AEROPORT BLAGNAC

L'Aéroport Toulouse-Blagnac remporte l'organisation de Routes Europe 2010

L'aéroport Toulouse-Blagnac, candidat à l'accueil de Routes Europe 2010, vient d’être désigné pour organiser la prochaine édition de cette manifestation internationale, qui réunit les aéroports européens et les compagnies aériennes.

Une grande première
C'est la première fois qu'une ville française est retenue pour accueillir ce forum de création des liaisons aériennes en Europe. C'est également la première fois qu'une ville de province accueillera Routes, jusqu'alors apanage des seules capitales européennes.

L'annonce de cette nomination vient d’être faite lors de la journée de clôture de l’édition 2009 de Routes Europe, qui s'achève aujourd'hui à Prague.

Retour sur la croissance de l'aéroport
"C'est une grande fierté pour notre aéroport d'avoir été retenu, confie Jean-Michel Vernhes, président du Directoire de l'Aéroport Toulouse-Blagnac. Notre aéroport se développe et s'apprête à ouvrir un nouveau terminal, le Hall D, au début de l'année 2010. Organiser Routes Europe à Toulouse-Blagnac nous offre l'opportunité de consolider le lancement de cette nouvelle infrastructure dédiée aux vols internationaux, en stimulant l'ouverture de nouvelles lignes."

Toulouse, capitale mondiale de l'aéronautique et berceau de l'aviation civile, décroche là un événement susceptible de mettre en valeur ses nombreux attraits. Car au-delà de l'impact sur les échanges aériens, Routes Europe 2010 sera une vitrine pour la capitale du Sud-Ouest et sa région. Dynamisme économique (pôle de compétitivité mondial aéronautique, espace, systèmes embarqués), présence d'entreprises multinationales (siège international d'Airbus), place forte étudiante (2e ville universitaire de France), riche patrimoine culturel, touristique, gastronomique et sportif… Autant de spécificités destinées à séduire les quelque 800 décideurs économiques venus de toute l'Europe, qui se donneront rendez-vous à Toulouse du 9 au 11 mai 2010.

Site internet officiel Routes Europe : http://www.routesonline.com/events/95/routes-europe/

Source : http://www.toulouse.aeroport.fr/

La Navette Toulouse Paris d’Air France va rester au sol une bonne partie de la journée de vendredi.
Tout comme un grand nombre de vols au départ de Blagnac en raison d’une importante éruption volcanique en Islande.

L’éruption du volcan islandais perturbe depuis jeudi le trafic de tous les aéroports en France, dont celui de Toulouse Blagnac, privé de La Navette. Hier en fin de journée, plusieurs liaisons vers le Nord de l’Europe ont été annulées au départ comme à l’arrivée de la ville rose. Londres Gatwick, Filton, Bruxelles ou encore Amsterdam… Les vols sont également annulés au moins jusqu’à ce vendredi midi.

Les liaisons de la Navette vers Paris Orly et plus largement les vols vers la région parisienne et Charles de Gaulle sont stoppés, au moins jusqu’à vendredi 14h. Les aéroports de Paris ont ainsi fermé leurs portes à 23h jeudi soir. « Air France demande aux passagers concernés par les annulations de ne pas se rendre à l´aérogare », précise la compagnie dans un communiqué.
« Nous faisons face à une situation inédite », commente de son côté Patrice Hardel, le directeur de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. Easy Jet a lui aussi fermé ses vols vers la Grande Bretagne au départ de Toulouse.

La Direction générale de l’aviation civile a par ailleurs annoncé hier soir la fermeture de 23 autres aéroports français par mesure de sécurité. « La zone de précaution aéronautique définie par le centre londonien de veille volcanique en collaboration avec le centre de Météo-France s’étend sur le nord de l’espace aérien français à partir de 20h00 », précise la Dgac.

Les perturbations vont dépendre de la météo. Selon l’organisme Eurocontrol, chargé de la sécurité aérienne à l’échelle de l’Europe, les perturbations pourraient durer une bonne partie du week-end. Quelque 5.000 vols pourraient être ainsi annulés ou reportés ce vendredi.

À Toulouse, la direction de l’aéroport invite les voyageurs qui doivent se rendre en région parisienne ou au nord de l’Europe à prendre directement contact avec leurs compagnies.

Les particules de cendres émises par l’éruption de ce volcan en Islande pourraient en effet endommager les réacteurs des avions, voire les éteindre en vol, d’où ce principe de précaution, inédit sur l’espace européen aérien à cette échelle.

A partir de ce soir, le ciel des vacances tourne à l'orage. Perturbations météorologiques en vue, et surtout grève des aiguilleurs du ciel jusqu'à jeudi. Un projet de réorganisation du ciel européen est à l'origine du mouvement social.

Pas un seul nuage à l'horizon. Et pourtant, le ciel des vacances pourrait virer à l'orage. Météo France annonce des éclairs. Et les aiguilleurs du ciel ont déposé un préavis de grève à partir de ce soir.

