Les 50 ans d'une nouvelle ville conçue comme une poupée gigogne
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Les 50 ans d'une nouvelle ville conçue comme une poupée gigogne
En 50 ans, Colomiers est passée du stade de bourg de 3500 habitants au rang de deuxième ville du département avec 32 438 âmes. Le pied sur l'accélérateur, la petite ville dirigée dans les années 60 par Eugène Montel et son équipe a déployé ses grands boulevards, s'enroulant et se déroulant autour de larges ronds-points.
Combien de fois Alex Raymond est-il monté au créneau pour expliquer ce que la ville de Colomiers fut l'une des premières villes de France à mettre en place : « C'est pour éviter les feux rouges et favoriser la fluidité des trafics ».
ATTACHANTE
Bon gré mal gré, les columérins s'y habituèrent malgré l'usure régulière de leurs pneus côté droit. « Tout le monde se plaint des ronds-points, moi je trouve ça très bien ».
Lucette qui s'est mariée à Colomiers il y a 50 ans est l'un des témoins du développement d'une ville qu'elle aime par dessus tout.
«Je la trouve très attachante ».
Avec l'aménagement du Perget, le développement d'En Jacca, la création des Marrots, et l'aménagement de la Zac des Ramassiers, ça en est fini des larges étendues de terre à l'abandon mangées par les herbes sauvages.
Ceux qui n'ont pas remis les pieds à Colomiers depuis 20, 30 ou 40 ans, ne reconnaissent plus leur ville devenue une énorme poupée gigogne, où tout -quartiers, commerces, services-s'emboîte.
Le développement de Colomiers bis , imaginé par trois visionnaires (Eugène Montel, Alex Raymond et l'architecte René Viguier)fut articulé autour de l'épine dorsale de la déviation de la RN 124.
La voie ferrée sera elle aussi déviée. « Tout est étudié pour favoriser le trafic et les déplacements » rappelle Dimitri Foltran directeur de la communication à la mairie de Colomiers. « Ce qui est intéressant au niveau économique, c'est qu'Eugène Montel et Alex Raymond ont porté l'acquisition des terrains des zones d'activité pendant des années». Pour la seule zone de Gramont, il n'y avait dans les années 6 que Bréguet et pour celle d'En Jacca, la société Ramounède était seule au milieu des champs (1). Aujourd'hui la boucle est bouclée sur 2083 hectares. À l'Est, à l'Ouest, au Sud et au Nord. « Avant ce n'était que des vignes et des maïs » se souvient l'une des premières habitantes (2) d'En Jacca.
Source : La Dépêche du Midi
Combien de fois Alex Raymond est-il monté au créneau pour expliquer ce que la ville de Colomiers fut l'une des premières villes de France à mettre en place : « C'est pour éviter les feux rouges et favoriser la fluidité des trafics ».
ATTACHANTE
Bon gré mal gré, les columérins s'y habituèrent malgré l'usure régulière de leurs pneus côté droit. « Tout le monde se plaint des ronds-points, moi je trouve ça très bien ».
Lucette qui s'est mariée à Colomiers il y a 50 ans est l'un des témoins du développement d'une ville qu'elle aime par dessus tout.
«Je la trouve très attachante ».
Avec l'aménagement du Perget, le développement d'En Jacca, la création des Marrots, et l'aménagement de la Zac des Ramassiers, ça en est fini des larges étendues de terre à l'abandon mangées par les herbes sauvages.
Ceux qui n'ont pas remis les pieds à Colomiers depuis 20, 30 ou 40 ans, ne reconnaissent plus leur ville devenue une énorme poupée gigogne, où tout -quartiers, commerces, services-s'emboîte.
Le développement de Colomiers bis , imaginé par trois visionnaires (Eugène Montel, Alex Raymond et l'architecte René Viguier)fut articulé autour de l'épine dorsale de la déviation de la RN 124.
La voie ferrée sera elle aussi déviée. « Tout est étudié pour favoriser le trafic et les déplacements » rappelle Dimitri Foltran directeur de la communication à la mairie de Colomiers. « Ce qui est intéressant au niveau économique, c'est qu'Eugène Montel et Alex Raymond ont porté l'acquisition des terrains des zones d'activité pendant des années». Pour la seule zone de Gramont, il n'y avait dans les années 6 que Bréguet et pour celle d'En Jacca, la société Ramounède était seule au milieu des champs (1). Aujourd'hui la boucle est bouclée sur 2083 hectares. À l'Est, à l'Ouest, au Sud et au Nord. « Avant ce n'était que des vignes et des maïs » se souvient l'une des premières habitantes (2) d'En Jacca.
Source : La Dépêche du Midi
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