L'impasse pour une jeune famille....
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L'impasse pour une jeune famille....
Jérémy Tello ne sait plus à qui s'adresser. Depuis cet été, il tente de démêler un casse-tête administratif qui lui gâche la vie. « Je suis propriétaire d'un appartement que je souhaite revendre, résume-t-il. Mais je ne peux pas car le propriétaire précédent avait une hypothèque dessus. »
En août dernier, Jérémy trouve un acquéreur pour son logement. Un accord est trouvé et le sous-seing privé signé. Dans l'armée depuis 10 ans, le jeune homme de 29 ans décide d'arrêter la marine pour profiter des premiers mois de son premier enfant à naître.
150 € par mois pour vivre
Lui et sa compagne font leurs calculs, avec la vente de l'appartement, ils peuvent vivre quelques mois sans souci financier. Elle démissionne à son tour. « Cela fait cinq mois que ça dure. Nous n'avons plus que 150 € par mois pour vivre ! »
Lorsqu'il acquiert son appartement en 2006, Jérémy Tello n'a aucun problème. Il signe tous les papiers chez le notaire et contracte son prêt. Mais en 2009, c'est la douche froide lorsqu'il souhaite revendre. « Après avoir signé le sous-seing privé ,on a attendu mais le notaire ne nous contactait pas. Quand je l'appelais il nous disait « Ne vous inquiétez pas ».
Puis l'annonce arrive : « Il y a une hypothèque sur mon appartement. » «personne ne sait quoi faire»
Après quelques recherches, il découvre qu'une première hypothèque avait été posée en 2004.
« Mais il y a eu une mainlevée dessus un mois avant mon achat. Elle a ensuite été remise par le conservatoire des hypothèques sur l'ancien propriétaire mais l'appartement était alors à moi. »
Dès lors, Jérémy ne peut plus vendre. Il ne peut pas louer non plus car il a acheté par le biais d'un prêt à taux zéro. « Je ne sais plus quoi faire. il faut que des gens m'aident pour arrêter de payer le crédit, l'assurance, le syndic, tous les impôts. »
Et de regretter : « On a pourtant fait attention. Tout était calculé sur le budget. On a tout réfléchi pour avoir une belle vie et on découvre ça ! » Bien sûr, les parents du jeune couple font de leur mieux pour les aider. « Ils nous font des « cadeaux ». Mais ce n'est pas ce que nous voulons. » Jérémy Tello est à bout de nerfs. Il ne parvient pas à trouver d'avocat pour l'aider dans ses démarches. « Personne ne sait quoi faire ». De son côté, le conservatoire des hypothèques lui a répondu. Il affirme que « l'ensemble des formalités a été effectué conformément à la réglementation et à la jurisprudence de la cour de cassation ».
Dans l'impasse, le jeune père de famille lance un appel : « Il faut trouver quelqu'un qui puisse m'aider, un avocat qui puisse régler mon cas ! »
Le P'tit Col'Porteur lance ici un appel à la solidarité.....et le lance aussi sur Facebook....(Genevieve Le P'tit Col'Porteur)....Je compte sur vous tous.....
En août dernier, Jérémy trouve un acquéreur pour son logement. Un accord est trouvé et le sous-seing privé signé. Dans l'armée depuis 10 ans, le jeune homme de 29 ans décide d'arrêter la marine pour profiter des premiers mois de son premier enfant à naître.
150 € par mois pour vivre
Lui et sa compagne font leurs calculs, avec la vente de l'appartement, ils peuvent vivre quelques mois sans souci financier. Elle démissionne à son tour. « Cela fait cinq mois que ça dure. Nous n'avons plus que 150 € par mois pour vivre ! »
Lorsqu'il acquiert son appartement en 2006, Jérémy Tello n'a aucun problème. Il signe tous les papiers chez le notaire et contracte son prêt. Mais en 2009, c'est la douche froide lorsqu'il souhaite revendre. « Après avoir signé le sous-seing privé ,on a attendu mais le notaire ne nous contactait pas. Quand je l'appelais il nous disait « Ne vous inquiétez pas ».
Puis l'annonce arrive : « Il y a une hypothèque sur mon appartement. » «personne ne sait quoi faire»
Après quelques recherches, il découvre qu'une première hypothèque avait été posée en 2004.
« Mais il y a eu une mainlevée dessus un mois avant mon achat. Elle a ensuite été remise par le conservatoire des hypothèques sur l'ancien propriétaire mais l'appartement était alors à moi. »
Dès lors, Jérémy ne peut plus vendre. Il ne peut pas louer non plus car il a acheté par le biais d'un prêt à taux zéro. « Je ne sais plus quoi faire. il faut que des gens m'aident pour arrêter de payer le crédit, l'assurance, le syndic, tous les impôts. »
Et de regretter : « On a pourtant fait attention. Tout était calculé sur le budget. On a tout réfléchi pour avoir une belle vie et on découvre ça ! » Bien sûr, les parents du jeune couple font de leur mieux pour les aider. « Ils nous font des « cadeaux ». Mais ce n'est pas ce que nous voulons. » Jérémy Tello est à bout de nerfs. Il ne parvient pas à trouver d'avocat pour l'aider dans ses démarches. « Personne ne sait quoi faire ». De son côté, le conservatoire des hypothèques lui a répondu. Il affirme que « l'ensemble des formalités a été effectué conformément à la réglementation et à la jurisprudence de la cour de cassation ».
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