Des perturbations sont à craindre dans les aéroports ce mercredi : 50 % de vols annulés à Orly, et 20 % à Roissy, selon la Direction générale de l'aviation civile, qui demande aux compagnies aériennes de réduire le nombre de vols. Plusieurs départs en vacances pourraient être ajournés.

C'est la troisième grève en sept mois des aiguilleurs du ciel. Ils sont 4 000, intégrés à la DGAC. Une intersyndicale lance ce mouvement de protestation qui concerne 12 000 fonctionnaires. Motif de la grogne : la réorganisation du ciel européen.

Pour faire face à une croissance du trafic, qui pourrait doubler d'ici à 2025, l'espace aérien de l'UE pourrait être divisé en neuf « blocs fonctionnels » ; tandis qu'à l'heure actuelle, chaque pays surveille son coin de ciel.

La France serait intégrée au sein du Fabec (Fonctional Airspace Block Europe Central, bloc fonctionnel de l'espace aérien pour l'Europe centrale) avec l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg.

Cet espace concentre 55 % de l'activité aérienne en Europe, soit 6 millions de vols par an.

L'objectif avancé par le Fabec est la mise en service de routes aériennes plus directes, et une meilleure intégration des contrôleurs militaires. Les aiguilleurs du ciel deviendraient des fonctionnaires internationaux. Plusieurs dirigeants européens ne voient pas cela d'un très bon œil : un jour de grève pourrait paralyser l'espace aérien de 27 pays…

Le ministre français des Transports, Dominique Bussereau, est quant à lui très favorable à ce projet. Tout comme un syndicat d'aiguilleurs du ciel, le SNCTA, présent à l'aéroport Charles-de-Gaulle. Tandis que l'intersyndicale CGT, CGC, FO, Unsa, majoritaire au sein de la DGAC, proteste vigoureusement contre la fusion des opérateurs de contrôle.

Après les grèves de janvier et février, le gouvernement avait chargé le socialiste bordelais Gilles Savary, ancien député européen, de lui remettre fin juillet un rapport sur le sujet. Mais sans attendre ce rapport, la DGAC présente ce mercredi son contrat social triennal où il est question de la création du Fabec. D'où la colère de l'intersyndicale.

Le ministre des Transports ne paraît pas disposé à faire marche arrière. « Le problème serait plus politique que social », commente un observateur.

C'est donc un ciel perturbé qui attend les voyageurs à partir de ce soir et jusqu'à jeudi matin. Un nouveau mouvement de grève est prévu à la rentrée.


Interview
« Pas de voyageurs pris en otage »Pierre Meybon, aiguilleur, secrétaire national Force ouvrière

Pourquoi cette grosse colère ?

Parce que le gouvernement veut mettre en place un opérateur unique au niveau de l'Europe sans concertation dans une administration ayant une tradition de dialogue social. L'intersyndicale redoute un démantèlement de la Direction générale de l'aviation civile. Elle craint en particulier une externalisation de toutes les autres fonctions que regroupe cette direction. Cela ferait 8 000 fonctionnaires en moins, ce qui arrangerait bien l'État.

Les voyageurs ne sont-il pas pris en otage par ce mouvement ?

Nous dénonçons un passage en force en plein mois de juillet. Nous ne prenons pas les voyageurs en otage. S'ils le pensent, ils ont tort. Nous défendons des emplois et, avec les nôtres, les leurs. Nous nous insurgeons contre une méthode. Quels que soient les arguments sensés qu'on apporte au gouvernement, il ne les entend pas.

Le Syndicat majoritaire ne s'associe pourtant pas à cette démarche…

Il était majoritaire à 53 % aux dernières élections de 2008. Depuis il y a eu une scission. Ceux qui pensent comme nous et qui ne veulent pas se perdre, sans garanties, dans une entité européeene et souhaitent un système coopératif se sont retirés. Ils ont rejoint l'UNSA. Le SNCTA, syndicat majoritaire est maintenant loin de ses 53 % de 2008.

Qu'en est-il du temps de travail effectif des contrôleurs du ciel dont la Cour des Comptes vient de demander qu'il soit vérifié ?

On nous reproche d'aménager nos horaires. D'abord, il n'y a jamais eu d'avion en retard parce qu'un contrôleur n'était pas là. Est-ce qu'on sait pourquoi il n'est pas là ? Il peut être en formation puisque nous sommes astreints à une formation permanente. Un absent n'est pas forcément à la plage comme certains semblent le penser. Ensuite, chez les contrôleurs aériens le taux d'absentéisme est égal à zéro.


Comment on se prépare à l'aéroport de Blagnac

À l'aéroport Toulouse-Blagnac, aucun panneau d'informations aux voyageurs ne faisait état hier du préavis de grève. Pas de mouvement de panique ni du côté des usagers ni des tour-opérateurs.

