement mordu à l'hameçon. C'était en avril 2011. « Les convaincre n'a pas été très difficile », se souvient celui qui est devenu aujourd'hui le patron de la future société d'exploitation des studios de Francazal. « Un terrain immense où installer des plateaux, des locaux d'hébergement et de restauration, une piste d'atterrissage où peuvent se poser les stars en toute discrétion et décoller des hélicoptères pour des prises de vue aériennes dans les Pyrénées par exemple… Ces atouts, les Américains sont venus les vérifier sur le terrain l'été dernier. Ils sont tombés sous le charme », se souvient Bruno Granja qui depuis un an, consacre l'essentiel de son temps et de son énergie à la réussite de son incroyable projet.


5000 emplois C'est le potentiel des futurs studios de cinéma de Francazal dans des dizaines de métiers. Sans compter les emplois indirects que pourrait générer la plateforme audiovisuelle dans le domaine du tourisme notamment.

« Nous serons en mesure de répondre à l'ensemble de la demande : production de téléfilms, de productions et coproductions françaises et européennes ».


Raleigh studios est le plus grand studio indépendant des Etats-Unis. Il possède plus de 185 000 m2 de plateaux, bureaux et locaux de services. Il est implanté à Hollywood, Manhattan Beach, Playa Vista, Baton Rouge, Atlanta, Detroit et plus récemment à Budapest. En partenariat avec Raleigh film, Hollywood location, Olessen Eclairage et EES, ils se combinent pour former Raleigh entertainment.

L'ouverture des studios à Budapest a eu lieu le 1er avril 2010. Des sociétés de production appartenant à Clint Eastwood et Angelina Jolie se sont associées à l'opération. Les studios, deux fois plus petits que le site de Francazal, ont coûté 50 millions d'euros. Depuis leur ouverture, ceux-ci ont généré 200 000 nuits d'hôtels supplémentaires sur la région de Budapest, la création de plus d'une centaine d'emplois directs liés à l'administration du studio et plusieurs milliers liés aux tournages.

La major héberge les productions Disney (Pirates des Caraïbes, Tron), les productions Marvel (Spiderman, Thor, Hulk, Iron Man,..), mais aussi des productions indépendantes. Actuellement elle accueille les tournages de films comme «Avatar II» et «Le Magicien d'Oz» (Disney), ou de séries comme «Les Experts».

Dans un entretien exclusif accordé à « La Dépêche du Midi » le 7 janvier 2012, Michael Moore, président de Raleigh, a tenu à préciser les intentions de sa multinationale. « Le premier bénéficiaire de ce projet sera le 7e Art français. Les studios de Francazal sont davantage conçus pour soutenir votre cinéma - sans doute l'un des meilleurs au monde - que le développement économique et industriel de Raleigh.

A propos du choix de Raleigh de s'implanter aux portes de Toulouse, il expliquait : « Il y a d'abord l'opportunité offerte par le départ de l'armée de la base de Francazal à Cugnaux. Le foncier, la surface et les infrastructures libérés sont intéressants. Il y a ensuite la situation géographique de Toulouse, une porte ouverte sur l'Europe du Sud. Et puis, en dehors de toute logique stratégique, il y a simplement une question de feeling. Lorsque je suis venu visiter Toulouse en septembre dernier, je suis tombé amoureux de cette ville. C'est vraiment magnifique. Les gens sont charmants, la région est superbe.

Sur son projet industriel enfin, Michael Moore déclarait : « Notre but est de créer ici les meilleures installations professionnelles pour permettre aux réalisateurs français et européens de travailler dans d'excellentes conditions. Nous possédons un incontestable savoir-faire que nous souhaitons mettre au service de votre cinéma. Nous serons en mesure de répondre à l'ensemble de la demande : production de téléfilms, de productions et coproductions françaises et européennes ».

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