En clair, tout le monde attend de voir ce qui va se passer. C'est le cas de Patrick qui, devant le guichet de la compagnie Air France, ne sait pas vraiment comment et quand il va pouvoir rentrer à Paris demain après-midi après son rendez-vous sur Albi le matin même. « J'essaie de me renseigner, de prendre mes précautions », explique-t-il, désabusé. « Même si je soutiens ce mouvement à 100 %, je suis embêté par ces grèves. J'ai acheté mon billet de retour pour Paris mais je ne sais pas à quelle heure je vais pouvoir le prendre. J'ai différé mon vol de 24 heures. »

Et s'il espère pouvoir louer une voiture pour faire le trajet Toulouse-Albi, cela risque également d'être compliqué. Alamo et Europcar, loueurs de voitures, ont déjà fermé les réservations jusqu'à mercredi.

Aucun vol annulé… pour le moment
De fait, en cas de perturbations liées à la grève des aiguilleurs du ciel, les voyageurs qui souhaiteraient se rabattre sur les locations de voitures risquent d'avoir toutes les peines du monde pour en obtenir une.

Aux comptoirs des réservations et des ventes de billets, les compagnies aériennes se montrent réticentes à communiquer, faute d'informations précises.

British Airways ou Air France sont en attente d'un briefing qui devait avoir lieu en toute fin de journée d'hier ou dans la nuit.

« Les clients téléphonent, indique une hôtesse de British Airways. Notre site internet est à jour. Nous n'avons encore annulé aucun vol, et nous enregistrons les réservations comme si de rien n'était. »

Chez Air France, même attitude. Aucun vol n'était annulé hier pour mercredi. La situation va sans doute changer aujourd'hui.

A l'aéroport de Toulouse-Blagnac, où l'été, un mouvement d'avion a lieu toutes les trois minutes, on s'attend bien à un sacré embouteillage.

Limitation partielle des vols de nuit de l’aéroport de Blagnac

Pas de couvre-feu, mais une limitation des vols de nuits aux avions les moins bruyants, c’est la décision prise le 4 novembre dernier par la commission consultative environnement de la plate-forme aéroportuaire de Toulouse -Blagnac.

Contrairement aux attentes des associations de riverains qui souhaitaient une interdiction totale des vols de nuit, la commission consultative de l’environnement (CocoEnvi) de l’aéroport de Toulouse-Blagnac a préféré une application forte de la réglementation, pour limiter l’accès de la plate-forme aux avions les moins bruyants. Ces mesures seront appliquées en deux temps, d’octobre 2011 à 2013, avec une limitation à 13 EPN[1]décibels jusqu’à 22 h, et inférieure à 10 EPNdécibels pour la tranche 22 h-6 h.

Pour dissuader les petites compagnies, les taxes d’aéroport augmenteront de 50% pour les vols de nuits. Des amendes pouvant atteindre 24.000 euros sont également prévues en cas d’infraction.

Option économique

Des mesures opérationnelles, complètent ce volet réglementaire, avec notamment une adaptation des manœuvres d’atterrissage et de décollage pour limiter le bruit des aéronefs.

La CocoEnvi, présidée par le préfet de Midi-Pyrénées, associe à la fois des élus de l’agglomération, les associations de riverains, les services de l’aéroport et les représentants du personnel de l’Aviation civile. Ces propositions n’ont cependant pas fait l’unanimité au sein de l’instance paritaire, qui a privilégié l’option économique par 19 voix contre 11 et une abstention.

« Les vols de nuit concernent pour essentiel le fret, mais également quelques vols charters et représentent 10% du chiffre d’affaires de la plate-forme, mais l’interdiction totale aurait un impact négatif sur l’économie régionale », explique Jean-Michel Vernhes, président du directoire de l’aéroport Toulouse-Blagnac.

Observatoire et étude épidémiologique

Pour accompagner ces mesures, un observatoire, une structure paritaire, sera rapidement mise en place dès 2011, afin de contrôler la baisse réelle des nuisances sonores dans la zone d’exposition aux bruits. La pose de nouveaux capteurs est également prévue.

Sur le plan de la santé, Toulouse fait partie des villes tests de l’étude épidémiologique sur l’impact du bruit des aéroports sur la santé humaine, qui vient d’être lancée par l’Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires (Acnusa). Ses résultats ne seront pas connus avant 2016.

Avec 12 nouvelles destinations, et l’arrivée de quatre compagnies, Toulouse-Blagnac ouvre de nouveaux horizons pour son programme été qui débute le 27 mars

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À elle seule, la compagnie à bas coût Vueling, filiale d’Iberia, propose huit nouvelles liaisons, dont sept sur le réseau international :

Barcelone,
Ibiza,
Malaga,
Palma de Majorque,
tenerife,
Venise
et Prague.

Elle ouvre également un vol entre Toulouse et Nice avec 4 départs par semaine. Dès le 22 avril, Vueling offrira pas moins de 25 fréquences hebdomadaires.

Le transporteur espagnol, qui a choisi Toulouse-Blagnac pour créer sa base opérationnelle française, est le premier à stationner un avion sur l’aéroport toulousain. « Nous voulons mettre en place une vraie stratégie de développement à partir de cette plate-forme, affirme Linda Moreira, responsable de la compagnie en France. Il ne s’agit pas de « tenter un coup », on n’est pas là pour jouer. Il y a un réel potentiel à exploiter. L’arrivée de Vueling à Blagnac va créer à terme 150 emplois directs ou indirects. »

Cap sur la Turquie et l’Italie
Autre grande nouveauté du programme estival, l’arrivée de Turkish Airlines qui lance, à partir du 18 avril, une ligne entre Toulouse et Istambul avec 4 vols par semaine, en Airbus A 319 et Boeing 737 800. « Toulouse dispose d’une situation très intéressante pour tout le Sud de la France, précise Orcun Buluc, directeur des opérations sur l’aéroport (6 personnes à Blagnac). Nous enregistrons déjà plus de 60% de remplissage et nous comptons sur la connexion entre Istambul et le reste du monde pour emmener les passagers de la région en Asie ou en Afrique. »

Du nouveau également vers la botte italienne avec Alitalia qui met en place à partir du 27 mars six vols hebdomadaires vers Rome en CRJ 900 (90 places), en code-share avec Air France. La compagnie française continue de proposer un vol quotidien à destination de la capitale italienne. Air France confirme cet été la ligne ouverte cet hiver sur Dusseldorf et desservira cet été Birmingham avec une liaison par semaine.

Du nord au sud, toujours plus d’offres
Toujours en direction de l’Angleterre, Jet2.com ouvre une ligne sur Newcastle (1 vol hebdomadaire). Cap au sud enfin avec Iberia qui reprend la ligne Toulouse-Séville (3 vols par semaine), liaison qui avait fait les frais de la crise depuis 2008. La compagnie espagnole compte sur l’activité affaires, notamment entre les sites d’Airbus mais aussi sur l’attraction touristique.

Sur le réseau national, à noter la nouvelle liaison vers Nantes proposée par easyJet (5 fréquences par semaine), la confirmation de la ligne sur Dijon ouverte cet hiver par Eastern Airways (2 vols quotidiens) et le renforcement de la desserte corse par Air France.

« L’offre en sièges augmente de 4,6% (plus de 200.410 sièges en moyenne par semaine) pour ce programme été se félicite Jean-Michel Vernhes, le directeur de l’aéroport. C’est le réseau international régulier qui progresse le plus (9% de places supplémentaires). L’arrivée de plusieurs nouvelles compagnies illustre le dynamisme de la plate-forme toulousaine. »

Les utilisateurs du parking P0 de l’aéroport Toulouse Blagnac inaugurent depuis peu un nouveau système de paiement. Ce dispositif, plus rapide et plus pratique, ne nécessite plus de lecture optique et va être généralisé à l’ensemble des parcs de stationnement du complexe aéroportuaire.

A partir de cet été, les automobilistes pourront également consulter en temps réel le taux de remplissage des parkings sur le site internet de l’aéroport. Ce site permettra en outre d’acheter des abonnements pour les parcs P1 et P5, puis à l’automne, de réserver des places pour le nouveau parking à étages P2.

Côtés tarifs, l’aéroport annonce des offres promotionnelles pour cet été (puis pour la rentrée) sur les Proxi Parcs P1 et P2.

Animation inhabituelle dans l'un des nombreuses boutiques de la zone réservée de l'aéroport, tenues par The Nuance Group FRance.


Son directeur, Jean-Marc Lucas, accueillait Rainer Ohler, vice-président d'Airbus en charge de la communication, et le maire Bernard Keller, pour l'inauguration de la boutique Airbus, « Spirit of Toulouse ».

Proposant de nombreux produits aux couleurs de l'avionneur et au design affirmé, cette boutique connaît un succès certain, depuis son installation dans la rue « passante » entre les halls C et D.

Entre les maquettes d'avions, celle de l'A 380 étant la plus recherchée, et les mugs, la couleur bleue emportant les choix, le logo d'Airbus est omniprésent, la nouvelle gamme ayant assuré « des ventes cinq fois supérieures à l'an dernier », confie Jean-Marc Lucas.

Hormis une boutique sur le site Manatour/Taxiway d'Aéroconstellation, pour la visite des chaînes de montage du super jumbo, et une autre dans les usines de Hambourg, il s'agit de la première échoppe externalisée, la prochaine étant planifiée à Singapour, un projet plus lointain en prévoyant une autre aux Etats-Unis.

4 aéroports nationaux dont Toulouse-Blagnac pourrait être en partie privatisés

Le gouvernement tente d'accélérer la cession au privé de 60% du capital de 4 aéroports régionaux dont Toulouse-Blagnac.

A l'heure où la résorption de la dette publique devient une priorité, le gouvernement a décidé de vendre ses parts dans 4 aéroports régionaux français dont celui de Toulouse-Blagnac. Il souhaite récolter 500 millions d'euros.

L'Etat espère lancer la privatisation des aéroports de Lyon, Toulouse, Bordeaux et Montpellier avant la rentrée. Des investisseurs privés se déclarent déjà intéressés par la plateforme toulousaine mais élus locaux et syndicats s'inquiètent.

Plusieurs investisseurs, australiens, canadiens et français sont déjà intéressés par l'appel d'offre. Les candidats du privé se bousculent.

Dans cette opération, 24% maximum des parts peuvent revenir aux collectivités locales. Elus locaux et syndicalistes s'inquiètent d'un délai de mise en vente aussi court et des conséquences pour leurs réserves foncières.

Bernard Kelller, maire de Blagnac, estime nécessaire "une maîtrise publique de cet aéroport". "C'est un outil stratégique (...), la porte d'entrée dans Toulouse et dans Midi-Pyrénées", précise-t-il, avant d'ajouter : "c'est l'outil de l'aménagement du territoire, du développement économique, et surtout ici à Blagnac, de la préservation de notre industrie aéronautique qui est quand même notre pépite, pour ne pas dire notre poule aux oeufs d'or".

A l’aéroport de Toulouse-Blagnac, ce lundi 3 octobre a été marqué par l’ouverture de deux nouvelles lignes vers Lille et Marseille.

La compagnie espagnole Vueling lance une liaison sur Lille, à raison de six vols hebdomadaires. Vueling porte ainsi à neuf le nombre de lignes au départ de Toulouse, après Barcelone, Ibiza, Malaga, Tenerife, Palma, Prague, Venise et Nice.

Le vol Toulouse – Lille partira à 12h05 pour une arrivée à 13h35, tous les jours sauf le samedi.

Le vol Lille – Toulouse partira à 14h05 pour une arrivée à 15h35, tous les jours sauf le samedi.

Autre ouverture, celle de la compagnie Twin Jet qui assure une liaison vers Marseille, cinq jours par semaine.

Le vol Toulouse – Marseille partira à 18h30 pour une arrivée à 19h30, du lundi au vendredi. Le vol Marseille – Toulouse partira à 8h30 pour une arrivée à 9h30, du lundi au vendredi.

Au départ de Toulouse-Blagnac, ces ouvertures Vueling et Twin Jet viennent renforcer l’offre existante Air France sur ces deux destinations.

Toutain expose à la galerie Art et Espace à l'aéroport de Blagnac

Les habitués de la galerie Art et Espace de l'aéroport connaissent bien les œuvres de Toutain. « Nous en avons en permanence, assure Estelle Feraud, la maîtresse des lieux, mais nous exposons une collection plus conséquente tous les deux ans environ, mais cette fois, il s'agit de fêter les 15 ans de notre ouverture ».

Le récent vernissage a ainsi livré une belle série de dessins, ainsi qu'une cinquantaine de bronzes, quelques résines et « amoureux sous le réverbère » en cristal Daum. « Il s'agit d'une collection de 11 nouveaux dessins, édités à 40 exemplaires, explique Lucas Royo, le chef d'atelier du site historique de Montbrun Bocage, et sont extraits du carnet de croquis regroupant les premières ébauches qui ont fini en sculpture ».

Ainsi est dévoilée une partie du travail en amont de l'artiste, que les 7 personnes de l'atelier ont entrepris de poursuivre. « Jean Louis Toutain était très productif, et même 3 ans après sa disparition, nous n'en finissons pas de mettre en circulation toutes les sculptures qu'il avait stockées ». L'occasion d'admirer « le cabré », un cheval auquel il ne manque que le hennissement, planté devant l'accueil du lieu, ou bien « le petit pas à pas », un père de famille assis sur un banc public et initiant son enfant à la marche sur ses propres genoux. « C'est le deuxième exemplaire, le numéro 1 étant détenu par le Futuroscope ».

Un succès qui ne se dément pas, et qui est confirmé dans ce lieu, que d'aucuns considéraient comme improbable. « C'est une galerie ouverte à tout le monde confirme Estelle, et qui correspond très bien à l'œuvre de Toutain, celle-ci étant bien dans l'état d'esprit d'ici, très contemporaine ».

Plus que dans la salle des pas perdus d'une gare, c'est la culture qui rencontre les passagers par ici…

Galerie Art Espace, aéroport de Toulouse Blagnac, tel 05 61 30 02 00, www.toulouseart.com

Huit nouvelles destinations au départ de l’aéroport de Toulouse-Blagnac

Huit nouvelles destinations intègrent le programme hiver de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, à compter de ce dimanche 30 octobre.

Parmi elles, cinq destinations internationales régulières : Istanbul, opérée par Turkish Airlines qui confirme ainsi sa liaison ouverte au printemps, Agadir (Jet4You), Séville (Iberia, deux fréquences supplémentaires), Venise (Vueling) et l’aéroport anglais d’East Midlands.

Quant aux vols charters, iles s’étoffent en direction de l’Espagne avec trois nouvelles liaisons proposées : Palma, Málaga et Lanzarote.

Au total, l’offre de sièges s’établit à près de 190.000 pour cette saison, en progression de 2,83% par rapport à l’hiver dernier.

Grève à Air France: week-end perturbé mais 80% de vols devraient être assurés

Le trafic sur le réseau Air France va être perturbé à partir de samedi, en pleines vacances de la Toussaint, en raison d'une grève des hôtesses et stewards, mais la compagnie prévoit d'assurer 80% de ses vols, sans exclure des "annulations à chaud" supplémentaires.

La compagnie a expliqué jeudi "s'organiser au mieux pour ajuster son programme de vol alors qu'une forte incertitude subsiste quant au niveau de participation des PNC (personnel navigant commercial) à ce mouvement, ceux-ci n'étant pas obligés de prévenir la compagnie de leurs intentions".

"Des retards et des annulations à chaud, c'est-à-dire le jour du départ, sont à prévoir", prévient Air France. Avant de se rendre à l'aéroport, les passagers sont invités à vérifier sur le site d'Air France (rubrique actualités) les prévisions de trafic mises à jour ou en envoyant un SMS au 6-3654 avec leur numéro de vol. Les billets peuvent aussi être modifiés ou échangés sans frais.

Opposés à des réductions d'équipage sur certains vols, six syndicats d'hôtesses et stewards sur 7 appellent à la grève de samedi 30 octobre au mercredi 2 novembre inclus.

Au total, l'ensemble des syndicats appelant à la grève (Unsa, SNPNC-FO, CGT, CFTC, SUD, CFDT) représente plus de 70% des voix aux dernières élections professionnelles en mars.

"A quelques heures du début de ce mouvement de grève", la direction d'Air France "en appelle à la responsabilité individuelle de chaque hôtesse et steward pour assurer sa mission". Jean-Cyril Spinetta, qui a repris la tête du groupe Air France/KLM il y a une semaine, devrait aussi leur adresser un message en interne.

Suite au dépôt des préavis il y a quinze jours, plusieurs journées de négociations ont abouti lundi soir à un relevé de conclusions avec les propositions finales de la direction. Cette dernière a accepté de suspendre un nouveau système d'évaluation des PNC par leur chef de cabine, d'élargir la liste des destinations court et moyen-courriers pour lesquelles l'équipe à bord des Airbus A319 seraient maintenus à 4 et s'est engagée à modifier les aménagements d'une nouvelle version des Boeing 777-200 qui pose problème.

Le premier syndicat de PNC, l'Unac (CFE-CGC), a levé mardi son préavis, mais pas l'Unsa et le SNPNC-FO, les deux autres syndicats représentatifs.

Les syndicats appellent à la grève estiment que la direction leur demande d'offrir la même qualité de service et de sécurité avec moins de personnel à bord. "C'est vrai qu'on demande aux PNC d'être 3 là où ils étaient 4 jusqu'à maintenant, mais cela s'accompagne d'une simplification du service à bord", a expliqué à l'AFP Alain Bernard, directeur général adjoint des PNC.

"Nous ne comprenons pas que des syndicats aient décidé d'aller jusqu'au conflit et de mener ce bras de fer", a déclaré le dirigeant "alors même que le contexte est difficile et incertain et que des assurances leur ont été données".

En plus des conditions de travail à bord, la question de l'emploi est au coeur du conflit.

En 2009/2010, "Air France a traversé une crise très dure et nous n'avons jamais remis en question l'emploi des PNC, malgré un sureffectif au plus fort de la crise", a souligné Alain Bernard.

Les PNC (15.000 salariés) ont été épargnés par le dernier plan de départs volontaires lancé en 2009/2010 et la direction a écarté jeudi "tout projet de plan social", mettant même en avant une reprise des embauches en 2011.

Ce conflit survient alors qu'Air France a replongé dans le rouge au premier trimestre 2011/2012 (- 200 millions de pertes) et tente de trouver des sources d'économies pour améliorer sa compétitivité.

L'accident d'un avion de tourisme qui s'est écrasé hier soir sur l'emprise de l'aéroport de Toulouse-Blagnac, a fait une troisième victime parmi les quatre occupants d'une même famille, vient d'annoncer le procureur de la République de Toulouse Michel Valet.

Alors que les parents sont morts sur le coup, les deux enfants avaient été transportés à l'hôpital Purpan. Leur pronostic vital ne semblait pas engagé jusqu'à ce matin mais malheureusement, la fille du couple, âgée de 13 ans, n'a pas survécu à ses blessures. Le plus jeune des passagers, le fils cadet âgé de 9 ans est toujours hospitalisé.

Selon les premières informations transmises par le parquet dans la nuit, c'était la jeune fille qui était morte sur le coup et sa mère grièvement blessée, comme nous l'annoncions dans notre édition d'aujourd'hui.

Causes de l'accident inexpliquées
Le procureur et le commandant en second de la gendarmerie du transport aérien de Toulouse Jean-Jacques Guéry ont précisé que l'avion, un bi-moteur Piper-Cheyenne de 8 à 10 places, s'était écrasé quelque centaines de mètres avant la piste de l'aéroport pour des causes encore inconnues. "Le pilote a indiqué à la tour une minute avant le crash qu'il avait un problème mais il n'a rien dit de plus", a précisé le procureur. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'avion, qui venait d'Allemagne, a touché le sol "dans une position anormale, presque retourné" a ajouté Michel Valet, en précisant que la météo ne semblait "pas en cause".

L'enquête judiciaire a été confiée à la gendarmerie des transports aériens et l'enquête technique au bureau enquête analyses (BEA). Il faudra déterminer les causes du crash : erreur de pilotage, défaillance mécanique ou éléments extérieurs ?

Le pilote, un autrichien de 49 ans, était patron d'une entreprise d'ingeniering et consulting basée à Cornebarrieu, à quelques centaines de mètres du lieu du drame. Son épouse était une toulousaine de 41 ans.

Air France frappe fort et lance 16 nouvelles destinations au départ de Toulouse

Air France lance le 1er avril une base régionale à Toulouse. Une offensive commerciale forte et une nouvelle stratégie pour ne pas laisser les compagnies low cost décoller et voler trop loin.

L’offensive est massive. Air France pose dix Airbus A320 à Toulouse-Blagnac pour installer une base régionale et ouvrir pas moins de 16 nouvelles destinations vers l’Europe et le bassin méditerranéen, à partir du 1er avril 2012.

Amorcée à Marseille, avec succès depuis octobre 2011, et clairement destinée à concurrencer les compagnies low cost, cette offensive commerciale en régions sera déployée à partir de Toulouse et Nice au printemps, puis au départ de Bordeaux courant 2012. « Air France repense son modèle et organise différemment son réseau pour optimiser ses appareils et gagner en productivité », a expliqué Alexandre de Juniac, le p-dg de la compagnie, qui a fait le déplacement hier à Toulouse pour annoncer officiellement la mise en œuvre de cette nouvelle stratégie. « Grâce à la diminution significative des coûts opérationnels (15%), nous pouvons faire bénéficier nos clients de tarifs très attractifs, tout en conservant tous les services habituels. »

Baisser les coûts, pas les services
Pour faire baisser ces coûts, Air France utilisera dans toutes ses bases une flotte homogène permettant de rationnaliser la consommation, l’entretien et la maintenance. Les appareils voleront plus longtemps (11h30 au lieu de 8h15) permettant un gain de productivité de près de 40%.
Concernant les équipages basés en région, la compagnie a fait appel au volontariat. Ils effectueront davantage d’heures sur une durée plus limité, en accord avec les syndicats. Tout cela permet à Air France de réduire le coût à l’heure de vol de 15 à 20%.

A Toulouse-Blagnac, la base Air France sera constituée de 350 personnes, dont 120 pilotes. « Une mimi-compagnie à faire vivre, a souligné Christian Lahccen, directeur régional. Dans un esprit « base », en privilégiant proximité et réactivité. L’aéroport s’adapte et se réorganise pour accueillir le flux de passagers généré par cette nouvelle offre. Les nouvelles destinations appelleront aussi des partenariats à développer avec les acteurs touristiques et culturels. »

800.000 passagers de plus attendus à Toulouse-Blagnac
Le président du directoire de l’Aéroport, Jean-Michel Vernhes s’est lui aussi félicité de cette augmentation d’activité attendue pour la quatrième plate-forme française. « Le fonctionnement de l’aérogare sera modifié, Air France quittant le Hall B pour le Hall C. Les postes d’inspection filtrage seront agrandis, nous faisons le maximum pour permettre la meilleure fluidité des passagers supplémentaires. Rappelons qu’Air France représente déjà près de 3,4 millions de passagers par an, soit près de la moitié du trafic. » 800.000 passagers de plus sont attendus sur les vols Air France en 2012, soit un coefficient de remplissage de 60%.

Jusqu’au 12 avril, Air France dessert 12 destinations avec 385 vols par semaine. Après cette date, 28 villes seront reliées sur 433 vols hebdomadaires. Ce qui représente une augmentation des vols de 11% et une offre de 230.000 sièges semaine soit une progression de 24%.

Côté tarifs, on pourra embarquer avec des billets à partir de 50 € l’aller simple. Des prix de nature à concurrencer les compagnies à bas coût mais aussi le train. Certes, cela ne concernera que 10% des places mais les paliers seront très progressifs suivant les horaires et les réservations.

« Ce redéploiement est l’un des éléments qui doit permettre à Air France d’enclencher un cercle vertueux qui permettra à son activité moyen-courrier de retrouver une croissance rentable » espère Alexandre de Juniac, le pilote en chef d’Air France.

Les nouvelles destinations : Athènes, Berlin, Bruxelles, Genève, Hambourg, Malaga, Malte, Naples, Prague, Séville, Venise, Vienne, Casablanca, Istanbul, Marrakech, Tunis.

Les billets sont en vente.

Source : ToulEco

Le lancement simultané à Toulouse-Blagnac des nouvelles bases opérationnelles d’Air France et d’easyJet va doper le trafic aérien.

Le programme été propose une offre exceptionnelle : 35 nouvelles liaisons, 14 nouvelles destinations, 7 millions de sièges, en augmentation de 16%.

A quelques jours d’intervalle, easyJet (21 mars) et Air France (29 mars) vont installer une base opérationnelle sur la plate-forme toulousaine, ce qui va booster le trafic du 4ème aéroport de province.

EasyJet, qui affiche une belle santé, a positionné un A 319 à Blagnac et ouvre 6 nouvelles lignes : Bâle-Mulhouse, Bruxelles, Nice, Porto, Lille et Venise. La compagnie low cost anglaise, qui détient déjà 25% du marché toulousain, offrira désormais 17 destinations et attend 200 000 passagers supplémentaires par an.

Air France, de son côté, fait débarquer la grosse armada avec pas moins de onze avions et 350 personnels navigants. Au programme été, dès le 1er avril, 28 lignes, dont 14 nouvelles destinations : Malaga, Athènes, Hambourg, Malte, Naples, Prague, Séville, Berlin, Venise, Vienne, Casablanca, Marrakech, Istanbul et Tunis. Air France, qui fait déjà voyager 50% des passagers de l’aéroport, offre ainsi 20% de sièges supplémentaires au départ de Toulouse.

Avec le lancement de bases régionales (Toulouse, Marseille et Nice), Air France met en place une véritable stratégie de reconquête face aux compagnies à bas coût. Un impératif pour le transporteur qui bat de l’aile sur le créneau court et moyen courrier et doit faire face à un lourd endettement.

« Cette arrivée en force à Toulouse n’est pas juste un test commercial pour voir où sont les bonnes opportunités, explique Christian Lahccen, le directeur régional. Nous voulons mettre en place un véritable modèle économique et une organisation basée sur la proximité, la réactivité, la souplesse et l’accompagnement des clients de façon plus personnalisée. C’est un projet qui a de l’avenir et pour lequel nous sommes très confiants. »

Nouvelle organisation et nouveaux services pour l’aéroport
L’été devrait donc être chaud dans le ciel toulousain. Cà va tanguer sur certaines destinations où la concurrence va être très rude, reconnaissent les responsables de l’aéroport. Mais ce regain d’activité ne peut que les satisfaire puisqu’il doit générer un million de passagers supplémentaires sur l’année. « L’arrivée de ces nouvelles bases va doper le marché du voyage, se félicite Jean-Michel Vernhes, président du directoire de l’aéroport. Pour faire face à la montée en puissance du trafic, nous avons investi 6 millions d’euros afin de réorganiser l’aérogare et l’implantation des compagnies. Nous allons aussi lancer de nombreux services nouveaux pour les voyageurs. »

La compagnie à bas coût espagnole Vueling, venue se poser à Blagnac il y a un an s’adapte déjà à cette nouvelle donne. Elle replie en effet ses ailes sur Venise, Lille et Prague ne voulant pas se battre au risque de perdre de l’argent. Vueling préfère renforcer ses destinations ibériques (Ibiza, Malaga, Barcelone, Ténériffe, Talma) et étudier de nouvelles offres vers l’Espagne au départ de Toulouse.

Nouvelle implantation à Toulouse Blagnac

Les voyageurs d’affaires qui prennent l’avion à Toulouse-Blagnac vont devoir faire attention. A partir du 28 mars 2012, les compagnies et le TO déménagent.

Ainsi, les banques d'enregistrement d'Air France, EasyJet, British Airways ou encore Turkish Airlines prendront par exemple place dans le hall C.

Lufthansa, Iberia, Vueling, Brussels Airlines seront dans le hall B.

Pour prendre connaissance de la nouvelle implantation plus en détail voir le plan ci-joint.

En vue de l’ouverture de la semaine Pascale, le diocèse de Toulouse vient de signer une convention originale avec l’aéroport Toulouse Blagnac. A partir de ce dimanche et jusqu’au lundi 9 avril, des religieuses vont appuyer les hôtesses d’accueil en vue d’orienter les voyageurs égarés.



« Il s’agit de faciliter le transit en partance depuis l’aéroport. L’organisation des halls a été modifiée, d’où notre accompagnement à la demande de nombreux pèlerins », explique sœur Liprois D’Onvas, qui coache ainsi six religieuses. Afin d’éviter tout signe ostentatoire, les religieuses utiliseront le mobilier de l’aéroport, mais elles ont tenu à conserver leurs robes, en lieu et place des traditionnels tailleurs bleus. Les voies aériennes ne sont pas si impénétrables…


Poisson...Vous avez dit Poisson.... Bien sûr Poisson d'avril de Touléco....